Faire la guerre à so  frère…


[2/1, 22:47]

RDC : Mgr Fulgence Muteba, Archevêque métropolitain de Lubumbashi et Président de la CENCO  est arrivé à Kinshasa ce vendredi soir.
Sauf changement, la CENCO🇻🇦 devrait être reçu lundi par le Président Tshisekedi, dit une source proche de l’ Église Catholique.
« C’est après cette rencontre que les évêques vont prendre la parole sur les récents événements ».


[2/1, 23:07]  GPAU

Quoi donc ? Est-ce une manière de s’allier les prélats catholiques – et protestants, et d’espérer arracher ainsi la bénédiction de Dieu pour gagner la guerre contre le Rwanda ou contre le M23 ?
Erreur !  Lisons le livre d’Amos, si nous pensons être un peuple de Dieu.

Tel que reçu…


« Trois États membres du Conseil de sécurité des Nations unies (Etats-Unis d’Amérique, Royaume-Uni de Grande Bretagne et d’Irlande du Nord, la France et l’ONU viennent de s’accorder pour modifier sensiblement les frontières Est de la République démocratique du Congo !

Dans ces mêmes circonstances du temps, le Rwanda vient de créer trois (3) colonies des peuplements à Nyirangongo, Kibumba et Bahumba où ils sont entrain d’installer massivement des colons militaires tutsi rwandais hypers armés.

La prochaine étape qui s’annonce c’est l’officialisation de la reconnaissance de la souveraineté du Rwanda sur les dites entités soit disant pour protéger les minorités tutsi rwandaises de la République démocratique du Congo.

Il n’y a que la Russie maintenant qui peut mettre en échec ce plan macabre mais le Président Félix Antoine Tshisekedi hésite à prendre la décision de faire aboutir l’offre de la Fédération de Russie il croit encore à une diplomatie inutile américaine qui lui fait perdre du temps.

Au delà de ce que »

Cette information reçue par WhatsApp est visiblement tronqué.

Voici un commentaire du Copilot sur le sujet.

Il semble que la situation politique et diplomatique entre la République Démocratique du Congo (RDC) et la Russie soit complexe. Selon les informations disponibles, un accord de coopération militaire entre la RDC et la Russie a été approuvé, visant à échanger des expériences et des informations dans la lutte contre l’extrémisme et le terrorisme international1. Cependant, certains analystes, comme Franklin Nyamsi, suggèrent que le président Tshisekedi pourrait ne pas être entièrement engagé dans la mise en œuvre de cet accord, le percevant plutôt comme un moyen de pression sur les soutiens occidentaux du Rwanda1.

« Il est important de noter que les relations internationales sont souvent influencées par une multitude de facteurs, y compris des intérêts stratégiques, économiques et politiques, qui peuvent rendre les décisions complexes et multifacettes. »

Les Congolais n’ont pas encore leur dernier mot !  Et ceux qui vendent le  Congo doivent faire attention à leur intention ; parce que Dieu veille.

Les conspirateurs sont-ils toujours de vrais congolais ?


Laissons de côté la question facile à traiter du vrai congolais ou du faux congolais. Le congolais étant bien défini dans leur constitution de 2006.

Pourquoi seulement les soupçonnés sont toujours de vrais congolais ?
Pourrait-il en être autrement. Comment ?
Les rwandophones sont dans l'armée, mais n'ont jamais été cités comme des traîtres.
  1. Être rwandophones n’est pas forcement être rwandais.
  2. D’aucuns, la plupart d’entre nous, pensent que ce soient les rwandais et les rwandophones congolais qui soient la cause de nos malheurs. Notre compatriote, dont le propos est repris ci-dessus, occulte les accusations portées contre plus de 300 officiers rwandophones de notre armée, dans la majorité de nos fora ? Dans quel but ? Avec quel bénéfice pour le Congo ?
  3. Quelque soit la nationalité des officiers incriminés (= concernés, mais pas nécessairement coupables), il est anormale que le tutsi ou le hutu, minoritaires au Congo, se retrouvent si nombreux au sommet de notre armée. Ni la Présidence de la République, ni le Gouvernement, ni le Parlement, ni le Peuple congolais lui-même ne prennent à cœur de résoudre cette anomalie, conséquence de notre crime commune de lèse-nation.
  4. C’est pour cela que notre analyse est que le chemin politique à parcourir soit encore très long avant que nous n’atteignions le bout du tunnel.