Inspirer…


Proposer, ne suffit pas !

Ceux qui réussissent,  inspirent plus, convainquent : quoi de plus normal, de plus humain…

Si le Projet 2014 faisait des députés, ministres ou gouverneurs,  depuis 1999, il aurait sans diute déjà atteind l’objectif de 3.000 participants et de 50% de ministres inspirés par le projet.

Vous inscrire, c’est ici-même : https://projet2014.com/inscription.

Bunia, dans l’Ituri.


Coacher un Iturien : est-ce possible ?  À quel coût ?  Quelles niches exploiter et comment ?

GPAU

  1. Prends un papier et un stylo. Notes 20 besoins non satisfaits des ménages de ta localité.
  2. Envoie-moi une photo de la liste ; une photo prise à l’extérieur, après avoir nettoyer l’objectif de ta caméra.
  3. Nous ne manquerons pas de trouver jusqu’à quatre opportunités d’affaires dans cette liste.

De cette façons nous pouvons lancer un projet légitime dans ta localité.

D’autres localités en profiterons.

Obligation scolaire et professionnelle…


Nos parlementaires doivent être titillés. Ils doivent être commandés pour déposer une loi qui rende obligatoire les études pour nos enfants de la RDC jusqu’à l’âge de 24 ans. Cela, dans le but de nous mettre rapidement en avance par rapport aux autres nations qui vieillissent politiquement, culturellement et stratégiquement parlant. Ces pays perdent en vitesse dans le développement spirituel, intellectuel, culturel, scientifique, industriel, technologique, social.

Jusqu’à présent, nos dirigeants ont majoritairement été des jeunes. Sans instruction, sans formation et sans éducation suffisantes, ils ont abîmé le pays hérité de la fausse indépendance proposée par le MNC. Et pour ne pas avoir une opposition forte à leurs régimes fantoches, le MPR, l’AFDL, le PPRD et l’UDPS maintiennent la population dans l’ignorance des lois qui président au fonctionnement du monde visible et invisible. Pour se faire, ils détruisent, chaque jour qui passe, le tissu de notre enseignement. Pour sauver notre nation, nous avons proposé pour notre enseignement : 1° l’obligation scolaire jusque 24 ans, 2° la séparation de la fonction enseignante et de la fonction évaluative des acquis et 3° la quadrimestrialisation de l’enseignement à tous les niveaux : celui dit préscolaire, le primaire, le secondaire, le supérieur, l’universitaire et le post-universitaire.

Jusqu’à présent, personne ne nous suit. Les pouvoirs qui se succèdent à Kinshasa continuent à profiter de la démission des parents qui bien souvent, hélas, n’aiment leurs enfants que du bout des lèvres. Le peuple s’abrutit, la nation en pâtit, les ennemis du Congo en profite pour piller et décimer nos peuples. La gente congolaise risque donc un jour de disparaître, comme le prédit plus ou moins Kwebe Kimpele, cet autre prophète qui prêche dans le désert.

« Dans le système éducatif de la République Démocratique du Congo, la scolarité est obligatoire pendant 6 ans1. [C’est donc une obligation scolaire jusqu’à 12 ans, dans un pays sous-développé à bien sous plusieurs plans !] Cela correspond généralement à l’enseignement primaire. Cependant, il est important de noter que l’application de cette obligation peut varier en fonction de divers facteurs, y compris les ressources disponibles et les conditions locales [Presque nulle part dans le pays, les parents ne sont poursuivis ! Beaucoup d’enfants errent dans les rues et dans les cours des parcelles toutes les journées, sans que les communes ne demandent de comptes aux parents défaillants.]. Pour des informations plus précises et à jour, je vous recommande de consulter les dernières publications du Ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique de la République Démocratique du Congo ou d’autres sources officielles. » Copilot, Microsoft, ce dimanche 21 janvier 2024, 18:20.

Qu’est-il dit de l’application de la loi en cette matière ? Pourquoi plusieurs enfants sont-ils dans les rues ou en situation d’esclaves dans les maisons d’inciviques ? Qui est responsable de cette situation ? Comment le gouvernement congolais de la RDC contrôle-t-il l’application de l’obligation scolaire jusqu’à l’âge de 12 ans et que fait-il des enfants mineurs entre 12 ans et 18 ans ?

« Le contrôle de l’obligation scolaire en République Démocratique du Congo est assuré par plusieurs mécanismes. Voici quelques-uns des principaux mécanismes de contrôle :

  1. Contrôle de l’inscription scolaire des mineurs : Une cellule spécifique est chargée de vérifier que les mineurs bénéficient bien d’une instruction1. Elle vérifie que chaque enfant est inscrit dans une des filières d’enseignement1. Lorsqu’aucune information n’est trouvée sur la manière dont est instruit un mineur, le service prend alors contact avec les parents ou la personne investie de l’autorité parentale1.
  2. Contrôle des salaires des enseignants : Un audit approfondi a porté sur les salaires des enseignants dans les provinces concernées par le projet2. Ces résultats ont fait l’objet d’un contrôle par un organisme indépendant2.
  3. Contrôle de l’achat des manuels scolaires : L’achat des manuels scolaires revient en priorité aux écoles qui le font sous le contrôle et la responsabilité de leurs gestionnaires respectifs, et en concertation permanente avec les parents d’élèves3.

Cependant, il est important de noter que l’application de ces contrôles peut varier en fonction de divers facteurs, y compris les ressources disponibles et les conditions locales. Pour des informations plus précises et à jour, je vous recommande de consulter les dernières publications du Ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique de la République Démocratique du Congo ou d’autres sources officielles. » Copilot, Microsoft, ce dimanche 21 janvier 2024. » Copilot, Microsoft, ce dimanche 21 janvier 2024 à 21:57.

Nous savons très bien que l’esclavagisme, la colonisation, la dictature et le sabotage de l’enseignement, contribuent à accroître l’insécurité dans le pays. Ils contribuent aussi à retarder la prospérité de la majorité et à nous plonger dans l’ignominie, dans le grand déshonneur et dans l’indignité extrême dans lesquelles nous vivons aujourd’hui, partout où nous sommes. Ces maux qui continuent au Congo, qui y sont entretenus par des esclavagistes, des colonialistes et des dictateurs étrangers et nationaux nous poursuivront jusqu’au jour nous nous léverons tous pour dire : « ASSEZ de nous prendre pour ses sous-hommes ! »

Pour proposer et ne pas nous contenter de la critique facile, nous proposons des voies et moyens pour nous sortir de l’auberge.

  1. Dissolution inconditionelle de la CENI pour responsabiliser l’adminidtration publique.
  2. Salaire minimum garanti à tous les plus de 24 ans et ce minimum supérieur au minimum vital ; obligation de travail pour eux tous – ces plus de 24 ans, y compris les handicapés. Mise au travail, par l’administration locale, de ceux qui ne trouvent pas du travail ou de citoyens qui n’arrivent pas à créer du travail par eux-mêmes dans les 12 mois.
  3. Salaire maximum inférieur ou égal à 5 fois le minimum vital, dans le secteur public.
  4. Obligation scolaire jusque 24 ans pour tous les enfants.
  5. Trois ans maximum de moratoire pour chaque travailleur sans qualification validée par l’État, électroniquement, pour se qualifier dans son domaine par une formation à horaire décalé.
  6. Cinq ans maximum de sursis pour chaque administration locale pour adjoindre l’eau potable et l’électicité dans chaque maison de ménage et chaque installation d’entreprise, à ses frais – l’admonistration locale, moyenant des crédits bancaires, qui couvrent les rénovations indispensbles.

Yangambi brûle.


Date, heure et contexte de l’événement ?
Auteurs des actes ?
Le mobile ?
La motivation ?
Conséquences à courtes et longues échéances ?
Capacités d’intervention des yangambiens et du reste des préjudiciés ?
Autorités, mesures prises ?

À Kisangani, non loin de Yangambi, nous avons fermé notre succursale de l’EAE ASBL, où nous souhaitions installer notre centre de publication de supports de formation (Centre de Nouvelles Technologies de l’Information et des Communications : CNTIC) et d’enseignement (Institut des Technologies de Pointe : ITP) de l’EAE ASBL, ainsi que notre Centre de Collecte, de Traitement et de Diffusion de Données (CCTDD ou C²TD²), à cause de l’indifférence des indifférence des bénéficiaires directs de cette initiative.

Yangambi sera construit un jour par les yangambiens qui aujourd’hui ont laissé dépérir leur cité et détruire des locaux que l’on nous présente, sans plus de précision. Jadis, cette localité était renommée dans le domaine de la recherche agronomique ; aujourd’hui, elle est oubliée du monde entier.

Une initiative est en gestation à Kisangani, qui, si elle est suivie à Yangambi, permettra de rapidement construire un Yangambi nouveau, prospère, durable !

Territoire de Beni (Oïcha) : Appel à participation.


Chers habitants de tu territoire de Beni (Oicha), dans le but de continuer à développer notre habitat, notre agriculture et nos mines, EAE ASBL vous propose la valorisation de 4 km de part et d’autre de la route Butembo-Eringeti en y développant une agriculture industrielle et des villas pour tous les ménages. Près de 25.000 ha de champs coopératifs pour combattre :

  1. La pauvreté (apporter la richesse matérielle, financière, morale, spirituelle…) ;
  2. La colonisation (promouvoir les fils du terroir) ;
  3. L’esclavagisme (assurer des salaires justes).

Au programme :

  1. Appropriation de nos terres.
  2. Cultures vivrières et industrielles contrôlées par les autochtones.
  3. Valorisation du travail professionnalisme.
  4. Promotion de l’unité et de l’humanité…
  5. Organisation et contrôle des activités minières dans notre terroir.

Les noirs seraient pauvres parce que…


Tel que reçu dans le groupe WhatsApp du Projet 2014. Il manque vos commentaires et discussions du sujet. Le cas échéant, une proposition de solution pourraient être formulée.

Pourquoi les Noirs ne sont-ils pas riches ?

Extraits d’un entretien avec un leader juif sur les Noirs.

INTERVIEWER:
Pourquoi les Noirs sont-ils si en retard sur le plan économique ?

CHEF JUIF :
La seule chose que les Noirs comprennent, c’est la consommation: manger, s’habiller et jouir.

Les Noirs ne comprennent pas l’importance de créer et de construire de la richesse.

La règle fondamentale est de garder votre argent au sein de votre groupe familial, racial.

Nous les juifs aimons :

  • créer des affaires juives,
  • embaucher des juifs,
  • acheter juif, et
  • passer juif.

Il n’y a rien de mal à cela, mais c’est une règle de base que les Noirs ne peuvent pas comprendre et suivre.
 » Le Noir tue quotidiennement ses compatriotes noirs au lieu de vouloir voir ses compatriotes noirs réussir »

93% des Noirs tués en Amérique le sont par d’autres Noirs. L’histoire n’est pas différente en Afrique.

Leurs dirigeants volent leur peuple et renvoient l’argent à leurs maîtres coloniaux à qui ils empruntent le même argent. Et en cas de décès ou d’empêchement cette fortune est perdue au profit de l’Occident.

Tout Noir qui réussit veut dépenser son argent dans le pays de ses maîtres coloniaux.

Ils veulent :

  • partir en vacances à l’étranger,
  • acheter des maisons à l’étranger,
  • étudier à l’étranger,
  • aller se faire soigner à l’étranger, etc.
    au lieu de dépenser cet argent dans leur propre pays au profit de leur peuple. Les statistiques montrent que l’argent du Juif change de mains 18 fois avant de quitter sa communauté… alors que pour les Noirs c’est probablement un maximum d’une fois voire zéro. Seulement 6% de l’argent des Noirs retourne dans leur communauté. C’est pourquoi les Juifs sont au sommet et les Noirs sont au bas de chaque échelle de la société. Au lieu d’acheter
  • Louis Vuitton,
  • Hermès,
  • voitures chères,
  • des chaussures,
    -Maisons,
    -robes, etc,
    Les noirs pourraient
  • industrialiser l’Afrique,
  • construire des banques et se débarrasser des institutions coloniales, FMI et Banque Mondiale…qui ont pour missions de les mettre en faillite. INTERVIEWER:
    Que pensez-vous de l’échec des Noirs après 150 ans ? CHEF JUIF :
    Eh bien, rien n’est jamais la faute du Blackman.
    Le Noir :
  • habitude compulsive de tuer les siens pour gravir les échelons économiques ;
  • consommation matérielle compulsive ;
  • tendance à rabaisser les autres Noirs jugés performants ou mieux disposés ;
  • Son incapacité à créer des entreprises ou
  • préserver la richesse sont généralement la faute de quelqu’un d’autre. INTERVIEWER:
    Alors que peuvent faire les Noirs pour se libérer ? LEADER JUIF : Les Noirs doivent prendre leurs responsabilités. Les Noirs doivent s’unir. Et combattre avec véhémence les dirigeants corrompus qui dénigrent leur pays et courent au FMI comme si le FMI était le Père Noël. Ils doivent se replier sur eux-mêmes sinon ils resteront continuellement économiquement colonisés et perdront leur place dans l’histoire. Les dirigeants africains n’aiment pas leurs peuples, ils travaillent pour leurs maîtres Occidentaux. Veuillez transmettre ceci jusqu’à ce qu’il fasse le tour du continent africain. Nous devons tous apprendre nos leçons rapidement et construire la race noire.

De la production à la rentabilté…


Nous devons produire les ressouces dont notre nation a besoin pour vivre.

  • Pour nos besoins.
  • Pour vendre et avoir de quoi acheter ce que nous ne savons pas produire.

Notre production doit donc être accrue, diversifiée, qualifée…

Pour que notre production soit suffisante, notre productivité doit être accrue et la rentabilité de nos processus de production doit être accrue.

Pour que cela soit possible, notre peuple doit être bien instruit, formé et éduqué. Le rôle de l’enseignement est donc crucial dans le processus de notre développement. Il importe donc de ne laisser personne jouer avec la profession enseignante.

C’est la raison pour laquelle, aux élections prochaines, nous supplions notre peuple à ne plus être complaisant. Nous devons nous désigner des parlementaires, des ministres et des fonctionnaires d’une grande éducation, d’une haute formation et d’une vaste culture.

Pour qu’il en soit ainsi, nous devons nous départir du népotisme, du favoritisme et revêtir le civisme, le patriotisme…

Cest le gage de notre production, de notre productivité, de notre rentabilité et de notre compétitivité.

« Le piratage chez Belgacom, plus vaste et complexe qu’imaginé »


Le Vif

– Il y a 13 minutes 4 décembre 2013

Le maliciel découvert au sein de BICS, filiale de Belgacom, s’avère plus difficile à éliminer que prévu. Des sources du journal De Tijd indiquent que Belgacom ne parvient pas à se défaire des restes du logiciel d’espionnage. La contamination est nettement …

Et il faudrait en plus, donner un parachute doré à Didier Bellens en guise de remerciements pour ses nombreux et loyaux services !

« Quand on entend ce qu’on entend, quand on voit ce qu’on voit, quand on sait ce qu’on sait, on a bien raison de penser ce qu’on pense, et… de se taire» [Jean-Pierre Chevènement, citant Madeleine Proust]

Abatabizi bicwa no kutabimenya.

Nikozitambirwa

La chanson de l’automne 2013

http://www.youtube.com/watch?v=_HNLuZiaU58
La chanson du  mois d’octobre 2013:  

http://www.youtube.com/watch?v=Uv_wZQJYlo0

© NIKOZITAMBIRWA 2013
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« L’homme, à mon avis, se perfectionne par la confiance. Par la confiance
seulement. Jamais le contraire. » (Mustafaj)
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posted by Nikozitambirwa

Ne demandez pas de geste absolument gratuit. Psychologiquement,
c’est irréalisable. Il y a au moins le plaisir de faire plaisir.

MURAYI HABIMANA ILDEPHONSE

Doctor in de rechten

Nikozitambirwa alias le Chinois

Eigenaar van de Renault Megane GXP986