M23 : congolais ?


KANAMBE PREPARE DE METTRE LA RDC A FEUX EST A SANG  Ouganda: un millier d’ex-rebelles congolais s’échappent de leur camp

[Source : http://www.rtl.be/info/monde/international/ouganda-un-millier-d-ex-rebelles-congolais-du-m23-s-echappent-de-leur-camp-684949.aspx]

Kampala – Un millier d’ex-rebelles congolais du M23 se sont échappés mardi de leur camp en Ouganda lors d’une opération de rapatriement en République démocratique du Congo (RDC), a annoncé l’armée ougandaise, tandis que 120 ont bien été transférés vers leur pays.

Un millier de rebelles du M23 se sont échappés du camp de Bihanga, à quelque 300 km au sud-ouest de Kampala, expliquant craindre pour leur sécurité s’ils étaient rapatriés en RDC, a déclaré le porte-parole de l’armée ougandaise, le lieutenant-colonel Paddy Ankunda, sur le compte Twitter de l’armée.

Le gouvernement recherche désormais les rebelles du M23 qui ont échappé au rapatriement, a-t-il ajouté.

L’opération, qui avait démarré tôt mardi matin, s’est heurtée à l’opposition de nombreux ex-combattants, le président du M23 affirmant que certains d’entre eux avaient été blessés par balles par les soldats ougandais.

En revanche, 120 ex-miliciens ont embarqué dans un avion à l’aéroport international d’Entebbe, à une trentaine de km de la capitale ougandaise, a constaté un journaliste de l’AFP. L’avion a ensuite décollé à destination de la RDC voisine.

Il y en a 120 qui sont en route pour Kinshasa, a confirmé à l’AFP François Muamba, coordonnateur du Mécanisme national de suivi (MNS), un organisme congolais chargé du dossier.

Quelque 1.300 ex-combattants du M23 étaient cantonnés dans le camp de Bihanga depuis la défaite de cette rébellion congolaise fin 2013.

(©AFP / 16 décembre 2014 21h48)

FDLR dans l’Orientale puis dans l’Equateur…


BREAKING NEWS ALLERTE ROUGE  le rwandais hypolite kanambe soit disant-«Joseph Kabila» avec ses freres rwandais-, mille quatre cents combattants des FDLR (Forces démocratiques pour la libération du Rwanda) – qui ont accepté de déposer les armes – accompagnés de quatre mille deux cents membres de leurs familles vont être transférés, des provinces du Nord et Sud Kivu, à Kisangani (Province Orientale) avant leur installation «provisoire» à Irebu, tout près de Bikoro, dans la province de l’Equateur. Cette question qui touche à la sécurité nationale n’a pas fait l’objet de délibération du Conseil des ministres. Elle n’a pas non plus été évoquée par les deux chambres du Parlement. A preuve, les protestations des parlementaires de la Province Orientale et de l’Equateur. L’éloignement de ces opposants au régime de Paul Kagame des frontières de leur pays a le mérite de «démasquer» un rwandais a la personne de  «Kabila», qui fait de moins en moins mystère de sa loyauté vis-à-vis de sont pays natal le  Rwanda que du Congo-Kinshasa qui lui a sorti du néant et tout donné. Le cas sous examen n’est pas le premier du genre. 

«Contrairement aux apparences, Joseph Kabila est un trouillard. Il a une peur bleue de son mentor Paul Kagame. La preuve a été faite le 30 juin 2010 lorsque le démarrage de la parade militaire à Kinshasa a été retardée de plusieurs heures parce que Paul Kagame avait quitté Kigali avec deux heures de retard». L’homme qui parle est un diplomate d’un pays occidental en poste à Kinshasa. Il ajoute : «Joseph Kabila n’a pas oublié qu’il a foulé le sol du Kivu, en octobre 1996, en qualité d’aide de camp et de chauffeur du colonel James Kabarebe, l’actuel ministre de la Défense du Rwanda. Les dirigeants rwandais exercent du chantage sur lui. Fidèle vis-à-vis de ses mentors rwandais, Joseph Kabila n’a pas oublié les services lui rendus par certains leaders des FDLR d’où les atermoiements actuels». A en croire ce diplomate, c’est encore «la peur» qui aurait incité le «raïs» à convoquer les ambassadeurs le 31 mai pour dénoncer les «ingérences». «Kabila Kabange avait péter les plombs ce samedi 31 mai».

Selon le général Abdallah Wafy, représentant spécial adjoint du secrétaire général de l’Onu en charge des opérations dans la partie orientale du Congo, les 1400 miliciens Hutus rwandais «ayant accepté de déposer les armes» arriveront «prochainement» à Kisangani au lieu-dit «Centre technique de Bataillons». Il semble que «Boyoma» ne sera qu’un lieu de «transit». La prochaine destination – finale ? – serait la localité d’Irebu, à l’Equateur en attendant de trouver un « pays d’accueil ». «C’est à croire que le chemin le plus court pour aller des provinces du Kivu vers le Rwanda passe par Kisangani et Mbandaka», s’enrage un activiste de la société civile joint au téléphone mardi à Kisangani.

A Kinshasa, le général Wafy a indiqué l’itinéraire : Walungu-Bukavu (Sud-Kivu), puis Kisangani (Province Orientale) et Irebu via Mbandaka (Equateur). A partir de cette dernière province, «on» va leur chercher un hypothétique pays d’accueil. Motif de cette errance : Paul Kagame rechigne à voir l’ombre d’un «Interahamwe» aux frontières de son pays. Le Congo-Kinshasa est-il en passe de se transformer en réceptacle des tous les flibustiers et autres pistoleros de l’Afrique centrale?

Selon des indiscrétions dans la capitale congolaise, la décision de délocaliser les éléments des FDLR n’a jamais fait l’objet d’un débat au cours des rares réunions de Conseil des ministres. Au palais du peuple, siège du Parlement, personne n’a souvenance d’une discussion en plénière ou en commission sur cette question afin d’apprécier les avantages et les inconvénients. «Politiquement irresponsable, Joseph Kabila a toujours été le véritable conducteur de la politique de la nation usurpant une prérogative du premier ministre sans rendre compte à la représentation nationale», commente un député national de la majorité présidentielle. L’homme a requis l’anonymat. Et d’ajouter : «Il est inacceptable que le chef de l’Etat exerce un pouvoir sans contrôle ni limite. Il décide impunément sur tout avec une sorte de gouvernement parallèle qui se trouve à la Présidence. La raison est simple : la grande majorité des députés et sénateurs sont ses obligés». «La délocalisation des FDLR à Kisangani et à Irebu ne répond à aucun intérêt national», souligne-t-il.

Réactions

Lundi 14 juillet, le comité des députés nationaux de la Province Orientale ont fustigé le transit de ces miliciens dans leur région en invoquant des «raisons de sécurité». Président de ce comité, Valentin Senga, membre de la mouvance kabiliste, a été sans équivoque : «Nous refusons catégoriquement le transit et la localisation des éléments FDLR sur toute l’étendue de la Province Orientale».

Notons que des bandes armées nationales et étrangères imposent leur loi dans certaines localités des districts du Bas et Haut-Uélé. C’est le cas des Mbororo et ADF-Nalu. Sans omettre les combattants fidèles au fameux « Cobra Matata » et ceux de l’ex-chef milicien Paul Sadala, alias « Morgan », exécuté en avril dernier par les FARDC. Pour les députés de la Province Orientale, les éléments des FDLR doivent être rapatriés «vers leur pays le Rwanda». Seront-ils entendus ? Rien n’est moins sûr dans cette Assemblée nationale truffée de caudataires prompts à exhiber la danse pour plaire au «raïs».

La même réprobation prévaut dans les milieux des élus de l’Equateur. Ceux-ci avaient donné de la voix dès le mardi 10 juin. C’était au Palais du Peuple. Ici aussi, les députés nationaux craignent une exacerbation de l’insécurité. «L’opinion tant nationale qu’international n’ignore pas les atrocités commises par ce mouvement politico-militaire à l’Est du pays. A ce point de vue, la décision du gouvernement relative à cette relocalisation n’est pas réfléchie», déclarait le président du caucus des députés de l’Equateur, Nicolas Akpanza. «Les réfugiés centrafricains se trouvent nombreux sur le sol de notre province, avec des conséquences négatives sur la vie des autochtones, la précarité de la situation de la province suite au dossier des insurgés Enyele, les récents expulsés du Congo Brazzaville sont pour la plupart des ressortissant de l’Equateur» expliquait-il. Même son de cloche dans les milieux des activistes de la société civile.

Des indiscrétions dans les milieux kabilistes de la capitale laissent entendre que depuis le renversement de François Bozizé par les rebelles de la Séléka, la famille de l’ex-dictateur a trouvé refuge à Kinshasa. «Les Bozizé résideraient au quartier Ma Campagne», confie une source. Il semblerait que Bozizé serait «à tu et à toi» avec François Beya, le patron de la DGM (Direction générale des migrations). Selon la même source, Bozize qui rumine l’ambition de redevenir «calife à la place du calife» à Bangui aurait des contacts réguliers avec Lévy Yakete, le leader de la milice chrétienne Anti-Balaka via un de ses proches qui ferait des vas-et-viens entre Kinshasa et Zongo. D’aucuns parlent d’un certain « Zambrota » qui se baladent au grand jour avec des membres des « services » congolais.

«Joseph Kabila» au service de la sécurité du Rwanda

Les faits parlent d’eux-mêmes. En 2005, le gouvernement de transition « 1+4 » dominé par « les hommes du président  » avait signé un accord à Rome avec des dirigeants des FDLR. Cette convention donnait aux miliciens Hutus rwandais le choix entre «l’installation définitive» – inimaginable! – dans une des régions congolaises ou le «rapatriement volontaire» au Rwanda. Les rapatriements volontaires ont été rarissimes. Paul Kagame et les « manitous » de son régime s’évertuaient à promettre des bosses et des plaies aux candidats au retour.

En mai 2010, l’opinion tant nationale qu’internationale apprenait avec stupéfaction le transfert de cinquante-quatre éléments des FDLR et des membres de leurs familles – soit au total 164 personnes – de Goma à Kisenge au Katanga. Qui a pris cette décision ? L’auteur de cette initiative intempestive est un certain Daniel Mulunda Ngoy Nyanga, président d’une obscure l’association dénommée «Parec» (Programme national pour la paix et la reconstruction). L’homme a pour signe particulier d’être le «gourou» de «Joseph Kabila». A l’époque, le ministre de la Communication et presse en l’occurrence Lambert Mende Omalanga de déclarer : «Ce transfert fait partie d’un vaste programme du gouvernement congolais qui va aboutir au retour de ces FDLR dans leur pays d’origine». «Il n’y a aucune menace pour la sécurité des populations», ajoutait-il. Quid de l’exécution de ce « vaste programme »?

En juin 2011, la presse flamande rapportait qu’à la demande de Paul Kagame, «Joseph Kabila» a entamé des pourparlers avec les leaders Hutu des FDLR. A l’ordre du jour, le transfert des combattants de ce mouvement des environs de Walikale et Masisi au Kivu vers la province du Maniema et leur désarmement. L’objectif, une fois de plus, consiste à éloigner ces opposants armés des frontières de leur pays d’origine. Les négociations étaient conduites, côté congolais, par …un officier belge nommé Jean-Pierre Breyne. Un proche au socialiste francophone André Flahaut. Breyne était assisté de Jean-Luc Kuye Ndondo, président de la Commission vérité et réconciliation, et de Père Minani. Les FDLR, eux, étaient représentés par le général Gaston Iyamuremye aka Ramuri. Les «négociations» se sont terminées en «eau de boudin», comme disent les Belges. Iyamuremye aurait posé trois conditions : le versement d’un montant oscillant entre 250 000 et un millions $ US promis à Rome en 2005 ; des négociations directes entre Paul Kagame et la milice hutue et l’arrêt de toute attaque contre les miliciens. L’homme fort de Kigali y opposa une fin de non-recevoir.

Après avoir échoué au Maniema, « Joseph Kabila » récidive dans la Province Orientale et à l’Equateur. Question : Que mijotent cet individu – au passé jalousement gardé – et les «durs» de son régime? Voudraient-ils «allumer le feu» – avant de «dégager» ? – au Sud (Ba Kata Katanga), au Nord-Est (FDLR, la nébuleuse Maï Maï, Mbororo, ADF, LRA), à l’Ouest (FDLR et Anti-Balaka) ? Pure spéculation ? Assurément pas !

L’actuel locataire du Palais de la nation est plus au service des intérêts sécuritaires du Rwanda de son mentor Paul Kagame et de sa propre survie politique. Il n’a que faire de la sécurité des personnes et des biens au Congo-Kinshasa. Il n’y a plus de doute : le Congo dit démocratique est dirigé par un imposteur. Depuis treize ans.

Nous nous fourvoyons !


Sommes-nous conscient de ce que nous faisons ?  Quel sera l’avenir de nos enfants à l’allure où nous nous occupons de la chose publique ?  Y a-t-il mieux à penser et à réaliser ?  Comment y arriver ?

La livraison suivante nous montre combien nous en sommes encore à nous diviser sur ce qui fait notre nation : notre nationalité et notre capacité de l’assumer.

La Bible dit, en Marc 3:26 : « Si donc Satan se révolte contre lui-même, il est divisé, et il ne peut subsister, mais c’en est fait de lui. »

Véranda Mutsanga

Hier, à 12:23

Butembo : Le Bourgmestre de la commune Bulengera suspendu pour avoir déclaré l’arrestation du rwandais Joseph KABAREBE à la presse!

Incroyable mais vrai. 48 heures après l’arrestation d’un sujet rwandais par la jeunesse en commune Bumengera, au quartier MUTIRI, cellule VATOLYA, cette arrestation ayant été déclaré à la presse par le jeune Bourgmestre de la commune Bulengera, l’honorable KAMBALE KITSA Omer, a écopé d’une suspension de ses fonctions pour une durée indéterminée… par un arrêté signé par le maire de ville de Butembo.

Le bourgmestre KIZA est « d’incitation à la haine » contre les étrangers.

Alors qu’il était dans sa mission de garant de la sécurité, il l’a gardé pendant la nuit, car ayant des identités rwandaises et congolaises. Pour raison d’enquête, il a été arrêté !

Cela prouve que, la RDC est loin de se libérer du joug rwandais ! Nous sommes congolais mais inféodés au rwanda.

Alors que, nos compatriotes sont chassés comme des chiens, comme des mouches à Brazza ville, mais comme c’est un rwandais, de surcroît fils de KABAREBE !

Quelle honte pour KAPIPI et sa hiérarchie ! L’histoire ne vous pardonnera pas

Dossier à suivre

Tembos Yotama a ajouté 3 photos.

Hier, à 15:18

Butembo : Le Bourgmestre

Butembo : Le Bourgmestre de la commune Bulengera suspendu pour avoir déclaré l’arrestation du rwandais Joseph KABAREBE à la presse!

Incroyable mais vrai. 48 heures après l’arrestation d’un sujet rwandais par la jeunesse en commune Bumengera, au quartier MUTIRI, cellule VATOLYA, cette arrestation ayant été déclaré à la presse par le jeune Bourgmestre de la commune Bulengera, l’honorable KAMBALE KITSA Omer, a écopé d’une suspension de ses fonctions pour une durée indéterminée p…ar un arrêté signé par le maire de ville de Butembo.

Le bourgmestre KIZA est « d’incitation à la haine » contre les étrangers.

Alors qu’il était dans sa mission de garant de la sécurité, il l’a gardé pendant la nuit, car ayant des identités rwandaises et congolaises. Pour raison d’enquête, il a été arrêté !

Cela prouve que, la RDC est loin de se libérer du joug rwandais ! Nous sommes congolais mais inféodés au rwanda.

Alors que, nos compatriotes sont chassés comme des chiens, comme des mouches à Brazza ville, mais comme c’est un rwandais, de surcroît fils de KABAREBE !

Quelle honte pour KAPIPI et sa hiérarchie ! L’histoire ne vous pardonnera pas

Dossier à suivre

GPAU

Attention, chers frères !  La parole inégalable de Dieu donne un conseil : ne marchez par sur les chemins ou en compagnie des méchants !

Et puis : pour que cela dépende de vous, soyez en paix avec tout le monde.

Enfin : ne marche pas en compagnie d’un chien méchant de peur qu’il ne te morde en chemin.

Et encore : un royaume divisé contre lui-même ne peut subsister.

Conséquence :

Il est complaisant d’aller vivre chez ceux que l’on déclare être ses ennemis ; mais il est tout aussi naïf de penser à la libération du Congo tant que nous ne saurons pas nous attendre sur des points élémentaires tels que :

Kabarebe est-il congolais ou rwandais et qui plus est qui sert-il réellement ?  La nationalité congolaise est-elle unique et exclusive et pourquoi ?

Le manque de connaissance, la peur, la duplicité, l’égoïsme nous amène à écrire n’importe quoi.

L’inconcevable et l’humiliation


ALLERTE ROUGE ROUGE  INFORMATION YA SUR.LE FILS DE CHIEN HYPOLITE KANAMBE SOIT DISANT JOSEPH KABILA AYE NA QUELQUE MUSICIENS YA CONGO NA KATI YA AVION NAYE AYE NA BANGO PONA BA PLAIDER PROBLEME NA BANGO NA UNION EURO .VOILA ENCORE UNE RAISON PONA TO ZALA EBELE EBELE EBELE LE 2 NA LE 3 NA BRUXELLE PONA OPERATION BARRACUDA.RIEN QUE TA PRÉSENCE EKO SALISA CONGO.TO LINGA CONGO TO TELEMA . MUTU TOLUKAKA YE YO KANAMBE AYE TOBOMA YE  TOTIKA HISTOIRE NA EUROPE

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C’est à nous de prouver que nous sommes les plus forts :  nos seulement par nos muscles, mais aussi par nos cervelles !

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Il sera inconcevable et encore une fois humiliant que nous laissions Kanambe entrer dans la ville de Bruxelles, allègrement, pendant que nous, combattants et résistants, sommes là pour veiller à convaincre nos compatriotes à lui barrer la route vers un quatrième mandat !

Ce dont l’Occident a besoin pour être de notre côté, c’est la preuve matérielle irréfutable que Kanambe ne soit plus matériellement capable de présider aux destinées de la RDC et qu’il existe d’autres sujets congolais capables de garantir tous les contrats passés entre la RDC et l’Occident depuis la nuit des temps.

Nous pensons que Kongo ya Sika est aujourd’hui la seule formation politque capable de réaliser cette condition, sans trahir la nation congolaise ni froissée outre mesure cet Occident en très imbu de lui-même, pour des raisons évidentes : son ascendance technologique, économique, culturelle et psychologique sur la RDC.

A nous de leur fournir la preuve que nous avons muscles et cervelles !

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Sexe et politique


Quand le sexe se mêle à la politique, tout ressemble aux nombreux exemples bibliques.  Samson, David et les autres…

Les « révélations » suivantes ne sont pas intrigantes en soit ; cependant, elles devraient tout simplement nous faire réfléchir.  Entre les congolais est les rwandais, l’amour serait-il donc désormais à proscrire et pourquoi ?

Les fouinneurs et sentinelles ne nous font pas défaut : ce sont les leaders politiques qui nous manquent cruellement, de toute évidence.

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[15:38:54] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: BREAKING NEWS ALLERTE ROUGE       voici la liste partielle des copine Tutsi des autorités congolaise. Ces copines sont affectées par l’Ambassadeur du Rwanda a Kinshasa, Mr. Amandin Rugira.
 
1. Dr. Agnès Binagwaho: Ministre Rwandaise de la Sante, est copine du Premier Ministre Matata Ponyo
2. Alice Uwineza: copine de Lambert Mende Omalanga, Ministre des Medias
3. Angéline Muganza: copine de Richard Muyej, Ministre de l’Interieur
4. Marie-Rose M.: copine de Raymond Tshibanda, Ministre des Aff. Etrangeres
5. Carine Mutanga: copine de Didier Etumba, Chef d’Etat Major FARDC
6. Aliane Rwagamire: employee du DMI (Securite Rwandaise), copine du Général Amisi Tango Fort, ancien Chef d’Etat Major des forces Terrestres
Sans oublier…
Claudine Rugwiza, Fille de Deo Rugwiza, PDG de l’OFIDA, et 2eme Bureau dUu rwandais hypolite kanambe soit disant  Joseph Kabila
 
La RDC est infiltré au haut niveau de l’Etat et les informations sont relayées a Kigali a la minute pres.
 
http://ikazeiwacu.unblog.fr/2014/02/25/gen-charles-kayonga-yoherejwe-guhagararira-u-rwanda-mu-bushinwa/
[18:30:39] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: (y) Bon travail à continuer.
Pour nous aider à mieux comprendre le mal qui ronge notre pays pays, il nous faut des analyses fines, bien approfondies.
Le sexe, comme cela est souvent le cas, ne manque pas dans le lot.  Nous le savions, mais nous avons toujours besoin d’avoir des preuves et de connaître les maillons faibles de notre filet.
Comme quoi, il y a pas que nos richesses qui nous attirent les convoitises des autres pays, mais il y a aussi DES rwandaises – et DES femmes d’autres nationalités – que nous convoitons ; lors-même qu’elles sont utilisées comme appats pour nous mettre le hameçon à la gorge !  La suite : voyez dans quelle état se trouve depuis que le Mobutisme ouvrit grande la porte à la prostitution institutionnalisée…

La confusion


A qui profite la confusion qui règne dans nos esprits sur certains sujets épineux de la politique de et dans notre pays ?

Comment pouvons-nous chasser l’ignorance qui nous nous enchaîne si facilement et nous dresser les uns contre les autres dans l’Afrique Centrale ?

Il faut bien tenir le torreau par ces cornes un jour.  Pour cela, il faut que des hommes se lèvent et prennent à coeur de combattre notre ignorance de qui nous sommes, de ce que nous sommes.

La livraison suivante n’apporte pas de solution, mais permet de décrouvrir l’ampleur des problèmes à résoudre.

Qui décide de notre congolité, comment, quand, où et pourquoi ?

Qui nous aidera à résoudre les conflits identitaires à l’Est comme à l’Ouest, comment, quand et pourquoi ?

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[22:31:11] Likembe: Chers compatriotes

Ajourdh’ui , je vais vous parler de BANYABWISI .  Je ne suis pas tribaliste mais je veux comprendre l’histoire, les causes et les raisons de la guerre pour savoir comment me battre.

D’abord  notez bien que wisha et mulenge sont des collines . Rutshuru est une cité congolaise et Rwanda est un pays (toponyme).

En 1911  la fondation de la mission catholique de Rugari par des Pères Blancs ou missionnaires d’Afrique venus de l’Est par le Rwanda a fait rentré ou importé la population rwandaise , burundaise dans le Nord –Kivu, cette population s’installe autour de la nouvelle Paroisse dans le Bwisha où elles se constituent en « village des missions ».

Aujourd’hui cette population rwandaise et burundaise veut nous arracher nos terres  et se réclame en force d’être congolais. Si ils sont congolais ils ne feront jamais la guerre pour obtenir la nationalité et les terres.  Ils se disent de Tribu Banyabwisi, banyamulenge etc…

Du premier abord, il sied de rappeler les contours du concept « tribu établie » dans
son acception générale. Une population donnée n’est pas nécessairement une tribu.
Celle-ci, selon LAROUSSE, est un groupement de familles, se reconnaissant d’un
ancêtre commun, sous l’autorité d’un chef. Il s’agit d’un chef coutumier, c’est-à-dire
ayant une juridiction (territoire donné).
«Par ailleurs, tous les anthropologues et ethnologues s’accordent pour, reconnaître
que la tribu représente une unité politiquement organisée »
.
Au regard de la législation congolaise qui tient compte de cette donne, nul ne peut
détenir la nationalité congolaise d’origine s’il n’appartient pas à une des tribus
établies au Congo à dater de 1885, tout en tenant compte des limites postérieures
conventionnelles, c’est-à-dire, 1910 pour le cas en étude.

Le débat prend une autre dimension avec la réflexion-interrogation suivante : les
populations qui, dans cette partie du Continent africain, s’identifient aux noms des
lieux qu’elles habitent, n’ont-elles pas des tribus propres connues ?
Du coup, la nomenclature Banyabwisha ou Banyarutshuru prend les contours d’une
tentative de mutation des Bahutu qui sont plutôt de nationalités rwandaise et
burundaise. Ils veulent saisir une opportunité, c’est-à-dire, l’émigration de l’époque
coloniale dirigée par les administratifs belges, pour changer de nationalité (être
Congolais, d’origine soulignent-ils), en prenant soin d’effacer les traits qui continuent
pourtant de leur coller durement à la peau.
Il en est de même avec les Batutsi, désormais appelés Banyamulenge, au Sud-Kivu,
et Banyavyura, au Katanga si pas Banyankole en Ouganda.

En plus, la question qui se pose maintenant et à la quelle il faut répondre est celle de
savoir comment les soit disant Banyabwisha, Banyarutshuru, Banyamasisi,
Banyamulenge, Banyavyura, Banyabwito qui sont censés être différents, de par leurs
appellations, parlent tous la même et l’unique langue maternelle : le Kinyarwanda ?
Ne sont-elles pas des tribus identiques ? Sinon, pourquoi ce foisonnement
terminologique pour dire la même chose ? Sommes-nous devant une crise ou une
mutation d’ethnonyme ?

D’autre part, le Moniteur Belge, alors Journal Officiel de l’époque, dans son édition du
lundi 21 et mardi 22 août 1911, parle de la Convention du 11 août 1910 qui a
déterminé les frontières entre la Colonie belge, c’est-à-dire le Congo et le protectorat
allemand, entendez le Ruanda-Urundi. Il rapporte que
« la frontière définitive a été fixée en tenant compte des unités politiques indigènes de quelques importances, , des divisions ethnographique ainsi que des accidents
géographiques ». Mais alors, d’où viennent les fameux Banyabwisha, pour autant
qu’il est évident que les Hutu, Tutsi et Twa confondus furent des sujets du Sultan du
royaume du Rwanda ?

En 1996, enfin, les Hutu autoproclamés Congolais d’origine, regroupés dans la mutuelle NYIRAGONGO, signent eux-mêmes un texte de 35 pages pour démontrer leur autochtonie à Rutshuru.
Dans ce texte qu’ils adressent à la Commission Nationale des Election (CNS),
structure mis en place en 1996 pour superviser les scrutins prévus en 1997, ils
ignorent l’existence des Tutsi dans ce territoire. Mieux encore, ils s’appellent Hutu et
non BANYABWISHA.  En outre, ils excluent dans leur texte Masisi comme faisant
partie du territoire des Hutu.
Dès l’entrée en matière, les co-auteurs annoncent les couleurs : « Jusqu’à 1935, les
zones actuelles de Rutshuru, Nyiragongo et la Ville de Goma formaient ce qu’on
appelait Territoire des BAHUTU ayant son chef lieu à Rutshuru ».

Banyarutshuru désigne les habitants de Rutshuru, sans se référer à leur
identité ethnique ni linguistique. Il en est de même pour Banyamasisi, Banyabwisha
et Banyamulenge. Tandis que Banyarwanda signifie plutôt ressortissant du’ Rwanda.
Est soulignée alors la nationalité d’origine. Autant, l’on pourrait parler ‘des
Banyakenya, Banyatanzanie, Banyagabon.
Ce système automatique d’identification est caractéristique aux langues
interlacustres africaines regroupées dans la zone linguistique . C’est le cas du
Kihunde, Kinyanga, Kinande, Kinyarwanda, Kirundi, etc.

Selon Joseph MUTHAMBO, les Banyamulenge sont composés des Tutsi, Hutu, Fulero, Vira, et Tetela  (Tetela de Kivu une autre histoire encore, comment sont-ils arrivé au Kivu).

Quant aux Banyabwisha, Colette BRAECKMAN dit qu’ils sont Hutu, Tutsi et Twa
 
Le hutu Vital Kamerhe  fait partie de cette histoire, vous pensez  si vous mettez ce rwandais à la tête du Congo , est ce que cela améliorera la situation du Congo ? NON !
Ces populations sont entrain d’exterminer la population congolaise de Rutshuru , Massisi etc….

Reveillez-vous !
[23:00:29] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Chers frères,
Que cette livraison montre le travail que nous devons abattre.
Nous pensons que, pour bien faire, sans rien laisser au hasard, nous puissions néanmoins définir une stratégie claire pour la résolution des problèmes auxquels, nous serons inévitablement confrontés un jour ; comme nous l’annoncions.
[23:00:47] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Trois guerres nous attendent :
[23:01:22 | Edited 23:02:17] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: 1. contre l’esclavagisme, la colonisation, la dictature, l’imposture et la trahison qui nous concernent au plus haut chef aujourd’hui ;
[23:04:03] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: 2. contre les hémogénies linguistiques qui sont pour l’instant masquées par la question que nous conviendrons d’appeler Rwanda/Ouganda ;
[23:05:51] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: 3. contre les brimades des minorités dont personne n’ose encore parler, avec raison, pour ne pas compliquer notre situation déjà précaire ; mais qui très vite reviendra au galop, dès que l’étranger ne sera plus sur notre terriotire et que la question linguistique sera résolue.
[23:07:24 | Edited 23:13:08] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Le cours de l’histoire de notre pays semble tracer clairement l’ordre dans lequel nous devrions résoudre les problèmes pour être efficace, non dispersif et raisonable.
[23:07:46 | Edited 23:09:03] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: 1. résoudre la question de l’étranger qui nous subjugue (20 à 30 ans) ;
[23:08:06 | Edited 23:09:29] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: 2. résoudre la question de nos langues qui sont mal gérées (5-10 ans probablement) ;
[23:08:44 | Edited 23:10:03] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: 3. résoudre la question des minorités que nous brimons ou exploitons lâchement (sans doute 25 à 50 autre années).
[23:12:09] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Nous avons donc du pain sur la planche pour 50 à 90 ans encore avant d’être réelllement une nation avec un projet de société claire et démocratique !  Nous pouvons nous tromper ; mais ce ne sera pas loin de cela !
[23:29:25] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Notre proposition, de passer, en 5 phases de 10 ans chacune, de la République à une union d’états indépendants, basés sur nos identités culturels, nous, peuples du congolais ; est ce qui nous permettra de vite résoudre ces trois problèmes, nous-mêmes congolais.  La difficulté est que, à l’Est, comme à l’Ouest d’ailleurs, plusieurs se refusent d’assumer leur congolité, pendant que d’autres s’arrogent le droit d’attribuer ou de retirer aux autres cette congolité, on ne sait de quel droit !
[23:30:14 | Edited 23:32:21] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Le système politique qui trône à Kinshasa est le premier obstacle que nous avons placé nous-mêmes sur notre chemin vers l’indépendance véritable du congolais.
[23:31:17 | Edited 23:34:30] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Il nous revient donc de corriger notre erreur, qui conciste à commettre, à chaque fois, des hommes véreux, à la gestion de la chose publique congolaise.
[23:37:29] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Dans le parti Kongo ya Sika que nous venons de créer, nous avons créer les conditions nécessaire à la disqualification de falcifier notre histoire dans le but de dominer les autres en lieu et place des colonisateurs actuels.  Tout congolais qui veut l’avènement de la démocratie, du respect du droit et du développement dans notre pays, ne peut pas ne pas prendre prendre position pour cette offre.
[23:40:53] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: En effet, nos « cellules de travail », sont des véritables laboratoires qui permettront de lever les confusions dans lesquelles nous nous retrouvons à chaque fois lorsque nous confondons régionalité et régionalisme, tribalité et tribalisme, nationalité et nationalisme, ethnicité et racisme, culturalité et culturalisme…  Nous avons besoin retrouver nos identités pour les confronter à ce que le colonisateur a fixé dans nos esprits et qui nous troubles, nous divise, nous dépasse…

Pendant ce temps, Kinshasa peut se réjouir du sursi que nous lui accordons, sans parfois nous en rendre compte.

Kagame est-il réellement honni des congolais et pourquoi ?


Kagame est-il réellement honni des congolais et pourquoi ? Comment survivra-t-il dans cette atmosphère de désaveu sans faire du tort à son peuple et à ses amis ? L’Occident mesure-t-il correctement le risque qu’il prend à soutenir des présidents controversés de la sorte dans le centre de l’Afrique ; non seulement dans leurs citoyens respectifs, mais aussi dans les pays limitrophes aux leurs ?

Petit-à-petit, nos populations commencent à se désolidariser de ceux de nos dirigeants qui se prostituent avec les dictateurs qui servent leurs causes en Afrique.

A la minute 20 nous pouvons nous rendre compte que le Projet 2014, dès 1999, proposait ce qui sera un jour une réalité : l’union des états indépendants du Congo ou du Centre de l’Afrique.

Une marche qui prendre du temps pour commencer, mais qui tôt ou tard sera inattaquable !

 

Le Vatican et la RDC


Chers compatriotes,

Que nous ne nous y trompions pas : la solution n’est pas au Vatican non plus !
Où sont les résultats du CENCO ?
Pourquoi cette dénonciation tardive ?
Nous savons pourtant bien que l’influence de l’église catholique sur la politique en RDC est très grande et forte depuis 1960 ?
Si les choses vont mal en RDC, c’est parce que les catholiques, indéniablement majoritaires et influents, n’exercent pas toute la pression dont ils sont capables sur le pouvoir.
Pourquoi ?  Le commun de congolais connaît le secret, mais n’agit pas en connaissance de cause : et là, la faute n’est pas à autrui, ni au catholique, mais à nous tous, congolais passifs.

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[20:48:58] MWANA NSOMI: L’AGENCE FIDES DU VATICAN DENONCE OUVERTEMENT LE DESSEIN DES FARDC ET MONUSCO DE VIDER LES DEUX KIVU DE LEUR POPULATION…
(Congo Libre 19/03/2012)

L’AGENCE FIDES DU VATICAN DENONCE OUVERTEMENT LE DESSEIN DES FARDC ET MONUSCO DE VIDER LES DEUX KIVU DE LEUR POPULATION PAR DES CAMPAGNES MILITAIRES DE FACADE QUI TOUCHENT PLUS LES POPULATIONS LOCALES QUE LES PRETENDUES FORCES NEGATIVES / FIDES.

RD CONGO – L’offensive « invisible » de l’armée congolaise contre les civils qu’elle devrait théoriquement protéger

Kinshasa (Agence Fides) – « On ne sait pratiquement rien de l’opération « Paix Parfaite » lancée voici quelques semaines dans le Sud Kivu et désormais étendue au Nord Kivu » indique à l’Agence Fides une source de l’Eglise locale de l’est de Bukavu, capitale du Sud Kivu.

Les deux Kivu sont des provinces orientales de la République démocratique du Congo, situées à la frontière avec le Burundi, le Rwanda et l’Ouganda sur le territoire desquelles, depuis au moins 20 ans, sévissent différents groupes armés, certains locaux et d’autres d’origine étrangère. Parmi ceux-ci, se trouvent les FDLR (Forces démocratiques de Libération du Rwanda), les Mai-Mai et l’Armée de Résistance du Seigneur (LRA) de Joseph Kony.

Périodiquement, les forces armées congolaises (FARDC) lancent des offensives militaires dont le but officiel est de donner la chasse à ces groupes, réunis sous l’appellation de « forces négatives ». Les FARDC bénéficient au coup par coup l’appui des Casques bleus de la Mission de l’ONU en RDC (MONUSCO) et des forces armées des pays voisins.

Dans le cas de l’opération « Paix Parfaite », il semble que les FARDC opèrent seules, avec l’appui logistique des troupes de l’ONU. « Aucun journaliste ne suit directement ces offensives militaires qui sont désormais périodiques. En l’absence de nouvelles indépendantes, les autorités congolaises et de l’ONU nous racontent ce qu’elles veulent » affirme la source de Fides. « On n’a pas de nouvelles d’affrontements les entre forces congolaises et les rebelles mais il est certain que ces opérations militaires vident ces zones de leur population, probablement pour y installer quelqu’un d’autre à sa place ».

Selon ce qu’indique une correspondance du quotidien britannique « The Guardian », l’opération « Paix Parfaite » a contraint environ 100.000 civils à évacuer leurs villages. Un chiffre que notre source considère commecrédible.

« L’armée congolaise fait du théâtre avec la complicité de la MONUSCO sous prétexte de réprimer les groupes rebelles tels que les FDLR alors qu’est en cours de mise en place un dessein stratégique visant à vider les deux Kivu de leur population pour en mettre une autre à sa place » conclut la source de Fides. (L. M.)
(Agence Fides 17/03/2012)

M23 ou FARDC ?


A quoi joue-t-on dans cette affaire ?

Les congolais sont pris pour des niais qu’ils ont toujours été jusqu’à présent. Ce jeu peut d’avérer dangereux pour ceux qui y participent d’une manière ou d’une autre.

From: Democracy_Human_Rights@yahoogroupes.fr

[mailto:Democracy_Human_Rights@yahoogroupes.fr] On Behalf Of Samuel Desire
Sent: vendredi 30 août 2013 16:17
To: Democracy_Human_Rights@yahoogroupes.fr; ForumUrunana@yahoogroups.com; urwanda_rwacu@yahoogroups.com; fondationbanyarwanda@yahoogroupes.fr
Subject: Re: *DHR* RDC:Ban Ki-moon confirme que les M23 ont tiré sur le Rwanda

Ngaho mukomeze mubeshye maze mudusabe ko tububaha. Ubundi mu Kinyarwanda nta mutegarugori ubeshya. Ni icyo akenshi abategarugori babubahira.  Bavugisha ukuri kuko baba batanga urugero ku rubyaro rwabo.


From: agnesmurebwayire <agnesmurebwayire@yahoo.fr>
To: Democracy_Human_Rights@yahoogroupes.fr
Sent: Friday, 30 August 2013, 14:50
Subject: *DHR* RDC:Ban Ki-moon confirme que les M23 ont tiré sur le Rwanda

Belga – levif.be, le 30 août 2013
http://www.levif.be/info/belga-generique/rdc-ban-ki-moon-confirme-que-les-rebelles-du-m23-ont-tire-en-direction-du-rwanda/article-4000387139458.htm
Le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon a confirmé vendredi que les rebelles du M23 avaient tiré en direction du territoire rwandais, malgré les affirmations de Kigali mettant en cause les forces gouvernementales congolaises.
Dans un communiqué, M. Ban « condamne en particulier les tirs non ciblés émanant du M23 qui ont causé des morts, des blessés et des dégâts matériels parmi la population civile à l’est de la RDC et dans les zones frontalières au Rwanda, de même que parmi les Casques bleus ».
Le secrétaire général « encourage toutes les parties prenantes à poursuivre un processus politique global qui s’attaque aux causes profondes du conflit » à l’est de la République démocratique du Congo. Il souligne que « les personnes qui entravent les processus actuels et celles qui enfreignent le droit international devront répondre de leurs actes ».
M. Ban appelle également « tous les acteurs régionaux concernés à exercer la plus grande retenue et à s’abstenir de tout acte ou de toute déclaration susceptible d’entraîner une détérioration supplémentaire de la situation ».
Un haut responsable de l’ONU avait mis en cause jeudi le M23 dans les récents tirs d’artillerie contre le Rwanda, mais Kigali avait réaffirmé que la faute en incombait au FARDC, les forces gouvernementales congolaises.

Belothi-M23 : notre réaction à chaud !


Cher Belothi, voici, entrelacé dans ton texte, notre réaction à chaud.

Il en faut une, parce que les congolais mourons encore très nombreux si nous n’agissons pas, contrairement à ce que tu fais : rechercher une solution !

[14:00:55] Belothi: Dear Graphele, toujour na temp/Kongo ekatana tse

[La méthode Coué ne fonctionne pas toujours.  “Tata bo…  Maman bo…” ne nous a pas apporter l’unité, mais la division exacerbée !  Le lendu et alliés contre les hema et alliés dans l’Ituri, les rwandaphones et alliés contre les non-rwandophones dans les Kivu.

Nous devons donc AGIR pour que la guerre s’arrête.  Et agir, c’est nous mettre autour de la table pour rapidement résoudre nos problèmes internes afin d’être mieux armés pour débouter les imposteurs et occupants éventuels, nous-mêmes, congolais, avec l’aide possible d’amis stratégiques qui ne nous ferons pas défaut si nous acceptons ce nous engager dans cette démarche.  Certains compatriotes sont à l’oeuvre, mais, leurs initiatives souffrent de manque d’expertises !]

[14:01:03] Belothi: Rwanda – Congo : Le crépuscule de Kagamé ?
[14:01:34] Belothi: Quant aux fameux accords du 23 mars 2009  dont se prévaut le M23, ils sont dans l’impasse. Ils permettaient pourtant au Rwanda de masser des troupes et des populations rwandaises dans le Kivu (article 6 de l’accord), profitant de la complicité du régime de Joseph Kabila (ou de sa passivité). L’objectif était d’atteindre une masse critique des troupes et des populations permettant de déclarer la partition du Congo. Mais les atrocités infligées aux populations autochtones, sûrement dans un effroyable but de dépeupler le Kivu pour libérer une place aux Rwandais (massacres, viols de masse, assassinats, campagne de terreur, déplacement forcé des populations,…) ont fini par choquer l’opinion internationale qui se détourne peu à peu du régime de Kigali. Les médias, les ONG et les Etats ne peuvent pas longtemps se taire face au génocide que subit le peuple congolais (six millions de morts), les femmes du Kivu en particulier.

[Les accords du 23 mars doivent être pris pour ce qu’ils sont : une oeuvre d’irresponsables congolais qui nous ont mis dans des pétrins !  Avec le CNDP d’abord et avec le M23 ensuite.  Plus triste est que certains de nos frères continuent à appuyer ce projet sans chercher à lui trouver une meilleure alternative.  La rebellion finit toujours par devenir amère…  Ils le savent pourtant.  La culture de l’immédiaté, de la luxure et d’opportunisme engloutira, un jour proche, bien d’âme qui maintiennent leurs coups roides.

Dans le cadre du Projet 2014, nous disons que le meilleur traîtement de cette question, requiert que les congolais non signataires de ces accords commencent par les rejeter officiellement pour des raison que toi Belothi connait mieux que moi-même.

Mais pour que notre action soit efficace au plan international, puisqu’il faudra ensuite obtenir que soit déboutée la partie adverse non-congolaise, la solution politique efficace est d’abord de convaincre notre peuple de nous accorder de tenir les arènes du pouvoir, démocratiquement, pour mieux le représenter et mieux le défendre, à l’intérieur comme à l’extérieur de la RDC.

Cher Belothi, ton doute sur la responsabilité du kanambisme étonne : “profitant de la complicité du régime de Joseph Kabila (ou de sa passivité)”, “sûrement dans un effroyable but de dépeupler le Kivu pour libérer une place aux Rwandais (massacres, viols de masse, assassinats, campagne de terreur, déplacement forcé des populations,…) ” !

En effet, si les informations en notre possession sont correctes, nos frères hunde seraient une “espèce” en voie de disparition dans le Masisi et ses alentours ou en revanche la population rwandophone atteindrait désormais les 60% d’habitants.

Ne crie pas vite au scandale !  Ce que je veux dire, c’est que, nous nous devons de nous poser des questions.  Je te laisse aussi rafraichir ta mémoire sur les faits et gestes de Kinshasa, y compris des FARDC dans la région…

Non, Belothi, je t’en voudrais de ne pas pousser ta belle et louable démarche jusqu’au boût : dans l’aide nous apportée par tes réflexions, par tes propositions concrètes.  Cette préoccupation du savoir, c’est, à notre humble avis, le propre de l’intellectuel, rare dans nos fora.] 

Au fil du temps, les aventures rwandaises au Congo se compliquent. L’affirmation du général Karegeya selon laquelle depuis le début le Rwanda « en est toujours au même point » et « n’aurait obtenu aucun résultat » dans la guerre contre le Congo, sonne comme l’aveu d’un dépit. Les dirigeants rwandais n’ont pas fait avancer leur objectif de départ d’un seul centimètre puisque depuis les 17 ans qu’ils s’acharnent contre le Congo, le Congo est toujours là, le peuple congolais, même martyrisé à l’extrême, est toujours là.

[La parole de général Karegeya que vous nous reportée n’est pas une parole d’Evangile.  Le Rwanda n’est pas au même point et il a obtenu des résultats !  Tu le sais comme moi.

Se conforter à l’idée que “même martyrisé à l’extrême, le peuple congolais soit toujours là”  frise l’irresponsabilité politique.  Parce que, nous, dans le cadre de notre analyse, nous affirmons que le Congo tient qu’à un fil !  Pourquoi l’affirmons-nous ?

73 millions d’habitants qui aurait pu être plus de 80 millions est pour nous une perte innoïe.

Être classé dernier en presque tout dans les échelles mondiales, mêmes quand ces échelles seraient impérialistes, pour un pays qui regorge d’autant de ressources culturelles et naturelles, c’est de l’ignominie.

Passer son temps à accuser un voisin de 11 millions d’habitants par le 21ème siècle, cher Belothi, ne peut pas nous laisser un seul instant de repos.

Dieu merci que, toi, tu travailles et en sera béni !

Au demeurant, “l’aventure rwandaise” continue encore : l’opposition congolaise est encore profondément divisée, la population est blasée, meurtrie, muselée, terrorisée, décimée (6/73 = 8%)…

Il est vrai que pour les rwandais, cette “aventure”, risque de mal se terminer et il est souhaitable que le peuple rwandais en prenne conscience et réagisse d’une manière qui soit à leur intérêt.  Parce que quand la RDC se déchaînera, la désolation risque d’être totale dans le pays des mille colines.

Notre prédiction est que 20 à 30 ne passeront pas que le Rwanda déchante.  En attendant, il peut continuer à participer aux assassinats, aux viols, aux vols et des choses semblables, sur le territoire congolais ; mais en sachant bien que nous congolais sommes décidés à mettre de l’ordre dans le pays, après que nous eussions préalablement arrêté et jugé l’imposture.]