Nous cachons mal notre démission. Le 1er janvier 2019, nous serons dans une situation déplorable. Nous ne gaisons rien pour arrêter des bandits qui se présentent sur tous les fronts.
Au lieu de chercher comment démettre nos parlementaires traîtres, nous les cajolons.
Au lieu de suivre des leaders qui ont du poids : le savoir, le savoir-faire et le savoir-être, nous suivons des troubadours sans plan, sans foi ni loi !
Nous laissons ces hommes vendre nos terres, violer nos citoyens et les décimer sans qu’un élan de solidarité ne nous engage à les combattre…
Nous sommes des maudits.