Le processus de Washington


Nos questions à ChatGPT

  1. Tous les sénateurs américains sont-ils pour l’accord de Washington ?
  2. Sinon, combien sont contre ?
  3. Les USA sont-ils capable d’imposer la paix aux Congolais ?
  4. Pourquoi ?
  5. Tous les congolais sont-ils favorables à l’accord de Washington ?
  6. Pourquoi ?
  7. Quelle proportion représentent-ils ?

Les réponses de ChatGPT

Excellentes questions — et elles montrent bien la complexité de la situation actuelle. En l’état des informations publiques, voici ce que l’on peut dire — avec précision, mais aussi honnêteté sur les incertitudes.

🔹 1. Tous les sénateurs américains sont-ils pour l’accord de Washington ? Sinon, combien sont contre ?

  • Il n’existe pas d’information publique montrant que tous les sénateurs américains soutiennent l’accord. (foreign.senate.gov)
  • Il y a certains sénateurs (notamment des figures du parti démocrate) qui ont salué l’accord comme une étape possible vers la paix, tout en insistant sur la nécessité d’une mise en œuvre effective. (allAfrica.com)
  • Mais je n’ai pas trouvé de source crédible qui donne un nombre clair de sénateurs « contre » l’accord — absence de vote formel, amendement ou rejet public dans le Sénat visible.

👉 Conclusion : non, on ne peut pas dire que tous les sénateurs soient pour. Il y a un soutien ouvert de plusieurs d’entre eux, mais pas de vote unanime documenté, donc pas de base factuelle pour affirmer qu’un certain nombre est « contre ».

Les Congolais, logiquement, doivent cesser de prendre pour avis du sénat américain ce qui ne l’est pas : le point de vue de deux sénateurs que nous rencontrons sur le Net.

Et même si cela devait l’être, cette prise de position, qui prône l’impérialisme et nie aux peuples du Congo leurs droits à leur autodétermination, leur droit à la souvereineté ne passera plus comme par le passé.  Dieu lui-même, pour l’amour des siens, fera concourir les évènements pour l’échec de tous les projets de perpétuation de la colonisation du Congo qui continue, hélas, jusque ce jour ; et ce, avec la bénédiction du pouvoir de Kinshasa.  Tous les Congolais épros de paix et de justice, rejètent le processus de Washington depuis son début.

🔹 2. Les États-Unis sont-ils capables d’imposer la paix aux Congolais ? Pourquoi — ou pourquoi pas ?

Ce qu’ils peuvent faire :

  • Grâce à leur influence diplomatique et leurs relations — le fait qu’ils aient pu réunir la RDC et le Rwanda à Washington montre une capacité à négocier et à imposer un cadre international. (Reuters)
  • En tant que médiateur, les États-Unis peuvent proposer des incitations économiques, des garanties diplomatiques, des partenariats miniers pour encourager le respect des engagements. (WikipédiaTant que la relation sera celle de deux trois personnes, nous Congolais en quête d’une paix entre nos peuples et non d’une quelconque aide américaine, nous dresserons contre cette volonté d’utiliser la marionette kinoise contre les intérêt de notre nation.  Ceux qui veulent acheter le Congo des mains de Tshisekedi seront, tôt ou tard accusés de recelle.

⚠️ Ce qu’ils ne peuvent pas garantir réellement :

  • Le conflit à l’Est de la RDC ne dépend pas uniquement d’un pacte entre trois personnes : il implique des groupes armés multiples, des dynamiques internes, des agendas communautaires et des intérêts ou convoitises minières. Même un accord entre États ne couvre pas forcément tous ces acteurs. Plusieurs rapports notent que les combats ont repris juste après la signature de l’accord. (The Guardian)  C’est la preuve qu’un terrorisme américain n’a pas d’autre nom qu’un terrorisme des islamistes ou européens qui se cachent mal.
  • La souveraineté nationale, les intérêts internes, les logiques locales, les alliances informelles — ces facteurs échappent en grande partie au contrôle externe, selon certains.  Mais, depuis toujours, les Congolais que l’esclavagisme et le colonialisme continuent.  Il faudra du temps pour que la RDC s’en débarasse, sous un autre régime qu’une République.
  • Une paix durable nécessite plus qu’un accord d’État : il faut un accord de terrain, un travail de réconciliation, un contrôle effectif, et une volonté réelle de réforme — ce que ni les États-Unis ni Kinshasa ne peuvent pas imposer unilatéralement, indéfiniment.  Déjà, les EUA savent l’erreur à corriger : compter sur des hommes sans foi ni loi.  Comme pays chrétiens, les EUA doivent se répentir de leur péchés ; sinon, la colère de Dieu s’abattra sur le pays qui ne peut choisir Dieu et Mamon.

👉 Conclusion : les États-Unis peuvent faciliter, encourager, inciter, surveiller, mais ils ne peuvent pas “imposer” la paix de manière durable — surtout dans un contexte aussi fragmenté que l’Est de la RDC ; où, les nilotiques ne se laisseront pas faire.  Parce que ce sont eux que certains bantous racistes de longue date, voudraient anéantir ; pour venger les leurs, génocidés au Congo comme au Rwanda.

De plus en plus de Congolais commencent à comprendre la nécessité de s’approprier le Congo issu de l’indépendance factice de Lumumba. Ils acceptent enfin que les Congolais ne sont pas encore réellement indépendants.

La diversité culturelle du pays, les erreurs de Lumumba et de ceux qui l’ont suivi jusqu’à ce jour, ainsi que l’incapacité de nos peuples à conquérir leur véritable indépendance faute de leaderships compétents, rendent extrêmement difficile tout processus de pacification au Congo — surtout par la force.

Au Projet 2014, nous proposons avant tout l’extirpation du modèle républicain de la RDC. Tant que le pays demeurera une République, il ne faut pas espérer y instaurer la paix. Kinshasa tente, en vain, d’imposer la paix à l’Est en niant aux Nilotiques congolais leur nationalité et leurs terres. Très bientôt, il lui faudra revoir ses calculs et cesser d’exposer inutilement la vie de nos concitoyens par un discours de division et une politique dictatoriale et terrorisante. Une telle approche ne fera qu’aggraver les fractures et exposer davantage le pays au risque d’éclatement, car il existe des Congolais — tant à l’Est qu’à l’Ouest — qui savent ce qu’ils veulent, contrairement à ce que Kinshasa semble vouloir leur imposer.

Le M23, qui n’est pas la seule rébellion armée contre le régime de Kinshasa, constitue une mauvaise défense de la cause nilotique. Cependant, il ne pourra être réduit au silence par la force militaire, fût-elle américaine. Seule la justice permettra un jour de faire taire les armes. Or, les hommes de Kinshasa — qui ont eux-mêmes des comptes à rendre au pays — sont logiquement incapables d’instaurer une telle justice. Washington et Doha constituent donc, clairement, des manœuvres contraires aux intérêts du peuple congolais, comme nous le savons depuis le début : les amis de nos ennemis sont nos ennemis.

Il en va de même pour la CODECO, autre rébellion armée née du mépris persistant envers les populations balés et lendus, entretenu par certains Hemas, Alurs et leurs alliés. Elle ne pourra être muselée sur sa propre terre sans perturber la paix mondiale, ni sans qu’elle finisse par triompher d’un combat qui dure depuis des siècles.

La liste est longue. Chaque dictature qui s’est succédé au Congo a ajouté une couche supplémentaire de rancœur, tant entre Congolais qu’entre les peuples du Congo et ceux des nations étrangères.

🔹 3. Tous les Congolais sont-ils favorables à l’accord de Washington ? Pourquoi ? Quelle proportion représentent-ils ?

  • Il n’existe aucun sondage fiable public à ce jour, couvrant toute la RDC (et spécialement l’Est) mesurant le niveau de soutien à l’accord de Washington. Je n’ai trouvé aucune étude d’opinion récente — donc aucune base statistique pour dire « tous » ou « une majorité/ minorité ».
  • Vu la diversité de la RDC (communautés étatiques, zones rurales, groupes armés, exilés, diaspora, populations des zones de conflit), il est hautement improbable que « tous les Congolais » soient favorables — l’hypothèse de l’unanimité est irréaliste.
  • Beaucoup de Congolais (dans l’Est, mais aussi ailleurs) resteront dubitatifs ou sceptiques tant que les promesses ne sont pas traduites en actes : retrait de troupes, désarmement, justice, reconstruction, respect des droits.

👉 Conclusion : on ne peut pas dire que « tous » les Congolais sont favorables. On ne peut pas quantifier une proportion — faute de données. Ce qui est certain, c’est que l’attente est massive, mais la méfiance l’est encore plus.

Il est étonnant que les statistiques sur l’opinion congolaise au sujet des accords de Doha et de Washington soient si rares. Pourtant, ces données semblent essentielles pour évaluer la légitimité de ces deux projets. Que disent réellement les rapports onusiens ? Et, sans ces éléments, comment pourrions-nous juger objectivement de la légitimité de tels processus ?

Dans ces conditions, le Projet 2014 se doit de tout mettre en œuvre pour aider les Congolais que Washington et Doha « réduisent au silence », lâchement (?), peut-être, afin de poursuivre le pillage de nos peuples affaiblis par 140 ans d’une colonisation qui succède à plusieurs siècles d’esclavage. Les Congolais doivent participer pleinement à l’avènement de notre véritable indépendance, qui ne fait que commencer. Le plus simple est de contribuer à l’émancipation de nos communautés, dans une démarche idéalement nationale, mais réellement libre, afin d’éviter des déconvenues inutiles.

Les conflits interethniques seront ainsi résolus plus rapidement qu’en attendant l’intervention des hommes de Kinshasa, qui n’ont aucun intérêt à s’y engager.

🔹 4. Pourquoi ces incertitudes sont-elles légitimes ?

  • Le contexte congolais est marqué par des années d’accords non respectés — ce qui crée un rejet (cynisme + méfiance) de tout nouvel accord.
  • Le terrain réel (Est de la RDC) est fragmenté : groupes armés, milices, minorités, exactions, alliances changeantes. Un accord bilatéral n’inclut pas tous ces acteurs.
  • Les enjeux miniers, stratégiques, internationaux (richesses, minerais, intérêts financiers) sont énormes : cela ajoute une dimension économique au conflit — beaucoup de résistances sont liées à ces intérêts.

Mon évaluation — honnête et nuancée

  • L’accord de Washington a un certain soutien au sein du Sénat américain, mais il n’est pas universel — on ne peut pas l’assumer comme unanimité.
  • Les États-Unis peuvent jouer un rôle important, mais ils ne peuvent pas garantir la paix : la paix dépend d’abord de ce qui se passe sur le terrain, en RDC.
  • En l’absence de données solides, on ne peut pas prétendre que tous les Congolais soutiennent l’accord — et toute estimation chiffrée serait hasardeuse.

En bref : l’accord est une opportunité. Mais ce n’est ni une garantie, ni un ticket gagnant automatique. Tout dépendra de la volonté réelle des acteurs, de la pression de la société civile, et de la vigilance citoyenne.

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Nos questions subsidiaires à ChatGPT

  1. Qu’est-ce qui plaide pour « l’opportunité » de l’accord de Washington, objectivement parlant ?
  2. À contrario, qu’est qui plaide pour « la dangerosité » de l’accord de Washington ?

Les réponses de ChatGPT à nos questions subsidiaires

Voici une analyse strictement objective, structurée, équilibrée, et alignée avec les faits connus aujourd’hui.

Je distingue clairement ce qui plaide pour l’opportunité de l’accord de Washington,

et ce qui plaide pour sa dangerosité.

I. Ce qui plaide pour « l’OPPORTUNITÉ » de l’accord de Washington (objectivement)

Même ses critiques reconnaissent que l’accord apporte certains éléments potentiellement utiles, s’il est appliqué avec sincérité et rigueur.

1. La mise en face-à-face de la RDC et du Rwanda

Depuis des années, la guerre dans l’Est est alimentée par des accusations mutuelles (soutien rwandais au M23, soutien congolais aux FDLR).

Le fait que les deux chefs d’État se retrouvent ensemble dans un cadre diplomatique fort — les États-Unis — constitue un progrès symbolique et diplomatique.

👉 Cela ouvre une fenêtre possible de désescalade.

2. La pression diplomatique américaine

Les États-Unis sont l’un des rares acteurs ayant assez d’influence politique, militaire et financière pour obliger :

  • Kigali à faire des concessions,
  • Kinshasa à accepter un compromis,
  • et les deux parties à signer un document engageant.

Si Washington décide réellement de suivre l’application,

👉 cela peut freiner les violations et encourager un retour au dialogue.

C’est ici que réside l’erreur monumentale :

– Se faire le gendarme de la région des Grands Lacs.

– Travailler sur la base de concessions et de compromis qui laissent intactes les rancœurs, les frustrations et les inimitiés.

– Penser que des signatures apposées sur du papier ont la même signification que dans la culture occidentale.

Il faut avoir le courage d’aider les frères ennemis à comprendre l’intérêt qu’il y a pour eux à résoudre leurs problèmes honnêtement, résolument et librement, afin de ne plus demeurer esclaves ni colonisés, pour le plus grand bien de toute l’humanité.

Les fautifs paieront alors pour leurs fautes et seront totalement déchargés du poids de la culpabilité. Les victimes se sentiront respectées, valorisées et encouragées à pardonner, tout comme elles auront été, elles aussi, pardonnées.

3. Un cadre pour organiser un mécanisme sécuritaire

L’accord propose la création d’un mécanisme de surveillance conjoint (ou supervisé) du retrait, du désarmement, des mouvements de troupes.

👉 C’est un instrument utile si les parties jouent le jeu.

Il y a pourtant des raisons de penser que les membres du M23 ne sont pas des suicidaires. Où iraient-ils ? Au Rwanda ? Pour y faire quoi ? Les Rwandais qui les aident laisseront-ils leurs frères mourir sous leurs yeux ? Pour quelles raisons mystérieuses ? Est-ce une habitude, chez eux, de trahir un frère ?

Obliger les FDLR à retourner au Rwanda est-ce une solution humaniste ? La RDC n’a jamais réussi, ou n’a jamais voulu, les désarmer : pourquoi ? La RDC livrera-t-elle en pâture ceux qu’elle croyait être ses alliés pour renverser le régime tutsi du Rwanda ? Au fond, ces Hutus — pour la plupart — ne sont-ils pas des frères des Congolais ? Que fera Dieu de ceux qui trahiront leurs frères ?

Nous l’avons toujours dit, depuis longtemps : désarmons les vrais réfugiés. Installons-les loin de nos frontières afin qu’ils participent à l’enrichissement de la RDC. Raisonnons nos frères tutsis jusqu’à ce qu’ils acceptent qu’ils sont une minorité — à protéger — au Rwanda, leur terre à eux aussi.  Quant aux islamistes terroristes qui voudraient envahir le Congo chrétiens, sommons-les d’aller chez ceux avec qui ils partagent la même foi.

4. La possibilité d’un allègement immédiat des souffrances civiles

Si même 30 % des engagements étaient appliqués, même temporairement, cela pourrait :

  • réduire les combats,
  • ouvrir des corridors humanitaires,
  • réduire les déplacements de population,
  • baisser la mortalité dans les zones les plus violentes.

👉 Pour les populations civiles, même un répit temporaire est une opportunité.

Vivre en paix ne doit pas être quelque chose à quémander simplement parce que l’on est Congolais. Et sans justice, nous le savons bien, la paix est impossible.

La question qui se pose aujourd’hui en RDC est la suivante : qui respecte autrui pour prétendre au respect ? Qui est droit pour mériter la paix ?

Que disent les processus de Washington et de Doha ? Sont-ils capables de nous apporter des réponses à ces questions essentielles ?

5. L’ouverture économique (mines, infrastructures)

Un accord bilatéral sous parrainage américain peut attirer :

  • investissements,
  • projets miniers régulés,
  • financement de reconstruction,
  • infrastructures stratégiques.

👉 Dans un contexte où l’Est est ravagé, c’est un levier non négligeable.

Conclusion opportunité

L’accord ouvre une fenêtre de désescalade, même fragile,

et un espace diplomatique formel pour des acteurs qui, jusqu’ici, fonctionnaient surtout par confrontation indirecte.

II. Ce qui plaide pour la « DANGÉROSITÉ » de l’accord de Washington

Cette partie est tout aussi importante — et ce sont des éléments critiques majeurs.

1. Le M23 n’est pas partie prenante

L’acteur militaire principal du front nord ne signe pas l’accord.

👉 Cela fait du texte un accord « théorique » :

  • il ne lie pas le M23,
  • il ne règle pas les revendications profondes,
  • il ne désarme pas les effectifs sur le terrain.

Un accord sans le M23 = un accord incomplet dès le départ.

S’il est juste, louable, souhaitable d’écarter tout groupe jugé terroriste d’un accord de paix, il faut alors écarter aussi le gouvernement congolais, esclavagiste et terroriste, de cet accord.  Sinon, il y a injustice et une paix n’est pas possible dans ces conditions.  Les peuples congolais ne doivent pas se faire d’illusions : l’insécurité continuera, longtemps encore ; à moins que Dieu interviennent Lui-même, pour l’amour des siens.

2. Les acteurs locaux majeurs sont ignorés

L’accord ne mentionne pas :

  • CODECO,
  • ZAÏRE,
  • FPIC,
  • ADF,
  • les groupes communautaires Bantu, Hema, Lendu, Nande, Hunde, Nyanga, Alur…

👉 Cela donne une impression de lecture racialisée et simpliste du conflit :

« Rwanda vs RDC »,

alors que la réalité est multipolaire, interne, communautaire et complexe.

Ignorer ces acteurs =

➡️ reproduire les erreurs de Lusaka, Sun City, Nairobi, Luanda…

Voici qui met en lumière le caractère partial, fourbe, du régime qui a signé l’accord de Washington.

Or, tant que ces fautes ne seront pas corrigées, quel peuple sérieux croira et composera avec Kinshasa ?

3. Un risque de “colonialité de la paix”

Lorsque des accords sont négociés loin du terrain,

par des États étrangers,

sans consultation des communautés locales,

cela crée un sentiment de :

  • dépossession,
  • infantilisation politique,
  • marginalisation identitaire,
  • esclavage,
  • colonisation…

👉 Plusieurs Congolais — du Nord comme du Sud — y voient déjà une forme moderne de « paix imposée », donc suspecte.

Cette paix proposée n’est pas suspecte.  Elle est, objectivement parlant, factice, fausse, une méchanceté déguisée en  bienfaisance.

4. Le Rwanda et la RDC n’ont pas un bilan crédible

Il existe plusieurs précédents d’engagements non respectés.

Le manque de confiance structurel rend la mise en œuvre d’un tel accord très improbable.

👉 Sans confiance, un accord devient un papier symbolique.

La mise en œuvre d’un tel accord avec succès n’est pas improbable.  Elle est une impossibilité mathématique ; sauf dans le monde de niais.

5. Les concessions cachées (danger politique majeur)

Beaucoup redoutent que des concessions :

  • minières,
  • territoriales,
  • diplomatiques,
  • ou militaires
    aient été négociées en coulisses.

Sans transparence totale,

👉 la population peut percevoir cela comme une trahison,

ce qui augmente la tension interne et le rejet du texte.

6. Risque de fronde intérieure en RDC

Une partie importante des Congolais :

  • militaires,
  • habitants de l’Est,
  • diaspora,
  • leaders locaux (Ituri, Rutshuru, Masisi, Hauts Plateaux),
  • victimes des conflits,

ne croit pas à cet accord.

👉 Si l’accord est appliqué “par la force”,

on peut assister à une résistance communautaire,

voire à une extension des milices locales.

7. Risque d’illusion diplomatique

L’accord peut créer une fausse impression de paix pour les acteurs internationaux,

ce qui réduit la pression sur le terrain,

alors que les violences continuent.

C’est ce qui s’est produit après Lusaka, Addis-Abeba, Nairobi…

👉 L’accord peut devenir une coquille vide,

mais politiquement dangereuse parce qu’elle donne l’impression d’un “progrès”.

⚖️ Synthèse finale

Ce qui rend l’accord potentiellement utile :

  • fenêtre diplomatique ouverte,  elle devra néanmoins totalement être débarrasser du parti pris et s’assurer de s’aligner avec la volonté des peuples congolais et rwandais au risque d’échouer.
  • occasion de désescalade,
  • éventuels bénéfices économiques, l’enrichissement d’une nation dépend de son implication dans le travail structurée, intelligent, partant des ressources à sa dispositions.  Le Congo, tout comme le Rwanda, on beaucoup d’atouts encore inexploités pleinement de façon responsable.
  • possibilité d’un soulagement humanitaire.

Ce qui rend l’accord potentiellement dangereux :

  • pression américaine, risque de paix imposée, déjà perçu par certains Congolais comme de l’impérialisme, comme une convoitise des richesses naturelles du Congo ;
  • absence des acteurs locaux (M23, CODECO, Zaïre, FPIC…),
  • manque de transparence,
  • déficit de crédibilité des signataires,
  • risque de rejet populaire et communautaire,
  • reproduction des erreurs des accords précédents.

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Notre conclusion provisoire

  • Washington aidera la RDC, s’il s’investit dans une démarche humaniste et non pas impérialiste ; cette dernière lui causera du tort à lui-même, à Kinshasa et à Kigali ;
  • Les Congolais, tout comme les Rwandais, doivent maintenir le cap de l’apprentissage de la géopolitique ;
  • Par-delà toute chose, le Congolais doit revenir à Dieu et arrêter son idolâtrie.

Erik Prince provoque l’émoi !


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JHK accompagné à sa tombe par John Kerry ?


Suivez les gestes de John Kerry sur la vidéo suivante.

John Kerry accompagne-t-il Joseph Hypolithe Kanambe à sa tombe ?  A s’en tenir à ses propos : non !  Il est plutôt content de l’application de « son élève » ; il se réjouit des efforts que celui-ci a déployés (Sécurité : FDLR, M23) et continue à déployer pour s’attaquer aux problèmes de démocratie et d’économie du Congo.  Il est même optimiste quant à l’avenir.

Ne sont-ce là que des propos démagogiques ?  Ou sont-ce véritablement des signaux clairs envoyés en direction des opposants au régime de Joseph Hypolite Kanambe ?

Ce dernier pour sa part, à bien l’écouter, n’est pas dupe !  Suivez bien ses propos, puisque ces mots son bien pesés.  Il n’est pas drogué comme ses détracteurs auraient voulu qu’il fût.  Il sait exactement à quoi s’en tenir et tout indique qu’il a des cartouches dans sa gibecière.

Les mois qui suivent aideront ceux qui n’ont rien compris de comprendre la vérité sur nos deux personnages politiques.  C’est alors et alors seulement que nous connaîtrons de quel côté se trouve les problèmes, si nous sommes encore dans l’hésitation, 54 ans après « l’indépendance » lumumbienne.

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[11:51:59] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: Voici la vidéo « Choc » montrant le salaud rwandais hypolite kanambe soit disant- Kabila tremblant de peur avant le meeting avec John Kerry    https://www.youtube.com/watch?v=5vhQKWt-zCk&feature=player_embedded
[12:25:16] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: BREAKING NEWS  VIDEO : INTEGRALITE DU MEETING DE L’OPPOSITION TSHO TSHA A NDJILI SAINTE THERESE    https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=23o4vHMXhRg
[12:47:16] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Je ne trouve pas cette vidéo comme en étant un « choc » !  Bien qu’il soit vrai qu’on y puisse lire un certain tract (?), qui pourait s’expliquer par le poids de l’audience…
Tout ceux qui comprennent l’anglais reconnaitrons que JHK est nettement plus à l’aise dans la langue de Shakespear que dans celle de Voltaire.  Ce qui se comprend.
C’est qu’il faut dire, c’est plutôt qu’il a glorieusement menti, à lui-même, bien entendu ; comme il se devait de le faire à pareille circonstance ; et, qu’il a évité de d’être long et pour peu explicite, pour des raisons évidentes.
Jusque à quand continuera-t-il à renier le rejet de sa personne par la majorité des congolais ?
Cela ne tient qu’à nous !

Erreurs d’appréciation


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Lumona1— via Congokin-tribune (congokin-tribune@congokingroupes.com)   16:21  Groups
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L’ambassadeur des USA à Kinshasa : «Nous demandons à ce que la Constitution soit respectée»
Publié le mercredi 30 juillet 2014 12:18

Quant à la démocratie et la gouvernance, nous recommandons une collaboration continue entre la Commission Électoral Indépendante, le Gouvernement et les parties politiques afin de développer un plan du processus électoral.

Nous demandons à ce que la Constitution soit respectée ainsi que les prévisions sur le calendrier des élections présidentielles et les mandats limités. Nous pensons que la confiance de la population dans le processus électoral va augmenter en émettant un calendrier électoral complet pour les élections locales, provinciales et nationales jusqu’au niveau Présidentiel.
En ce qui concerne le programme de développement et de croissance économique, nous saluons les efforts du gouvernement Congolais à s’assurer de la stabilité macroéconomique et embrassons leur engagement à d’autres réformes qui encouragera la croissance du secteur privé. L’investissement américain dans le secteur privé au Congo est complété par notre vaste assistance bilatérale. Cet appui des États-Unis d’Amérique aide à l’expansion du potentiel économique et humain de la RDC, en fournissant une aide cruciale dans les secteurs de la santé, de l’éducation, de la sécurité, et de la réponse humanitaire entre autres.

Mambo
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[22:17:07] KL: Kaka comme je ne peux pas faire suivre ce message parce que c’était dans Junck message, mais je voulais seulement dire que les gens croix toujours a l’aide des USA!!!
[22:18:59] KL: L’ambassadrice de Grande-Bretagne à Kinshasa : « La démocratie est la meilleure façon d’assurer la stabilité et la prospérité en RD Congo »
Publié le mercredi 30 juillet 2014 12:29

«La politique du Royaume-Uni envers la RDC consiste, ni plus ni moins, à appuyer la transformation de ce pays en une nation stable et prospère. C’est la raison pour laquelle, en étroite collaboration avec la France et les États-Unis,

Nous usons de notre position au sein du Conseil de Sécurité, pour confier à la MONUSCO le mandat efficace dont elle a besoin. Voilà pourquoi nous accordons aussi notre appui politique au travail tout à fait exceptionnel du Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies, Martin Kobler. Voir un pays stable et prospère, c’est également la raison pour laquelle nous appuyons les efforts de l’Envoyée Spéciale Mary Robinson et les autres Envoyés internationaux dans leurs efforts visant la mise en œuvre de l’Accord Cadre d’Addis-Abeba.
Et c’est la raison pour laquelle nous utilisons notre réseau diplomatique, en RDC, en Afrique, à New York, au-delà et ailleurs. Nous exploitons nos bonnes relations avec les pays de la région afin d’encourager chacun au respect de l’Accord Cadre. Nous échangeons avec les leaders clés au niveau national afin d’appuyer un développement politique stable.
Voir une RDC stable et prospère, c’est la raison pour laquelle nous encourageons l’investissement britannique en RDC. Je tiens ici à remercier certains de ces investisseurs, notamment Diageo, G4S, Malabar Group et Vodacom de nous avoir aidés à organiser la fête de ce soir. Il y a bien évidemment d’autres investisseurs importants dans le secteur minier et des hydrocarbures, dans l’agriculture, dans les services financiers, télécommunications et dans tant d’autres secteurs. La semaine dernière à Londres j’ai échangé avec une compagnie britannique sur la tenue l’année prochaine d’une conférence sur le thème « investir en RDC ».
Il existe certes des défis à relever pour améliorer le climat des affaires, et le programme de développement de la Coopération Britannique (DFID) y contribue. Nous avons appuyé avec le Canada l’élaboration du Pacte Anti-corruption entre le Secteur Public et le Secteur Privé. Nous finançons à hauteur de 150 millions de dollars le Programme du Développement du Secteur Privé.
Nous œuvrons pour une RDC stable et prospère. C’est la raison pour laquelle nous appuyons fortement avec les autres membres de l’Union Européenne et autres, le renforcement de la démocratie dans ce pays. Dans ce cadre, nous aimerions .que soit tracé un calendrier électoral complet incluant jusqu’aux présidentielles en 2016. Nous voudrions pouvoir appuyer des élections libres, transparentes et crédibles.
Grace à la Coopération Britannique, DFID, nous appuyons la société civile et l’épanouissement des médias indépendants et professionnels. À l’est du pays, nous appuyons le rétablissement de l’autorité de l’état après des décennies de conflit. Nous appuyons également la réforme de la police afin de créer un corps de la police au service des attentes du peuple congolais.»

Mambo
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[22:53:42] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: [22:13] KL:

<<< Nous pensons que la confiance de la population dans le processus électoral va augmenter en émettant un calendrier électoral complet pour les élections locales, provinciales et nationales jusqu’au niveau Présidentiel. Plus aucun congolais sérieux ne croit et ne croira à la valeur de ces élections.
Bien de bonnes choses et de choses fausses ont été dites sur les élections de 2006 et de 2011.
Les patriotes congolais ne sont plus dupes.
Ce qui leur manque pour l’instant c’est le bon réflexe de se mettre au travail autour d’une table afin de produire, un projet de société congolais, démocratique et complet pour la RDC.
[22:13] KL:

<<< L’expansion du potentiel économique et humain de la RDC, en fournissant une aide cruciale dans les secteurs de la santé, de l’éducation, de la sécurité, et de la réponse humanitaire entre autres. Tant qu’on envisagera le développement du Congo en des termes humanitaires, on n’aura pas encore quitté une logique colonialiste ou raciste du développement du congolais.
Le développement véritable est avant tout le fruit du travail d’un peuple qui s’autodétermine : définit ses objectifs, élabore sa stratégie d’intervention pour supprimer la misère de son peuple, mobilise les moyens nécessaires et se met en mouvement pour passer d’une situation insatisfaisante vers une situation satisfaisante, ou d’une situation satisfaisante, vers une autre, plus satisfaisante.
[23:03:05] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: [22:18] KL:

<<< « La démocratie est la meilleure façon d’assurer la stabilité et la prospérité en RD Congo » [22:18] KL:

<<< Nous usons de notre position au sein du Conseil de Sécurité, pour confier à la MONUSCO le mandat efficace dont elle a besoin. Voilà pourquoi nous accordons aussi notre appui politique au travail tout à fait exceptionnel du Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies, Martin Kobler. Voir un pays stable et prospère, c’est également la raison pour laquelle nous appuyons les efforts de l’Envoyée Spéciale Mary Robinson et les autres Envoyés internationaux dans leurs efforts visant la mise en œuvre de l’Accord Cadre d’Addis-Abeba. Sous nos yeux, tous ces projets échouent depuis 1994.
L’attente entre congolais ne viendra pas de ces mondes-là.
Ce sont les congolais eux-mêmes qui, pour diverses raisons connues, tardent à se mettre autour d’une table, pour aplanir leurs différends avant de de résoudre les problèmes de coexistence de nos nations au centre de l’Afrique.
Les intellectuels congolais commencent à comprendre qu’ils ont laissé à des escrocs politiques de faire le travail qu’ils auraient dû accomplir pour se montrer reconnaissants à l’égard de leurs parents qui se sont dépouillés pour les envoyer étudier le savoir de l’occidental.
Étant donné que les congolais ne sont pas encore suffisamment prêts, il ne faut pas s’empêcher de reconnaître qu’une génération environ est nécessaire avant que nous commencions à voir des vraies initiatives de développement national naître en RDC.
Pour l’instant, combattants et résistants continuent à penser qu’ils pourront faire une guerre sans ressources !  Les échecs continueront encore pendant un temps, jusqu’au jour les congolais prendrons conscience de la valeur :
1. d’une concertation pour l’élaboration d’un projet de société démocratique
2. d’un développement par projets, qui signifie formation, éducation et instruction préalables de la masse.

Trois pions américains ?


De Skype (Projet 2014)

Trois pillons, seraient joués par les USA, au grand dam de nous congolais, selon Karlo3569 (Son pseudonyme Skype) : Yoweri Museveni de l’Uganda (http://en.wikipedia.org/wiki/Yoweri_Museveni), Paul Kagame du Rwanda (http://en.wikipedia.org/wiki/Paul_Kagame) et Jakaya Kikwete de la Tanzanie (http://en.wikipedia.org/wiki/Jakaya_Kikwete)…  Le liens hypertextes associés permettent de connaître quelques peut les hommes dont il est question dans la livraison que nous reprenons ici, avant de laisser une réflexion.

Cette caricature, ou presque, est très proche des thèses soutenues par beaucoup d’analystes et observateurs de la situation que traverse notre pays depuis son indépendance et particulièrement depuis 1994 (Guerres interethniques à l’Est.) ou 1997 (Entrée de l’AFDL dans l’ex-Zaïre).

Notre responsabilité, nous congolais, n’est pas examinée ici, mais lecture de la livraison en vaut la peine.

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[10:49:47] karlo3569: Home» RDC» Politique»
Balkanisation : Echec cuisant de la communauté internationale en RDC
06/08/2013 14:39:00kongoTimes!
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image Bill CLINTON et Paul KAGAME

En faisant entrer un énième acteur, Jakaya Kikwete et son pays la Tanzanie, dans le «jeu morbide» qui se perpétue à l’Est du Congo, les Anglo-Saxons, parrains encore hier de Paul Kagamé, de Yoweri Museveni et de l’homme de paille de ces deux derniers à Kinshasa, avouent, et même s’ils ne le reconnaitront jamais ouvertement, leur échec cuisant au Congo. Et de ce fait, celui de leurs deux «filleuls», Kagamé et Museveni, dans leur projet obscure de balkanisation de la RDC ; Revers aussi face à un peuple, qui a été dépourvu d’armes et sans aucune structure consciente et organisatrice, mais qui a su résister pendant 17 ans, et ce depuis le 17 mai 1997, date qui marque le début du processus de la déstabilisation de la RDC, par sa seule volonté de vouloir vivre en congolais.

Bernard Debré se doutait à peine dans son livre « Le retour du Mwami/ La vraie histoire des génocides rwandaises» lorsqu’il s’interrogeait si « […] les Américains avaient […] vraiment parié sur le bon cheval. […] Sera-t-il le Bismarck tant attendu ? Rien n’est moins sûr ». [répondait Debré à sa propre question]. « En tout cas, Museveni est le favori des Anglo-Saxons…Et [ celui-ci] soutient évidemment l’homme qui lui a permis de prendre le pouvoir [en Ouganda], Paul Kagamé, le Tutsi du Rwanda, et ses forces [de l’APR] bien équipées et entraînées [par des bérets vers américains] », (Debré : 1998 :98).

Debré se posait toute cette question peut-être qu’il était « Français », qui cachait mal son mécontentement face à cette « nouvelle » emprise américaine dans les Grands- Lacs et la perte que cela impliquait de l’influence française dans la région. Qui sait ?

Surnommé par les Américains «Little Darling», « le premier bush fighter [qui] a renversé par les armes une dictature surarmée», Museveni et son acolyte Paul Kagamé furent présentés par la propagande anglo-saxonne comme la

«nouvelle race de dirigeants africains», mais qui finalement s’est révélée n’être que ce que nous savions qu’ils étaient, c’est-à-dire de simples « nègres de service» , d’ esclaves-noirs, d’un type nouveau, qui étaient appelés à assurer juste la protection de nouvelles plantations américaines que la plupart de pays du africains devenaient.

L’esclavage avait acquis une nouvelle forme de vie. Il n’était plus question de capturer les esclaves en Afrique et de les conduire manu militari vers des champs lointain de coton ou de cannes à sucre aux USA ou sous d’autres cieux du monde dit « civilisé ». Désormais, des pays africains entier constituaient chacun, et à sa manière, une nouvelle forme de plantation qui était chargée à produire soit du coton, soit du cobalt, soit du pétrole (brut), soit du café, soit du coltan…Et chaque africain restait à jamais un esclave travaillant dans un vaste champ afin de maximiser une économie d’extraction.

Mais comment « cette nouvelle race de dirigeants africains », pour qui la propagande anglo-saxonne a inventé et vanté tant l’intelligence, jusqu’à faire même des émules dans nos sociétés respectives et chez des Êtres dit pensant, a piteusement fait chou blanc en RDC malgré tous les moyens mis à sa disposition pour accompagner et assurer sa réussite.

L’Occident s’était totalement « compromis » pour soutenir et encourager Museveni et Kagamé dans l’accomplissement de leur sale besogne au Congo. « On ferme, [raconte Debré], les yeux sur quelques « entorses » à la philosophie des droits de l’homme (Museveni [comme plus tard Kagamé] refuse le multipartisme, par exemple…Et on compte sur lui pour surveiller la frontière soudanaise ! », (Debré, 1998 : 98).

Les Américains vont pousser le zèle jusqu’à traquer de Hutu au Congo afin de faciliter leur extermination par des Tutsi qui les pourchassaient. Des « cadavres de Hutu sont entassés en hâte dans des charniers que des avions « espions » ont repérés…Mais, n’est-ce pas, il ne s’agit là que de Hutu, des génocidaires patentés qui n’ont eu que ce qu’ils méritaient. Alors le monde entier se tait [comme il se tait aujourd’hui face au génocide congolais]. L’ONU et la communauté internationale auraient-elles levé le petit doigt pour porter assistance à ces fuyards [Hutu] épouvantés ? Certes non…Nous, [ c’est-à-dire l’Occident et l’ONU], avons laissé en toute connaissance de cause des homme, des femmes et des enfants, dénués même de minimum vital, traverser des milliers de kilomètres de forêts inhospitalières, pourchassés par la clique aux ordres de Kabila et donc de Kagamé…Et les Américains se sont prêtés à cet atroce jeu morbide en mettant à la disposition des futurs maîtres du Zaïre leurs moyens de détection par satellite pour mieux pourchasser les fuyards [hutu] ! L’ONU a simplement pensé à « balancer » de la nourriture aux Hutu affamés…Puisque toute intervention terrestre était interdite par les États-Unis », (Debré, 1998 : 98)…

Ils fabriquent Museveni et Paul Kagamé à coup de billets, de propagande, de crimes et de compromission de toute sorte mais pour assister à un fiasco de ce qu’ils ont eu le toupet de présenter comme étant la « nouvelle race de dirigeants africains ». N’est-ce pas que ces derniers, par leur amateurisme, ont gâché leur fête ! L’heure de compte a sonné et comme dans toute maffia, l’échafaud réclame des têtes.

« Kagamé [écrit Tunga Dia Lutete Béthuel] fit des études secondaires infructueuses, successivement à la Ntare School de Mbarara au Sud de l’Ouganda et à la Kampala School de Kampala de 1972 à 1976. À Kigali, en privé, on le surnomme « siniya fo » (senior four) pour dire qu’il a fait quatre ans post-primaires » (Lutete, 2009 :21).

Et aujourd’hui en l’opposant publiquement à Kikwete, les Anglo-saxons démontrent le peu d’importance qu’ils ont toujours témoigné à ce type d’hommes et à tous ceux de son genre qui trahissent honteusement leur peuple. Mais ils tentent également de chercher à séduire le peuple Congolais en l’ « invitant » à accorder son soutien au Tanzanien Kikwete, le nouveau joker Yankee dans la région, que l’on fait paraitre comme le seul à avoir osé , bien sûr sous les yeux de quelques « aveugles » congolais, affronter celui qui apparait comme le monstre de Frankenstein. Personne au Congo n’est prêt à oublier l’image de Bill Richardson menaçant Mobutu de quitter le pouvoir alors que ce dernier fut un de leurs grands amis et serviteurs dans la région.

« One of the worst recurring features of U.S. foreign policy, [ rappelle David Ignatius, le journaliste américain], is a process that might bluntly be described as “seduction and abandonment.”

Malgré tout cela, on trouve ra encore et toujours quelques “Nègres” pour se jeter dans la gueule du loup et vouloir vendre l’impossible aux Congolais. Que des sujets Rwandais et Tanzaniens, en l’occurrence Paul Kagamé et Jakaya Kikwete, se querellassent sur des sujets autres que le Congo, cela parait compréhensif et même plaidable. Mais qu’ils s’invectivassent sur le Congo, en lieu et place des Congolais eux-mêmes, cela pue et réduit des Congolais à des sujets « immatures », déficients, incapables de se battre, voire de parler pour eux-mêmes et pour leur pays le Congo. Les Américains leur ont désigné un nouveau capita médaillé, une nouvelle bouche, seule habilitée désormais à gueuler à leur place. Cette bêtise n’a fait que trop durer. Les Congolais veulent dorénavant parler pour eux-mêmes et pour le Congo.

Je m’en vais conclure cette c…

GPAU, Projet 2014, Bruxelles

Très bien dit Karlo, globalement.  Cependant, l’erreur dans ton discours me paraît être la mesure biaisée de l’état d’esprit de notre base de nos populations (Nous ne nous atterderons pas ici sur l’explication de cet état d’esprit que nous développons ailleurs sur ce blog).  En effet, mon frère Karlo, les écho qui nous parviennent personnellement du (grand) Kivu, de l’Ituri et de Kinshasa, ne nous permettent pas – malheureusement – de pouvoir dire que tu sois en symbiose, en accord avec notre peuple.  Encore une fois, Karlo : c’est dommage, mais c’est une triste vérité qui doit nous pousser à (1) user de beaucoup de prudence, faut de n’avoir d’arrière, au regard du nombre d’échecs cumulés fasse  nos ennemis ; (2) nous mettre autour d’une table pour créer une synergie capable de tenir tête à l’ennemi par un réel et véritable pouvoir de dissuasion, ennemi sur lequel je pense que nous nous trompons souvent quoique pas toujours, heureusement ; (3) implorer surtout positivement et activement Dieu pour qu’il nous absolve de nos idôlatries qui durent depuis des temps immémoriaux – non pas à la manière innefficace dont cela se passe dans nos églises du sommeil, mais bien comme de vrais adorateurs, du Dieu vivant, vrai et aimant…  Ce dernier pas, l’essentiel, me paraît expliquer le plus nos vissiscitudes du moment.
Puissions-nous avoir contribué à indiqué une voie sûre qui nous évite des pertes inutiles de nos combattants ou résistants.

Des bouteilles de vins, mes aussi des unités de mesure…


RD Congo : une bouteille de vin sud-africain pour la mine de Kibali

Vendredi, 26 Juillet 2013 11:06

Par Christophe Le Bec

Kibali-Randgold c2012RandgoldResources

Kibali représente un investissement de 1,29 milliards d’euros pour Randgold et son partenaire AngloGold Ashanti. © Randgold Resources

La mine de Kibali, dans l’est de la RDC, devrait produire son premier lingot avant la fin 2013. L’occasion pour Mark Cutifani, l’Australien devenu patron d’AngloAmerican, d’honorer un pari conclu avec Mark Bristow, patron sud-africain de Randgold. À la clef, un grand cru sud-africain.

En 2010 Mark Bristow, patron sud-africain de Randgold, et Mark Cutifani, alors directeur général australien d’Anglogold Ashanti, associés dans le projet d’exploitation aurifère de Kibali avaient fait un pari devant la presse : Si la mine, située à l’extrême nord-est du pays, dans le Haut-Uele, fabriquait son premier lingot d’or avant la fin de l’année 2013, alors Cutifani s’engageait à offrir à son partenaire une bouteille de vin d’un grand cru sud-africain. Si l’or de la mine était coulé après 2014, c’était à Bristow de payer une bouteille d’exception, mais d’origine australienne cette fois.

1 milions de tonnes de minerai

En visite à Kibali depuis le 23 juillet dernier, Mark Bristow a rappelé ce pari : « Cutifani [qui a quitté depuis AngloGold pour AngloAmerican] peut préparer la bouteille », s’est-il réjoui, annonçant le début des préparatifs pour la première coulée d’or en octobre 2013, avant la date limite. D’après le PDG de Randgold, plus d’1 million de tonnes de minerai, provenant de l’exploitation à ciel ouvert, ont déjà été stockés pour alimenter l’usine métallurgique. « Dans la mine souterraine, la construction des inclinés est en avance par rapport au programme et le puits vertical aura atteint une profondeur de 183 mètres en fin d’année », a-t-il fait valoir, comptant sur le « soutien des diverses autorités de la RDC pour s’assurer que tout se déroule comme prévu. »

Kibali représente un investissement de 1,29 milliards d’euros pour Randgold et son partenaire AngloGold Ashanti. Les deux groupes espèrent de leur mine congolaise une production annuelle faramineuse, de 18 tonnes d’or pendant 12 ans. L’once du précieux métal était cotée à 1340 dollars le 25 juillet, soit 18% de moins qu’il y a d’un an.

Lire aussi :
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Nivaash Singh : « Les superprofits sont menacés, mais pas la viabilité des projets »

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Voici comment nous nous faisons voler avec des définitions vagues à dessein.

La définition de l’once d’or par exemple : “Une once d’or est une unité de mesure de quelques grammes servant à déterminer le poids de l’or. La valeur de l’once est appréciée pour un poids compris entre 24 et 33 grammes.  L’once d’or est cotée sur les marchés financiers. L’once d’or est une référence particulièrement marquante sur les marchés au même titre que le lingot dans les périodes d’instabilité ou de crises financières.” (Source : http://www.trader-finance.fr/lexique-finance/definition-lettre-O/Once-d-or.html)

Solution : imposons que notre or soit vendu en grammes ou en kilos ou en tonnes.  Ce sera plus simple, plus clair pour tous que ces unités impressises qui laissent les vendeurs toujours plus appauvris !

Il en est de même d’une autre unité utilisée dans l’Ituri et dans les Kivu : le tola.  http://www.convertunits.com/from/tola/to/grams livre le taux de conversion du tola indien.  La définition du tola “international” aujourd’hui est ici : http://en.wikipedia.org/wiki/Tola_(unit).

CIA-Climat


[15:51:12] Belothi: La CIA apprivoise la météo RG
[15:51:39] Belothi: http://fr.rian.ru/presse_russe/20130725/198855150.html
[15:52:22] Belothi: La CIA cherche comment contrôler le climat de la planète. Et elle a déjà dépensé 630 000 dollars pour ça, écrit jeudi le quotidien Rossiïskaïa gazeta.
L’agence assure que le projet – intitulé « Géoingénierie du climat : évaluations techniques et discussions des impacts » – est inoffensif, mais les experts russes affirment que l’accès à l’arme offensive climatique est un rêve de longue date de Washington. L’étude des changements climatiques et des moyens de les contrôler prendra 21 mois aux chercheurs américains. C’est le délai imparti pour ce projet d’étude sur lequel travaillent, hormis la CIA, l’Académie nationale des sciences, l’agence responsable de l’étude de l’océan et de l’atmosphère NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration) et la Nasa. Les technologies développées avec le soutien actif de la CIA, même sous forme « limitée », paraissent très menaçantes. Il est notamment question de limiter le rayonnement solaire sur Terre grâce à la dispersion de particules spécifiques dans la stratosphère, de contrôler les radiations solaires et de déplacer des nuages.
[16:06:05] Belothi: « SOUS NOS YEUX »
Bientôt, plus d’obstacle au nouveau Sykes-Picot
par Thierry Meyssan

Qui sont les incivilisés : les américains ou les chinois ?


Qui sont les incivilisés ?

Pourquoi n’avoir pas dénoncer plus tôt ?  Est-ce la première fois que les USA soient dénoncés ?

Quelles leçons tirées de ceci ?

http://www.cameroonvoice.com/news/news.rcv?id=10587#anchorpager