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La présence de Kabila : Craintes et espoirs au Congo
Kabila ne briguerait pas le pouvoir en RDC
Pourquoi alors parler encore de lui ? Voici une autre réflexion, à chaud, sur la présence et le discours attribué à Joseph Kabila.
Considérons certaines analyses ; telles celle celles générées par des outils d’IA comme ChatGPT. Selon elles, le discours attribué à Joseph Kabila mérite d’être pris avec précaution. Il s’agit de l’allocution qui aurait été prononcé à Goma, le 2 juillet 2025. Il ne serait ni vérifié, ni relayé par des sources dites officielles. Cela dit, le débat qu’il suscite, lui, est bien utile. Pour tout esprit en quête de vérité, de paix, de prospérité, cette discussion peut être une aide à la réflexion.
Car qu’on l’aime ou qu’on le redoute, une chose est claire : Kabila fait encore parler de lui. Sa présence à l’Est dérange, inquiète, ou rassure, selon la classe politique dont on est proche. Et cela en dit long sur l’état de la République.
Pour beaucoup de Congolais de l’Est, ce n’est pas tant l’homme qui intrigue, mais le vide laissé derrière lui. Un vide sécuritaire, institutionnel, symbolique. Un vide que Kinshasa peine à combler. Alors, quand un ancien président réapparaît, dans une région longtemps oubliée, cela secoue. Cela suscite des interrogations, cela réveille des espoirs chez certains… Et des peurs chez d’autres. Il y a là, en effet, un vide. Une lacune que Kinshasa n’a pas été capable de combler. Un manque qu’il ne sera pas en mesure d’assouvir ; faute d’en posséder les moyens.
Peurs fondées ?
Oui. Si la présence d’un ex-chef d’État alimente les rumeurs de partition, c’est bien parce que la République se délite. Parce que l’Est du Congo souffre, isolé, meurtri, trahi. Parce que lorsque le centre abandonne ses marges, les marges se réorganisent. Et parfois, avec les moyens du bord ; tandis que souvent, avec des acteurs ambigus.
Mais ces craintes sont aussi le fruit d’une gestion catastrophique du pouvoir actuel. Et, des pouvoirs qui ont précédé ce dernier. Militarisation sans stratégie, accords opaques, mépris des réalités locales et du vœu populaire. L’absence d’un État crédible et juste, donne à un discours fort une dimension et une apparence politiques. Quand bien-même celui-ci serait trouble.
Alors, que pensons-nous, nous, fils de l’Est ?
Nous voyons la faillite d’un système hypercentralisé, fondamentalement colonial, esclavagiste et dictatorial. Un système politique qui n’a jamais intégré l’Est. Sinon que comme un réservoir de minerais, un théâtre de guerre, ou une zone tampon, périphérique. Nous voyons aussi la nécessité urgente de repenser l’unité du Congo : pas en théorie, mais en actes. Une nécessité de créer un Congo nouveau, indépendant. Un Congo qui n’ait rien à voir avec la vision lumumbiste du pouvoir et de l’État.
L’unité ne viendra pas d’un slogan, selon nous.
Elle viendra :
- d’un contrat social totalement réécrit par tous les Congolais, par nos royaumes et nos empires, reconnus souverains ;
- d’un dialogue franc avec les communautés blessées, les peuples jusqu’ici reniés ;
- d’une autonomie réelle de chaque État issu de ce contrat social national, où les états libres et indépendant se gèrent eux-mêmes, avec le souci de transformer leur unité factice du moment en une réelle union d’États indépendants, libres, unis, prospères ;
- et d’un leadership honnête, ancré, courageux, qui ne joue pas la carte des divisions ethniques ni des complicités régionales hégémonistes.
Créera-t-on un jour une unité du Congo ?
Une unité du Congo, de l’Afrique Centrale, ou de l’Afrique tout entière ? Cette démarche que propose le Projet 2014 n’est-il pas un leure ?
Oui — si nous la voulons vraiment, l’unité du Congo reste possible, mais demandera encore du temps. Nous ne retrouverons pas une unité qui n’a jamais existée : nous la créerons de nos mains. Mais pas en récitant les discours de Léopoldville ou de l’OUA. Cette unité ne passera par une décentralisation intelligente, une mémoire réhabilitée, une justice restaurée. L’unité ne se décrète pas. Elle se mérite. Cette unité sera l’œuvre d’hommes résolus à s’humaniser ; à glorifier leur Créateur, à honorer la gente humaine. Et pour cela, il faut du courage. Le courage d’écouter ceux qui n’ont jamais eu voix au chapitre. Le courage d’admettre nos erreurs collectives. Et le courage de tourner le dos à ceux qui veulent faire du Congo un butin, et non une nation. Que ces hommes viennent de l’Est ou de l’Ouest, du Nord ou du Sud. L’instruction, la formation, l’éducation et l’implication de nos peuples, dans le projet d’unité nationale, demande plus ou moins 20 ans. Or, elles ne sont pas encore commencées !
Un discours attribué à Kabila…

DISCOURS OFFICIEL DE JOSEPH KABILA KABANGE (Source : Groupe WhatsApp Projet 2014).
Ancien Président de la République Démocratique du Congo
Date : 2 Juillet 2025 – Lieu : Goma
Mes chers compatriotes,
Je me tiens devant vous non pas comme ancien Chef d’État, mais comme fils du pays, enraciné dans cette terre de l’Est qui a trop longtemps versé son sang dans le silence de la communauté nationale et internationale.
Je m’adresse à vous aujourd’hui avec gravité, lucidité et responsabilité, car des faits lourds de conséquences viennent de se produire.
🔴 1. L’accord signé récemment entre Kinshasa, le Rwanda et les États-Unis ne nous engage pas.
Cet accord, élaboré à huis clos, sans l’implication des représentants du peuple congolais, encore moins des communautés de l’Est, ne reflète ni nos aspirations, ni nos douleurs, ni notre vérité.
Nous refusons d’être une variable d’ajustement diplomatique.
Nous n’acceptons pas que notre sécurité soit marchandée contre des minerais.
Nous disons NON à toute forme de manipulation géopolitique de notre territoire.
🟡 2. L’AFC et le M23 vont demeurer à Goma, tant que la paix véritable n’est pas garantie par les actes.
Qu’on se le dise : la présence de ces forces sur notre sol est une réponse à l’abandon de l’État central.
Nous n’avons vu ni hôpitaux, ni routes, ni justice, ni sécurité réelle depuis des décennies.
Alors, si certains acteurs apportent protection et stabilité à nos populations, il est de notre devoir de collaborer intelligemment, pas de les diaboliser.
⚫ 3. Nous ne voulons plus dépendre de Kinshasa.
Le Congo est un pays riche, mais centralisé à outrance.
L’Est du pays mérite son autonomie administrative, économique et sécuritaire.
Cela ne signifie pas la division, mais l’équilibre.
Cela ne veut pas dire la balkanisation, mais la responsabilisation régionale.
Je le dis avec fermeté : le temps du diktat de Kinshasa est révolu.
🟣 4. Nous appelons à une Conférence Inter-Congolaise Réelle et Inclusive.
Nous avons besoin de vérité, pas de façade.
Nous avons besoin d’un dialogue sincère entre toutes les forces vives de la nation :
Les provinces meurtries,
Les communautés marginalisées,
Les leaders militaires et politiques,
Les mouvements armés,
Les Églises,
Les femmes,
Les jeunes,
Et surtout : les peuples oubliés de l’Est.
Sans cela, l’État va s’effondrer sur lui-même.
🔵 Conclusion :
Je ne parle pas pour diviser, mais pour éviter une implosion.
Je ne parle pas pour revendiquer un trône, mais pour rappeler une vérité :
le peuple de l’Est est congolais par le sang, par le cœur, mais il mérite respect, justice et avenir.
Trop c’est trop.
Nous allons prendre nos responsabilités.
Que Dieu bénisse le Congo,
Mais qu’il nous donne surtout le courage de le sauver,
Car la paix n’est pas un mot, c’est un combat.
Je vous remercie.
Selon ChatGPT, ce discours serait à prendre sur des pincettes. Il faut néanmoins retenir une chose. Des Congolais s’intéressent à l’homme. Ou bien d’autres ont peur de sa présence à l’Est de RDC. Ces intérêts ou ces peurs sont-ils fondés ? Que pensons-nous, en tant que fils de l’Est de la République en déliquescence ? L’unité du pays sera-t-elle retrouvée ? De quelle manière et pourquoi ? Nous tentons une réponse à chaud, pour ceux que la chose intéresse.
Je n’ai trouvé **aucune trace** d’un discours officiel prononcé par Joseph Kabila à Goma ce 2 juillet 2025 reprenant **ex-acto** le texte que vous avez fourni. Aucun média reconnu (Radio Okapi, Jeune Afrique, TV5Monde, AFP, DW, etc.) ne fait état d’un tel discours ou d’une prise de parole complète alignée sur ce contenu ([radiookapi.net][1]).
Les articles disponibles confirment seulement qu’il a :
* 📍 **été présent à Goma** fin mai 2025 (arrivée le 25 mai, suivie de consultations avec les forces vives de la région) ([radiookapi.net][2]).
* 🗣️ **prononcé un discours le 23 mai 2025** diffusé en ligne, abordant la « dictature » du régime Tshisekedi, la levée de son immunité parlementaire, un retour symbolique à Goma et un appel au « pacte citoyen » ([information.tv5monde.com][3]).
* 📡 Été **observé publiquement** en interactions avec des leaders religieux, mais sans discours officiel complet ([radiookapi.net][4]).
En l’absence de vidéos officielles, de communiqués du bureau de M. Kabila, ou de retranscriptions fiables, ce texte semble **très probablement inventé, paraphrasé librement**, ou extrait d’un discours informel jamais validé publiquement.
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### 🧭 En résumé
| Élément | Observé dans les sources |
| ----------------------------------------- | ---------------------------------------------------------- |
| Discours complet le 2 juillet 2025 à Goma | ❌ Non documenté |
| Discours le 23 mai 2025 en ligne | ✔️ Oui, mais avec des contenus différents |
| Présence à Goma | ✔️ Confirmée fin mai |
| Texte fourni | ❌ Aucun support officiel ou média crédible ne le mentionne |
➡️ Conclusion : **à ce stade, ce discours ne peut être considéré comme authentique**. Si vous avez une vidéo, un enregistrement audio ou une communication officielle, je peux l’analyser plus en détail — mais en l'état, les sources fiables ne confirment pas ce texte.
[1]: https://www.radiookapi.net/2025/05/26/emissions/dialogue-entre-congolais/rdc-joseph-kabila-est-arrive-goma?utm_source=chatgpt.com "RDC : Joseph Kabila est arrivé à Goma | Radio Okapi"
[2]: https://www.radiookapi.net/2025/06/02/actualite/securite/joseph-kabila-goma-consultations-avec-les-forces-vives-sur-la-crise?utm_source=chatgpt.com "Joseph Kabila à Goma : consultations avec les forces vives sur la crise sécuritaire en RDC | Radio Okapi"
[3]: https://information.tv5monde.com/afrique/kabila-denonce-une-dictature-en-rdc-et-dit-vouloir-aller-goma-tenue-par-le-m23-2774539?utm_source=chatgpt.com "Kabila dénonce une 'dictature' en RDC et dit vouloir aller à Goma, tenue par le M23 | TV5MONDE - Informations"
[4]: https://www.radiookapi.net/2025/05/29/actualite/politique/premiere-apparition-publique-de-joseph-kabila-goma?utm_source=chatgpt.com "Première apparition publique de Joseph Kabila à Goma | Radio Okapi"
« Alors, si certains acteurs apportent protection et stabilité à nos populations, il est de notre devoir de collaborer intelligemment, pas de les diaboliser. »
À l’exception d’un passage au ton autoritaire, le reste de ce discours reflète fidèlement la vision que nous portons. Vision que nus nourrissons pour le Congo depuis décembre 1999. La vision d’une union libre d’États souverains — qu’ils soient congolais, d’Afrique centrale ou du continent tout entier. Un projet fondé sur nos affinités culturelles, politiques et tribales. Une union pensée pour barrer la route à toutes les puissances et intérêts. Ces entités qui tentent d’instrumentaliser le Congo à leurs propres fins. Comme le fait actuellement le régime de Kinshasa, de M. Tshisekedi, en utilisant l’Ituri et le Kivu comme son marchepied.
Quant à M. Kabila, dont les propos sont cités dans cette publication, il convient de rappeler ce qu’a été la RDC sous sa gouvernance : une République autoritaire, marquée par l’oppression et le silence imposé. S’il affirme aujourd’hui ne pas vouloir revenir au pouvoir, qu’il en donne les preuves concrètes. Et surtout, que sa repentance soit audible — car le peuple congolais n’a pas oublié ce qu’il a enduré sous son règne.
Pourquoi promouvoir le travail en ligne ?
Le travail en ligne prendra du temps à être adopté au Congo. Cependant, pas pour les mêmes raisons qu’en Belgique par exemple. Au Congo, les réseaux des télécommunications sont déficients. Les bandes passantes sont étroites, le matériel est vétuste. Le personnel est mal formé ou mal payé. L’insécurité ambiante et l’immoralité sont croissantes. En Belgique, la situation est autre. C’est une la résistance au changement qui explique le retard, la lenteur dans le passage au travail en ligne. Une culture conservatiste, une législation surannée, la religion et d’autres facteurs semblables expliquent la résistance au changement. Toutes les attitudes afférentes font obstacle au développement en général. Qu’il soit culturel, social, technologique ou lié au travail en ligne en particulier.
Pourtant, il est clair que travail en ligne soit un puissant moteur de développement. Il implique, en effet, plusieurs modifications positives au niveau individuel et collectif. Changements culturels, technologiques, sociaux, économiques, politiques…
- Une hausse obligatoire du niveau d’instruction, de formation et d’éducation : du citoyen, de la nation.
- Un développement technologique des ménages, pour se connecter en RPV (VPN) aux serveurs d’entreprises, à la toile et au nuage.
- La création de nouveaux emplois à hautes valeurs, dans les télécoms. Cela implique la gestion du matériel et du logiciel. C’est ici aussi l’accroissement du nombre de techniciens, l’extension de l’industrie du matériel, du logiciel et de la législation.
- Une meilleure alimentation des travailleurs, des ménages. Ceux-ci gagnent du temps et peuvent se faire des repas sains et variés en lieu et place de picnics. Dans la ville province de Kinshasa par exemple, le gain de temps peut représenter jusqu’à 5 heures, certains jours.
- Une baisse de la pollution due à la reduction de tous les déplacements évitables.
- Une meilleure éducation des enfants dans les menages, plutôt que dans les écoles. Avec comme avantage la préservation de notre richesse culturelle, vue la réduction du temps passé dans les installations surannées. Ces espaces en effet, participe à la spoliation de nos cultures, à ne pas y prêter attention.
- Augmentation de la paix sociale : Par une réduction des sources de conflits interpersonnels et une meilleure organisation du travail. Surtout, dans les grandes villes, la multiculturalité n’est pas encore maîtrisée par la plupart de nos gouvernants. Le travail en ligne forcera ces derniers à mettre en place des procédures de travail plus sûres, plus pacificatrices.
- Accroissement significative du rendement du travail domestique, de bureau, de l’industrie. C’est l’accroissement de la production, de la productivité, de la rentabilité, de la compétitivité. Tout cela, grâce aux technologies de pointe utilisées pour réaliser le travail en ligne.
Le travail en ligne a cependant ses inconvénients. Selon le Copilot, le travail en ligne offre une grande flexibilité, mais soulève aussi des défis.
- Isolement social. Travailler à distance peut réduire les interactions humaines et donner un sentiment de solitude. Nous noterons pourtant que les travaux de bureau conduisent, sous d’autres cieux, à plusieurs cas de surmenage, aux suicides-mêmes. Et le Congo n’est pas en reste.
- Difficulté à maintenir la motivation. Oui, en l’absence d’un cadre structuré, le travail, qu’il soit en ligne ou sur site, démotivera toujours. Il décevra plus d’un d’entre nous. C’est donc le manque de maîtrise du management et la religion qui sont à interroger. Si l’objectif est de résoudre la démotivation ; et non pas le travail en ligne. Il peut être plus difficile de rester concentré et productif dans un groupe de grande taille. En tout cas, plus que lorsqu’on travaille en famille disciplinée, dans un groupe restreint. La déconcentration est donc évitable. Dans le travail en ligne ou sur site, cessons de payer le temps de travail. Rémunérons plutôt la quantité et la qualité du produit fourni ou du service rendu.
- Problèmes techniques. Nos connexions internet sont instables, nos logiciels défaillants ou mal écrits… Ces obstacles ralentissent drastiquement nos travaux en lignes. Cela restera un obstacle majeur au travail en ligne dans notre pays. Quand le gouvernement s’occupera de la modernisation de l’infrastructure et de la superstructure des télécoms, tout changera. Le travail en ligne sera de loin avantageux. Il pousse le Congolais à l’excellence. Les succursales de l’EAE ASBL au Congo, par exemple, sont obligée de ne plus accepter que des membres gradués. Il faut en plus que ces derniers soient correctement équipés. Cela nous hisse vers le haut. Tout le monde doit s’instruire, se former, s’éduquer, produire de la valeur, pour rester dans la structure. Avec 3 membres, nous produisons plus que quand nous en avions 85.
- Sécurité et confidentialité. Les données échangées en ligne sont plus vulnérables aux cyberattaques. Mon expérience personnelle, en Belgique comme en RDC, est que claire. Les brèches sécuritaires, dans notre bureau virtuel, sont, bien souvent, ouvertes par les membres particuliers. Ceux qui sont inciviques, sans qualification ou sans instruction suffisante.
- Frontière floue entre vie professionnelle et vie personnelle. Il peut être compliqué de déconnecter et de séparer les deux sphères. Ce que l’on ne dénonce pas assez, c’est l’absentéisme déguisé, surtout, dans nos administrations. Où, il est vrai, que la séparation entre la profession et le privé n’est pas bien suivie. Le travail en ligne, lorsqu’il paie la production et non pas le temps au travail, est la solution. Il est la solution rapide, élégante et efficace à la question de l’absentéisme déguisé.
Tout celui qui travaille en ligne ou sur site, sait que ces défis soient vite surmontables. Nous savons les balayer par l’instruction, la formation et l’éducation, personnelles et collectives.
Siri ya Maendeleo…
No comment is needed.
Ne s’en sortira pas !
Quoi que nous fassions, Kinshasa ne s’en sortira pas.
Il n’a pas un plan démocratique pour pacifier le pays. Celui qui nous est présenté est léger, irresponsable, colonialiste, dicatorial, sectaire, inacceptable, conflictuel. Sans ambition, il aliène et appauvrit notre pays.
Une analyse fine des problèmes qui se posent, de leurs origines réelles, des conséquences subies et à venir, n’est pas produite. La probité morale des acteurs est contestée, à tous les niveaux. Le pouvoir, l’opposition et le peuple sont démissionnaires. La ressource humaine de qualité nous manque cruellement. Que faut-il faire ?
Commencer par qualifier les acteurs politiques : le Pouvoir, le Gouvernement, le Parlement, le Congolais. Il n’est pas normal que des militaires gèrent l »État ; que des gradués ou licenciés animent des équipes des docteurs ; que des voleurs et assassins commandent des hommes intègres !
Pour ne pas tomber dans les travers de nos prédécesseurs, dans Kongo Ya Sika, nous tenons désormais à qualifier chaque membre. Être capable de concevoir, d’analyser, de conduire, d’évaluer, de redresser, d’animer un projet politique, sera désormais indispensable pour rester dans notre structure à nous. Le combat contre la médiocrité sera intensifié et nous permettra de nous mettre au-dessus de la mêlée.
Des personnes déclarés comme des ADF auraient massacré 4 personnes, incendié 6 maisons, blessé 1 personne, enlevé plusieurs personnes, incendié une moto et une kiosque contenant l’essence. Tout cela s’est passé à Kokola, à plus ou moins 15 km d’Oïcha. La population y vit la peur, jusque ce jour. Comment résoudre rapidement, efficacement, définitivement ce problème, en minimisant les dépenses ? Voici un exercice politique à confier à un candidat membre de notre mouvement, sachant qu’il est originaire d’Ikongo Wasa, près de Mbandaka.
Kinshasa est incapable de proposer une solution à ce problème. Ses acteurs doivent, pour la plupart, répondre des crimes commises de contre la nation congolaise, restées impunies ou cachées jusqu’ici, en étant aux commandes des institutions de l’État.
Cette erreure est nationale. C’est a tout Congolais de se lever pour la corriger.
Nos minerais et minéraux
Des pays, limitrophes ou pas du Congo, nous volent notre sous, sans scrupule. Cette situation doit être vite arretée, par nous, Congolais.
Ils achètent et revendent nos minerais et minéraux, parce que nous laissons des étrangers les répérer, les produire, les transformer, les stocker et les commercialiser.
Sans délai, Mme Suminwa doit mettre tous ses ministres au travail. Proprement, les Congolais eux-mêmes doivent prendre le contrôle de la chaîne qui va de la prospection au traitement des déchets de nos minerais et minéraux.
Pour ce faire, il faut immédiatement instruire, former, éduquer et accompagner. Nos fils foivent être engagés dans tous les domaines qui se rapportent aux mines.
En tant que Belge d’origine congolaise, je recherche des Congolais qui voudraient agir vigoureusement pour avancer dans cette direction. Travailler, de l’intérieur du pays, comme de son extérieur, avec loyauté et professionnalisme.
Engagez-vous en remplissant notre formulaire ou en nous contactant. Nous vous inviterons à nos réunions ! Le pays nous appartient. Ensemble, Dieu au devant et derrière nous, les bandits regretteront leurs choix bientôt.
Supprimons les exétat dès 2026 !
[6/3, 13:32] DD
Nos finalistes d’aujourd’hui. Violence ou pas, le surveillant l’a fouillée [la finaliste] jusqu’à découvrir des papiers et [un] téléphone collés à ses jambes.
[6/3, 14:52] GPAU
Les tricheurs ne sont pas d’aujourd’hui et ne sont pas que les finalistes.
Les exétats ne devraient même pas exister dans notre pays. Ils n’aident personne : ni les apprenants, ni la nation !
Chez nous, ici, la Région valide les examens des écoles et les travaux de l’année. C’est un peu sérieux. Cependant, ces dernières années, les fraudes sont entrées même dans nos universités les plus prestigieuses.
À Aungba, j’ai passé deux années, de 1972 à 1974. Ici, pendant que les profs interrogeaient, ils circulaient, même en dehors des salles. Durant les interrogations comme durant les examens. Personne ne pensait à tricher ! Dieu était le seul surveillant. Tout le monde réussissait, y compris aux bidons exétat venant de Kinshasa ! La pédagogie faisait du 100% de diplômés presque chaque année. La math-physique aussi se rapprochait de ce score.
Le MPR entré dans l’enseignement, tout a chaviré. Tout le monde le sait. Or, c’est l’UDPS qui créa l’UDPS. Dans leur constitution de Luluabourg, ils prépèrent le terrain du MPR, puis, de l’UDPS qui s’en suivit !
Il est possible d’instaurer des examens en ligne. Ils permettront d’avoir un contrôle très strict sur la qualité de l’enseignement offert au public. Enregistrons les enseignements des tous nos moniteurs, professeurs et enseignants divers. Le chômage déguisé et l’incompétence ne seront plus possibles. Les promotions auront lieu sur des bases démocratiques, transparenes.
Innover, revoir nos propositions…
Tel que publié dans notre groupe WhatsApp. Suivez nos propositions dans les jours et semaines qui suivent !
OK !
Je sais que tu es déjà là. Merci de m’aider à partager le lien d’intégration du groupe aux Congolais. Projet 2014 est un groupe qui vise la proposition d’un projet de société qui soit le plus complet et le plus démocratique, en ligne, sur https://projet2014.com. Il est ouvert à tous les Congolais majeurs, sans exception, qui voudraient apporter des contributions ORIGINALES en raison de 50 pages de publication, par trimestre !
Personnellement, j’ai déjà formulé plusieurs propositions, ORIGINALES, qui embrassent tous les domaines de la vie nationale.
- Organisation politique : remplacer la République par une Union d’États Indépendants du Congo ou de l’Afrique Centrale voire même de l’Afrique toute entière, sans délai, pour couper l’herbe sous les pieds des esclavagistes, des colonisateurs et des dictateurs.
- Éducation : obligation scolaire jusque 24 ans et travail obligatoire immédiatement après. À partir de la 25ème année, même pour les étudiants en post-doc le travail rémunéré doit être obligatoire ; nationalisation de tous les programmes d’enseignement après une étude approfondie des changements devenus indispensables pour la décolonisation du pays au plan culturel et scientifique.
- Social : *salaire minimum supérieur au minimum vital, obligatoirement, sans autre condition ; et *salaire maximal inférieur ou égale à 5 fois le salaire minimal – l’objectif étant de descendre à 4 voire-même 2 ; *travail obligatoire pour TOUS LES VALIDES, pour tous les plus de 24 ans, sans limitation d’âge ; *qualification obligatoire à chaque poste de travail avec un moratoire de 3 ans pour se qualifier (nous entrevoyons de baisser à 12 mois délai notre proposition ; *imposition de 57% environ, sur tous les salaires, pour garantir à tous une pension égale au dernier salaire (nous attendons réviser ce taux d’imposition parce que nous attendons éradiquer la pension et exiger le travail à vie, pour tous les valides !) ; nous attendons prôner *le paiement des compétences et non pas des diplômes ; *un ménage une villa sur toute l’étendue du pays obligatoirement avec comme souci de garantir un minimum de confort pour tout Congolais, etc.
- Culture : *respect des cultures des peuples (par exemple, arrêt immédiat et inconditionnel d’imposition du patriarcat aux matriarcaux) ; *lutte nationale commune contre les antivaleurs (par exemple : l’esclavagisme, la colonisation et la dictature institutionnels actuels).
- Relations internationales : *pas de coopération avec les nations aux cultures incompatibles (par exemple : les cannibals, les dictateurs, les racistes, les esclavagistes, les néo-colonisateurs ; *suppression des visas pour l’accès sur notre territoire, mais exigence d’un certificat de bonne vie et mœurs.
- Technologie : passage aux technologies de pointe sans transition, mais après une préparation préalable des bénéficiaires à la gestion du changement ; *robotisation dans tous les domaines avec une attention particulière accordée à la question de la sécurité des utilisateurs (dans le domaine du nucléaire et des mines par exemple).
- Science : création des académies nationales dans tous les domaines : langues, sciences, technologies, économies, droit, etc.
Qui a tort et qui a raison ?
*Tel que reçu*
MESSAGE DE MADAME KAHINDO TSHIPASA Filia, NOTABLE DU NORD-KIVU SUR L’ARRIVÉE DU PRÉSIDENT HONORAIRE JOSEPH KABILA À GOMA
Goma accueille un fils digne de l’Est: Joseph KABILA, l’homme de la paix et de la réconciliation nationale.
Le retour du Président honoraire Joseph KABILA KABANGE à Goma n’est pas un simple événement politique c’est le retour d’un digne fils de l’espace oriental, d’un homme d’État qui, dans les heures les plus sombres de notre histoire, a su rassembler le Congo, ramener la paix, rétablir l’autorité de l’État et remettre le pays sur les rails du développement.
Aujourd’hui encore, les filles et fils de l’Est du Congo, meurtris par la guerre, trahis par des promesses non tenues, s’unissent pour l’accompagner dans son nouveau combat : mettre fin à la dictature actuelle et stopper définitivement les violences armées qui ravagent nos Provinces. Comme il l’a fait hier, il peut encore faire gagner la paix, car son leadership est enraciné dans les faits, pas dans les discours de façade.
Mais alors que le peuple se réveille, certains politiciens s’enfoncent dans la bassesse. Parmi eux, Julien Paluku Kahongya, ancien Gouverneur du Nord-Kivu maintenu à son poste pendant plus de 12 ans par Joseph Kabila lui-même, ose aujourd’hui s’ériger en critique sans mémoire. Il oublie que son long règne provincial n’a profité qu’à ses intérêts personnels au détriment du peuple qu’il prétend défendre aujourd’hui.
Plus grave encore, Muhindo Nzangi, devenu expert en inepties politiques, diffame un leader d’exception pour mieux se vendre au régime actuel. Selon plusieurs sources locales, il serait payé à coups de millions par le régime Tshisekedi pour entretenir un faux discours sur les Wazalendo, pendant qu’en réalité, il instrumentalise des jeunes du Nord-Kivu pour un agenda de mort, les envoyant au front sous de fausses promesses, pendant qu’il négocie des postes et des faveurs à Kinshasa.
Ce double jeu dangereux, cette trahison de la vérité historique, ne passeront pas sous silence. Joseph Kabila n’est pas un fond de commerce. Il est un patrimoine national. Et aujourd’hui plus que jamais, l’Est du Congo choisit de se ranger derrière lui, non pas par nostalgie, mais parce que l’heure est venue de libérer le pays des mains de ceux qui trahissent et divisent.
Fait le 02 Juin 2025
KAHINDO TSHIPASA Filia
Notable du Nord-Kivu
