Congo-Kinshasa, notre vaste et beau pays s’enlise.
Les étrangers qui y sont, avec la complicité des nôtres, mal préparés à gérer l’étranger, pillent et spolient notre nation. Vols à mains armées, viols, assassinats, empoisonnements, dupéries, démagogies, paresse, exil, marches de protestations ou de dénonciations sont devenus notre lot, nous, congolais.
Les mathématiques, en plus de rendre nos enfants souples dans le traitement des questions qui requiert l’abstraction, les rends en plus rigoureux et par le fait même, mois vulnérables aux chantages et aux supercheries de nos politiciens démagogues et cupides, de nos faux pasteurs qui induisent des foules dans l’erreur spirituelle ; et de ceux qui trouvent en la crise actuelle leur compte pour un temps encore.
Les mathématiques ouvrent des portes à nos enfant pour maîtriser la technologie et ainsi nous aider à produire plus demain.
Les mathématiques préparent efficacement nos enfants à exercer demain dans les domaines des nouvelles technologies de l’information et des communications, où l’investissement de montage des projets n’est pas important comme dans les autres secteurs.
Puissions-nous y penser, comme certains rares congolais l’ont déjà fait.
