UNILU : Qui tueraient notre enseignement ?


LETTRE OUVERTE A L’UNILU LA MEDIOCRE. DE LA SCIENCE A L’ENFER: Bradage de Diplôme de DEA et THESE à l’UNILU la médiocre par le Recteur KISHIBA.

  • Au Président de la République
  • Au Premier Ministre
  • Au Président du Senat
  • Au Ministre de l’ESU
  • Au Ministre de l’Intérieur
  • Au Secrétaire Général à l’ESU
  • Au Conseil d’Administration des Universités
  • Au Président de l’APSICO
  • Aux Associations de Droit de l’Homme
  • Aux membres du Comité de Gestion de l’UNILU
  • Au Doyen de la Faculté des Sciences Sociales UNILU.
    Nous, le PERSONNEL Scientifique de la Faculté des Sciences Sociales, Politiques et Administratives de l’UNILU, constatons avec regret et douleur au Coeur l’organisation du STAFF SEMINAR de Mr Jacques KYABULA KATWE, le Gouverneur du Haut-Katanga.
    Pour votre information, Jacques KYABULA est nommé CT sans que le dossier ne soit examiné au Département et à la faculté.
    Le 14/03/2022 à 18h, une équipe des Professeurs composée de Prof MBAYA KABAMBA (Directeur de son mémoire), KAPEND NGUZ, KALUNGA MAWAZO, MPIA IMANDA, KAHOLA, MWENZE MINZA, et Les autres ont organisé un STAFF SEMINAR à 19h pour le Memoire de DEA en SPA de Jacques KYABULA moyennant 1000$ à chaque Professeurs présents au STAFF (11 Professeurs) et 2.500$ pour le Directeur Prof MBAYA KABAMBA.
    Pendant que les exemplaires de son Mémoire étaient déjà déposé au Département et prêt à être défendu car le Recteur tient à tout prix que cela se passe en dehors de la procédure normale chose que le Chef de Département n’a pas bien digéré.
    Comprenez, pendant que nous, nous présentons 3,4,5 voir 6 STAFF SEMINAR, Jacques KYABULA avec la bénédiction de son Beau-Père KISHIBA, n’a Jamais suivi Les Cours et Séminaires tel que prévu dans le Programme de 3e cycle, mais il veut être collé le grade de DEA.
    Quelle injustice?
    Avec qui parmi nous les Doctorants des SPA KYABULA avait suivi ces cours et séminaires?
    En ce qui concerne Les ATTESTATIONS des cours et séminaires, pour n’avoir suivi qu’une seule séance dans le séminaire de SOCIOLOGIE POLITIQUE dispensée par le Prof Ordinaire MULUMBATI NGASHA, ce dernier avait refusé de lui livrer l’Attestation car n’ayant assité à une seule séance sur 7 organjsées (Nous sommes là en 2016) mais hélas, un Sociologue, Prof MPIA IMANDA JEAN DIDIER, s’est permis de lui signer une ATTESTATION du cours de SOCIOLOGIE POLITIQUE qu’il n’est ni tutilaire, ni enseigné quelle pratique d’antivaleur?…. Tout cela c’est pour des raisons de leur maintien à leur postes de DG comme ce fut le cas avec KISHIBA, le Prof KAPEND et MPIA se lancent dans cette pratique antivaleur.
    Nous demandons au Président de la République d’instruire le Ministre de l’ESU de s’investir pour que cette trichérie ne soit valisé par KISHIBA prêt à signer une décision de membres du jury de Mr KYABULA KATWE, son gendre.
    Mr le Secrétaire Général à la Recherche, vous devez défier cette pratique antivaleur que votre Beau-fils cherche à instaurer à l’UNILU. Nous comptons sur votre sens de manager.
    Fait à Lubumbashi, le 15/03/2022.
    Personnel Scientifique (APSICO)/Sciences Sociales.

La tricherie à l’ULB


La tricherie à l’ULB (http://www.telebruxelles.net/portail/info/255-info-regionale/29619-un-detecteur-contre-la-fraude-a-lulb) ?  Quelle honte pour cette prestigieuse université et pour notre Région de Bruxelles-Capitale, à vite effacer ; et, quel défi à relever, absolument, en supprimant rapidement cette dérive inacceptable dans une université qui se veut du libre exam et qui de plus n’est déjà pas si mal prositionnée, entre la 100ème et la 200ème au monde (http://www.shanghairanking.com/ARWU2013.html, http://www.shanghairanking.com/World-University-Rankings-2013/Belgium.html).

La culture du libre examen n’est plus défendue de manière franche et suffisante depuis quelques décennies.  Entre 1988 et 1994, nous y avons étudié et suppléé à la conduite des travaux pratiques sur le RED, réséau expérimental et didactique, travaux de simulation de défauts sur les réseaux HT et THT (Haute tension et très haute tension).  Ce temps nous a permis de nous rendre compte du travail qui reste encore à faire pour que les étudiants intériorisent, le principe du libre examen, pour le bien de notre nation et de notre culture occidentale qui, nous y croyons fermément, en tireront des bénéfices appréciables.

Chez la plupart de nos enseignants, la volonté existe de transmettre la culture.  Cependant, la défense de l’identité culturelle de l’ULB n’est pas toujours assurée chez tous avec l’ardeur suffisante pour faire face à la tendance globale qu’a notre société à s’acculturer sans prendre le pouls des conséquences ; parce que le tri n’est pas toujours fait rigoureusement à l’entrée, en terme d’engagement moral !  Chez les étudiants, la mixité rend un peu plus difficile le dialoguqe et la prise de décisions pour travailler, ensemble, à la préservation de l’image de notre université.  La crise identitaire est forte et c’est elle qu’il faut juguler, pour facilité le travail qui consiste à mettre tout le monde au travail et ne plus tolérer des vices tels que la tricherie au sein d’une institution qui se veut modèle dans le secteur.  La cause de la tolérance qui nous ravage n’en sera que mieux défendue, contrairement à ce que la gauche voudrait nous faire croire.

Dans le projet 2014, nous proposons aux congolais la séparation de la fonction enseignante de la fonction d’évaluation de la connaissance, de la compétence et de moralité tant des apprenants, des enseignants que des parents (http://users.skynet.be/bs245857/2014/contributions/graphelepalukuatokauwekomu/enseignement.htm).

L’ULB peut sérieusement et utilement se pencher sur cette stratégie dans une optique du long termne (plus de 5 ans) pour juguler une fois pour toute les tricherie en salle.  Ce qui ne garantit pas encore que tous les défis que nous pose la tricherie aux examens seront relevés.  Un serveur d’examen peut en effet être piraté de différente manière de même.

Une raison de plus pour que nous travaillions à soutenir le projet « Bruxelles, capitale informatique de l’Europe », projet BCIE, pour anticiper la criminalité dans ce domaine.

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