Les 3 obligations…


L’insécurité de notre pays est aussi due à notre incapacité de dissuasion et de riposte. Peu sont ceux qui acceptent de considérer cette réalité.

Les contre-performances de notre peuple, de notre armée et de notre police résulte de notre bas niveau de formation. Si la majorité le sait, une minorité cependant en tient compte.

Le snobisme, la dépendance culturelle, économique et industrielle dans laquelle nous vivons, sont eux-aussi les conséquences de nos bas niveaux moyens d’instruction, de de formation et d’éducation.

Nous proposons depuis longtemps une solution que nos compatriotes, dans leur majorité,  foulent aux pieds.
1. L'obligation scolaire jusque 24 ans pour nos enfants.
2. L'obligation de travail pour tous les valides après 24 ans.
3. L'obligation de qualification officielle de tous les travailleurs via des enseignements et formations de qualification professionnelle.

Les nombreux échecs des gouvernements qui se succèdent à Kinshasa, où sont concentrés nos ministères de colonisation et domination, prouvent pourtant à suffisance que leurs stratégies demandent des révisions démocratiques profondent.

Tous nos partis politiques étant démissionnaires, il faudra attendre très longtemps avant que le pays ne soit mis sur les rails.

De la production à la rentabilté…


Nous devons produire les ressouces dont notre nation a besoin pour vivre.

  • Pour nos besoins.
  • Pour vendre et avoir de quoi acheter ce que nous ne savons pas produire.

Notre production doit donc être accrue, diversifiée, qualifée…

Pour que notre production soit suffisante, notre productivité doit être accrue et la rentabilité de nos processus de production doit être accrue.

Pour que cela soit possible, notre peuple doit être bien instruit, formé et éduqué. Le rôle de l’enseignement est donc crucial dans le processus de notre développement. Il importe donc de ne laisser personne jouer avec la profession enseignante.

C’est la raison pour laquelle, aux élections prochaines, nous supplions notre peuple à ne plus être complaisant. Nous devons nous désigner des parlementaires, des ministres et des fonctionnaires d’une grande éducation, d’une haute formation et d’une vaste culture.

Pour qu’il en soit ainsi, nous devons nous départir du népotisme, du favoritisme et revêtir le civisme, le patriotisme…

Cest le gage de notre production, de notre productivité, de notre rentabilité et de notre compétitivité.