L’intelligentsia congolaise doit faire attendre sa voix pour l’instruction, la formation et l’éducation de nos masses populaires qui vivent dans l’ignorance, l’incompétence et l’indiscipline des plus alarmantes.
Nous avons lontemps laisser des ignares, des incompétents, des indisciplinés s’occuper de la conduite de la chose publique. Nous avons le devoir de corriger notre faute !
En éclaireurs, en modèles, jouons notre rôle civilisateur de notre nation. Autrement, demain, nos noms, nous, universitaires congolais, seront couverts de honte et oubliés par notre progéniture.