Quand nous étions enfants, il fallait fuir le blanc, le méchant, le cannibale.
1966 : certains ne savaient pas à quel saint se vouer. Nous apprenions que que deux mercenaires blancs étaient mangés (en partie ?) par des noirs à Mahagi.
Hier, pour comme plusieurs autres fois, nous apprenons que des noirs mangent leurs congénères noirs à Batalinga, dans le Nord-Kivu. Le régime, le gouvernement, l’administration, l’église, ne disent rien ; l’insécurité n’émeut plus personne…
Dieu reste le seul juge !