Ituri : Débout !



Ituri, débout pour sa dignité !
Nous sommes déjà le 30/08/2025 : mais nous dormons encore et toujours !

La paix ne se décrète pas. Elle se construit, elle se protège, elle se défend. Et surtout, elle se mérite.

Aujourd’hui, nous saluons l’appel courageux de Pacifique Ukok, qui nous rappelle que la paix est un choix quotidien. Mais ce choix ne peut être complet sans vérité. Car en Ituri, la vérité est que nos divisions internes ont ouvert la porte à des puissances étrangères qui ne viennent pas en amis.

Les guerres fratricides entre Bales, Alurs, Hemas et autres peuples frères ont fragilisé notre terre. Elles ont permis à des forces extérieures — Ougandaises, islamistes, et autres colonisateurs déguisés — de s’infiltrer, de piller nos ressources, de corrompre nos mœurs, et d’installer un chaos qui ne sert que leurs intérêts.

Ce n’est plus seulement le conflit Hema-Lendu. Ce sont les colonisations silencieuses des Buisha, des Luba, des Tutsi, et l’importation d’un islamisme sectaire qui menace notre identité chrétienne et notre cohésion sociale.

Et que dire de Kinshasa ? Ceux qui y trônent n’ont ni le souci ni la volonté de faire avancer l’Ituri. Ils ont prouvé, par leur silence et leur cupidité, que leur regard sur notre province est celui du prédateur, non du protecteur.

Alors oui, nous soutenons Ukok. Mais nous disons aussi : la paix ne viendra pas sans lucidité. Elle ne viendra pas sans dénonciation. Elle ne viendra pas sans rejet clair de toute manipulation, qu’elle soit tribale, religieuse ou politique.

Ituri doit se réveiller. Ituri doit s’unir. Ituri doit se défendre.

Comme le disait John Tinanzabo : « Ituri c’est mon père, Ituri c’est ma mère. »
Et nous ne laisserons plus personne profaner notre maison.

La paix commence par la vérité. Et la vérité commence ici, maintenant, avec toi et moi.

Laisse ton point de vue, mais surtout, agis avec ceux qui aiment réellement l’Ituri, qui expose leurs vies pour cette province, potentiellement riche, mais proie des méchantsinternes et externes.


La jalousie de l’UDPS ?


Est-ce vrai que l’UDPS soit jaloux contre Nzanga ?  C’est ce que nous débattons ici-bas.  L’opposition culturelle entre lubaphones et swahiliphones vient de très loin et s’accroît avec l’avènement de l’UDPS au pouvoir.

« La jalousie de l’UDPS. »  C’est ce que voit un compatriote dans le soulèvement de certains membres de l’UDPS contre l’AVPR naissant.

Nous avons alors posé la question: « Que fera l’AVRP pour contrer victorieusement cette jalousie éventuelle de l’UDPS avec un bénéfice pour la RDC ? »

Une réponse nous a été fournie illico.

« AVRP a ses élus et est membre d’une grande plateforme politique. Malgré la jalousie historique et continuelle de certains égarés de l’UDPS. AVRP restera au côté du Chef de l’État.  Nous connaissons bien le mode opératoire de l’UDPS.  On gère le pouvoir grâce aux principes et non pas avec des imaginations. Sans ses alliés, l’UDPS ne vaut rien. »

Nous en profitons pour revenir à cette écharde dont souffre la RDC depuis les années 60.

En RDC, en effet, en exagérant, aucun politique n’a des principes humains, démocratiques, clairs, connus, suivis rigoureusement, pour présider à la destinée de notre peuple.
Nos hommes politiques, sans formation politique de base ni éducation politiques spécifiques, bricolent.
Aucun chef de l’État ne sait libérer le congolais de l’esclavage (pauvreté, dictat) ni du banditisme ni de l’ignorance ni de l’aliénation mentale, etc.
Frères, séparons nous de ces hommes sans foi ni loi. Ne serait-ce d’esprit ! Formons nos enfants, tous les soirs, à mener une vie qui ne soit pas celle de ces irresponsables connus de longue date, de ces méchants, de ces destructeurs sans scrupules.

L’Ituri, par exemple, dans son âme, n’est normalement pas UDPS. Ils aiment bricoler, dominer, tricher, se venter, paraître, dans leur parti tribal.  Nous, sans parti politique fort, sommes une multiculture de travail bien accompli, d’honnêteté, de respect, de sérieux, de responsabilité, de naïveté ; à dire vrai. Il faudra donc beaucoup de temps pour que nous devenions une symbiose !  Les udpsistes devront apprendre à s’humilier, à se civiliser, nous devront apprendre à nous organiser politiquement et à ouvrir nos yeux, d’abord !

Cela doit se travailler de part et d’autre, sans ambages !
En attendant, nos fils doivent arrêter net toute spoliation de nos moeurs en s’investissant dans un parti qui viole et spolie toute notre culture, qui détruit nos valeurs, qui nous tire vers le bas ; pour avoir le temps de mettre lendu et hema sur les rails et avoir la force de prendre notre indépendance véritable, pendant que d’autres se plaisent à être assujettis à nos ennemis, du dedans et du dehors, clairement identifiés, depuis belle lurette !  Ce challenge, l’iturien ne se l’est pas encore approprié !

L’AVPR finira par être nord-kivutien, s’il ne l’est pas encore.  Là aussi,  la relation à l’UDPS se reduira à la question culturelle.  Le Kivu, en effet, est une autre culture, opposée, elle aussi au registre kasaïen, pour cause d’autres incompatibilités connues également ; mais qui demandent du temps pour être résolues.

Sont-ce là des raisons de s’alarmer ?  Existe-il des solutions acceptables pour tous ?

Oui : des hommes meurent en masse dans l’Ituri et dans le Kivu.

Non : l’UDPS veut dominer et se pavoiner, ni l’Ituri ni le Kivu n’ont du temps pour cala ; et de plus, cela n’est pas le destin qu’ils visent.

Dans cette condition, l’urgence est que les brimés se liguent pour prendre leur défense.  Bourrés de traîtres , infiltrés par les udpsistes, les Ituriens et les Kivutiens auront du mal à s’en sortir.  Ils doivent d’abord amégager leurs maisons respectives, trouver des terrains d’attentes pour se liguer et engager une contre-attaque victorieuse qui imposera à tous le respect mutuel.

Quelques décennies sont nécessaires, parce que, l’alliance soudano-nilotique ajoute une couche au problème que nous travaillons, dans Projet 2014, depuis 1976 déjà, et dont nous mesurons la complexité au plan humain, sociologique, économique et spirituel !

Comme les Congolais refusent de se mettre autour d’une table, la difficulté de solutionner les problèmes ira croissante !

Véranda Mutsanga


Véranda Mutsanga

Le dossier du bandit de grand chemin, Mr SUBATI, un bandit de grand chemin est sur table dans la cellule antiterro de la veranda MUTSANGA !
c un bandit qui est à la tete des plusieurs gang qui operent en ville de Butembo et environs meme dans le KARURUMA…..son doissier est en étude ! c un dossier tres lourd et tres sourd, car il semble que, certains commerçants de Butembo opereraient avec lui pour faire mal aux autres commercants. Dossier à suivre.

Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu Nos pères nous vendirent aux arabes, d’autres nous trahirent auprès des colonisateurs, d’autres encore soutinrent les dictatures et d’autres enfin composent avec l’imposture.
Les laisser continuer à le faire est une démission qui nous coûtera l’insécurité, la pauvreté du plus grand nombre !
Qu’on se le dise.