Armée et médiocrité…


[03-10-14 17:59:49] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: Malgré sa suspension et des soupçons de haute trahison qui pèsent sur lui après la chute de Goma, Amisi a continué de bénéficier, sans être inquiété, de la protection du président Kabila du fait sans doute de bons liens qu’il entretient avec celle qu’une certaine opinion présente comme étant la mère biologique du président, Sifa Mahanya. A ce jour, aucune action judiciaire n’a été initiée à l’encontre du général Amisi. L’auditorat militaire ne peut pas l’auditionner au motif qu’aucun magistrat n’a le grade équivalent à celui du général-major Amisi pour pouvoir le juger. Une situation similaire à celui du général John Numbi dans l’affaire Chebeya. Selon les dispositions de la loi portant statut du militaire, les accusations qui pèsent sur le général Amisi relèvent de haute trahison et sont passibles de la peine de mort au regard de l’article 128 du code pénal militaire[17].

C’est ainsi qu’à la surprise générale de l’opinion publique nationale et internationale, le Conseil supérieur de la Défense, présidée par Joseph Kabila, vient de le laver de tout soupçon. Et pourtant aucune instruction judiciaire transparente, indépendante et crédible n’a été menée à sa charge ou sa décharge. Après avoir brillamment échoué dans sa tentative de créer une cohésion nationale autour de sa personne à la suite des concertations en vue de se donner une légitimité devant éventuellement lui permettre de bénéficier d’un large consensus national en faveur d’un troisième mandat consécutif, tout porte à croire que la réhabilitation de Tango Four entrerait dans une stratégie alternative de cohésion négative que Joseph Kabila mettrait en place lorsqu’il faudra affronter les contestataires dans son plan de se maintenir ad vitam aeternam au pouvoir en RDC.

Pourtant la haute hiérarchie militaire des FARDC a reconnu la trahison de certains officiers

Après la défaite de Novembre 2012, face à la pression populaire croissante, l’état-major-général des FARDC a organisé du 04 au 16 février 2013, une session (3ème) du séminaire sur la réforme des FARDC. Ce séminaire, qui a réuni 113 officiers supérieurs et généraux issus de toutes les régions militaires, des commandements, zones et secteurs opérationnels et de différents états-majors des forces armées, a porté sur l’analyse des causes des contre-performances des FARDC lors des opérations à l’est de la RD Congo en 2012. Le rapport de synthèse élaboré à cet effet a énuméré les causes profondes de la défaillance des FARDC à Goma en novembre 2012, parmi lesquels les faits suivants (Les détails de ce rapport sont à lire dans notre ouvrage à paraître) dont certains qualifiés de haute trahison : Planification : insuffisante à tous les niveaux (stratégiques, opérationnelles et tactiques) ; Délais d’intervention et de renfort trop larges ; Pas de relève (sure des unités) ; Prélèvements illicites et dispersion des forces. Conduite de la bataille : Pas de coordination efficace durant les actions ; Découragement dans la prise d’initiative au combat par les autorités ; Intervention récidivée des ordres de trêve et cessez-le-feu à chaque fois que les troupes amies sont en position avantageuse. Commandement et Contrôle des unités au Combat : Désorganisation totale du commandement ; Complaisance dans les désignations des cadres de commandement (favoritisme, népotisme, tribalisme et clientélisme – Connotation politique de l’avancement – Distribution fantaisiste et discriminatoire des grades ) ; Incompétence et insuffisance de formation militaire de beaucoup de cadres de commandement (illettrés, pas ou peu formés, troupes peu ou pas du tout formées) ; Commandements parallèles (multiplicité des centres de commandement) ; Amalgame des structures et dysfonctionnement des multiples chaines de commandement (ordres contradictoires, refus d’ordres) ; Détournements, affairisme, trafic d’influence, fraude, braconnage, etc.) ; Trahisons, déloyauté, suspicions et manque de crédibilité. Discipline : Insubordination impunie (refus de mutation) ; Non-respect de la voie hiérarchique. Malgré ce réquisitoire de l’autoévaluation de l’armée, personne n’a été sanctionnée.

Lutter contre l’impunité est la seule réponse crédible que Kabila peut donner aux Congolais

En juillet 2013, les médias ont largement salué la volonté de Kabila de prendre la réforme des FARDC en main lors de la publication de la loi portant statut du militaire des FARDC. Une loi essentielle à la modernisation des FARDC. Cette loi établit notamment le régime disciplinaire du militaire, nécessaire pour un pays confronté quasi en permanence, depuis son indépendance, à des mutineries, des rébellions, aux graves problèmes d’indiscipline et aux infractions liées aux crimes de guerre et violations de divers droits humains par les hommes en armes, particulièrement durant ces deux dernières décennies.

Cependant, à titre d’exemple, la loi dans son article 240 sanctionne au Point 9 : « le fait pour l‘officier ou sous-officier de présider ou d’être membre d’une association sportive civile ou autre association à caractère politique ou tribal ». Le cas du général Gabriel Amisi dit « Tango Four », l’ancien chef d’état-major de l’armée de terre continue à exercer cumulativement ses fonctions de président des clubs de football Maniema Union et AS Vita Club de Kinshasa, tout en étant repris dans le cadre organique des FARDC.

On peut également noter le point 10 de ladite loi qui sanctionne : « le fait de piller et/ou de se mutiner». Ce point constitue une base de légale d’une grande importance pour traiter le cas le cas des mutins du M23 et d’autres rébellions qui écument à l’est de la RDC. A la place, le régime Kabila, a choisi la voie de l’impunité en amnistiant principalement les ex-combattants et cadres du M23.

DESC est convaincue que la cohésion nationale ne peut se faire dans l’impunité. Il n’ y aura pas de véritable réconciliation en RDC sans justice. Aussi, DESC soutient l’initiative de l’ONU de voir une enquête judiciaire indépendante et crédible être diligentée contre tous les soupçons de crimes imputés à Gabriel Amisi. A l’instar l’enquête concernant l’assassinat odieux du Colonel Mamadou Ndala, rangée dans les tiroirs, DESC se dit prédisposée à offrir son expertise et ses services pour permettre à la justice de mener une enquête indépendante, en signe de respect des victimes présumées des forfaitures imputées à Amisi Tango Four.

La réhabilitation sans aucune autre forme de procès de Gabriel Amisi, le boucher de l’est du Congo, par Kabila et sa nomination comme commandant de la 1ère zone de défense est un mauvais signal donné par Kabila qui au lieu de privilégier la cohésion nationale également au niveau de l’armée où certaines frustrations et plaies du passé ne sont loin de se cicatriser. Le président congolais opte plutôt pour une cohésion négative autour de sapersonne dans le cadre d’une éventuelle perspective apocalyptique de sa fin de mandat en 2016. Pour y arriver, il ne peut que compter sur la cinquième colonne rwandaise infiltrée dans les services de sécurité congolais et quelques naïfs katangais de service de la GR, ANR et Démiap auxquels se joignent des « intellos » antipatriotiques, du ventre creux comme Boshab, Kin Kiey, Mende, Minaku, etc.
[03-10-14 18:14:24] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: LA PAROLE DE CHARLES BLE GOUDE SUIVEZ CA SVP http://www.youtube.com/watch?list=UU183T5VoMh5wISSdKPaMgRw&v=2GzgaBqV9hU&feature=player_embedded

L’armée congolaise…


L’armée congolaise retourne au mobutisme.

Les mêmes causes produisant les mêmes effets, toute chose restant égal par ailleurs, que pouvons-nous entrevoir pour les 20 aux 30 prochaines années ?

https://www.facebook.com/photo.php?v=653349221348311&set=vb.223027697715152&type=2&theater

Alexandre le Grand…


Des vathunga

Je ne connaissais pas cette histoire d’Alexandre Le Grand

SVP: Prenez le temps de lire jusqu’à la fin

Les dernières volontés d’Alexandre Le Grand

C’est très beau et profond!

« Le temps »

est le trésor le plus précieux que nous ayons…

Les dernières volontés d’Alexandre Le Grand
Sur le point de mourir, Alexandre convoqua ses généraux

et leur communiqua ses dernières volontés, ses trois ultimes exigences :
1 – Que son cercueil soit transporté à bras d’homme

par les meilleurs médecins de l’époque.
2 – Que les trésors qu’il avait acquis (argent, or, pierres précieuses… ),

soient dispersés tout le long du chemin jusqu’à sa tombe, et…
3 – Que ses mains restent à l’air libre se balançant en dehors du cercueil à la vue de tous.
L’un de ses généraux, étonné de ces requêtes insolites,

demanda à Alexandre quelles en étaient les raisons?
Alexandre lui expliqua alors ce qui suit :
1 – Je veux que les médecins les plus éminents transportent eux-mêmes mon cercueil pour démontrer ainsi que face à la mort, ils n’ont pas le pouvoir de guérir…
2 – Je veux que le sol soit recouvert de mes trésors pour que tous puissent voir que les biens matériels ici acquis, restent ici-bas…
3 – Je veux que mes mains se balancent au vent, pour que les gens puissent voir que, les mains vides, nous arrivons dans ce monde et, les mains vides, nous en repartons quand s’épuise pour nous le trésor le plus précieux de tous :
le temps…
En mourant, nous n’emportons aucun bien matériel avec nous;

bien que les bonnes actions, je pense,

soient une espèce de chèques de voyage.
« LE TEMPS » est le trésor le plus précieux que nous ayons parce qu’il est Limité.
Nous pouvons produire plus d’argent, mais pas plus de temps.
Quand nous consacrons du temps à quelqu’un,

nous lui accordons une portion de notre vie que nous ne pourrons jamais récupérer, notre temps est notre vie.
LE MEILLEUR CADEAU

que tu puisses donner à quelqu’un est ton TEMPS et

accorde-le TOUJOURS à la FAMILLE, au CONJOINT ou à des BONS AMIS.

S’il te plaît, passe ce message. Ne le retiens pas, partage-le !
Sache que tu es même déjà béni pour l’avoir lu jusqu’au bout.

Excellente journée

La tête de Tshibangu mise à prix…


De Skype (La radio du Projet 2014)


[11/09/2012 18:46:46] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: WANTED TSHIBANGU
Contrairement à Sultani Makenga que les FARDC et la PNC voire l’ANR sont dans l’incapacité de le metttre hors d’état de nuire, la tête de TSHIBANGU est mise à prix.  Sa présence est signalée partout dans la province du Kasaï Oriental.
Le choix de cette province n’est pas anodin.  Il faut intimider la population de cette province pour les prochaines élections hypothétiques locales et provinciales.
Ceux qui sont aux trousses du fugitif ne sont autres que l’unité composée uniquement des militaires Rwandophones mutée dernièrement à Kananga.  Les soldats congolais n’hésitent pas à déserter pour prendre une destination inconnue avec armes et équipements.Tout le monde se méfie de tout le monde.  Certains militaires sont en route vers le Maniema pour rejoindre le M23 dans le Nord Kivu.
Une grande ville risque de tomber…

Faut-il en conclure que les congolais, les kasaïens en particulier, aient décidé de lacher John Tshibangu qui pourtant décrète une lutte armée contre l’imposture qui nous subjugue tous ?  S’il en était ainsi, quelle leçon devrions-nous en tirer et plus précisément, comment ?

Est-ce là une autre preuve que nous ayons raison de prôner la lutte politique ?  Nous avons proposé “15 jours pour débouter l’imposture” ; personne ne nous a suivi.  Nous proposons encore “5 dollars par tête d’habitant” pour motiver notre armée à plus de civisme et de civilité : là aussi, d’aucuns font semblant de ne nous avoir pas entendu.

Pendant ce temps, l’imposture continue son ravage dans le pays comme dans la diaspora !

Un non-évènement dans le Nord-Kivu ?


D’un contact, par messagerie électronique.

Entre crochets : nos ajouts, corrections ou commentaires.

Tembos Yotama a publié dans AUJOURD’HUI ou JAMAIS
Tembos Yotama

3 septembre 12:59

BULLETIN D’INFORMATION SOCIETE CIVILE N-KIVU, 2 septembre 2012
Territoire de RUTSHURU : RETRAIT DE DEUX BATAILLONS RWANDAIS : UN NON-EVENEMENT
Depuis ce week-end, la nouvelle faisant état du retrait de deux bataillons Rwandais du Territoire de RUTSHURU a gagné de l’ampleur. Ce soi-disant retrait est un non-événement pour la Société Civile du Nord Kivu, d’autant plus qu’on est habitué à ce genre de jeu qui vise à endormir debout et détourner l’attention de naïfs.
Au stade actuel, aucun Congolais ne sait en réalité combien de militaires Rwandais étaient entrés lors des opérations dites conjointes (RDC-RWANDA), menées contre les FDLR. Personne ne sait non plus combien de militaires Rwandais sont rentrés chez-eux après ces opérations qui ont permis à nombreux d’entre eux à s’infiltrer dans l’armée régulière Congolaise(FARDC) à travers les troupes du CNDP, aujourd’hui M23.
Si officiellement, on pouvait entendre qu’il restait deux bataillons à KATIGURU, KISEGURU et KAHUNGA (dans les Groupements BINZA et BUKOMA, en Chefferie de BWISHA), les habitants de RUTSHURU affirmaient que ces militaires étaient si [plus] nombreux qu’on [ne] les présentait. La population locale estimait à plus d’une brigade (soit plus de 3 bataillons) ces militaires Rwandais.
Et, vous avez encore en mémoire, notre Structure dans son Bulletin d’information du 30 juin 12, avait relayé l’inquiétude des populations qui dénonçaient la présence d’une brigade Rwandaise à KATIGURU (à 17 km, sur l’axe KIWANJA-ISHASHA) et KAHUNGA (à 4km, sur axe KIWANJA-RWINDI). L’un des bataillons de cette brigade s’était installé la nuit du 26 juin à KASIKI (Groupement TAMA, Chefferie de BAMATE, à 7km-ouest de LUOFU, entre LUOFU et BUNYATENGE), en [dans le] Territoire voisin de LUBERO.
La présence de ces hommes de troupes habillés en treillis-FARDC avait paniqué la population de cette entité, quand on savait que ceux qui faisaient défection au sein des FARDC pour le M23 allaient se cacher en ce lieu. On ne sait pas exactement quand ces troupes s’étaient retirées de cet endroit, car elles n’y sont plus maintenant. Aussi, on n’a jamais appris qu’elles s’étaient battues avec les FDLR ou les Alliés du M23 qui étaient dans les parages.
C’est pourquoi, nous ne seront jamais dupe de [pour] croire qu’il y a un quelconque retrait, si ce n’est qu’une délocalisation. Qui pourra vérifier si ces troupes ont franchi la frontière, pendant que nul n’ignore que ce Territoire et [est] sous [le] contrôle du M23 ? Le M23, en quête d’hommes de troupe pour étendre son contrôle peut-il se dépouiller de ses éléments ? Il faut être réellement naïf pour réfléchir de cette façon car, il n’y a pas [de] M23 sans troupes rwandaises. Si l’on ne fait pas attention, ce sont ces troupes en délocalisation qui pourront faire tomber GOMA.
La Société Civile du Nord Kivu fustige [avec quel objectif et quel résultat] l’attitude du Conseil de Sécurité des Nations Unies qui continue à dorloter le Rwanda [pour quelle raison ?]. Elle est déçue de voir qu’au lieu de prendre des sanctions contre cet Etat, il se limite à lui demander de cesser son soutien au M23, comme si c’est pour la première fois qu’on le lui dit. Le Dialogue ayant montré ses limites, point n’est besoin de continuer à le brandir comme voie pour trouver solution à la crise actuelle. Il n’y a plus d’intérêt à continuer à dialoguer avec les agresseurs à l’instar du Rwanda [que fait cette société civile en lieu de mieux que ce que fait le Conseil de Sécurité ?].
En 1994, les Nations Unies s’étaient abstenues d’empêcher le génocide et, aujourd’hui elles sont entrain de retomber dans les mêmes erreurs du passé [était-ce une erreur ou un fait voulu par cette institution ?] ; il ne faut pas qu’elles le regrettent plus tard [que pourrait regretter le Conseil de Sécurité ? Ces agents sont si bien payés et sont bien loin des zones de combat…]. De plus à [en] plus, on [qui que nous ne connaissions pas ?] est entrain d’inciter la population à se prendre en charge [par quelle nouvelle manière qui donne du succès cette fois-ci, contrairement à ce qui s’est passé dans quelques années derrière nous ?]. Il n’y a pas de plus dangereux que ça.
Maître OMAR KAVOTA, Vice-président et Porte-parole de la Société Civile Nord Kivu ; callto:+243993535353 ; callto:+243810757511.

Soldats congolais motivés…


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Chers frères,
Vous recherchez l’impérium, mieux la libération de la RDC du néocolonialisme, de l’imposture et de la trahison ?
Voici notre nouvelle proposition que nous améliorons au jour le jour, tenant compte de vos observations !
Pour 1,50 à 3 euros/mois/patriote, nous payons 100 à 200 euros/mois/soldat.  Il seraient 115 000 soldats, d’après les données en notre possession.  Si vous le voulez bien, nous pouvons aussi intégrer la police au projet.
Nous émettons l’hypothèse que 10% des 72 000 000 congolais que nous sommes se décident à consacrer un minimum de 1,5 euros à ce projet pour garantir cette prime minimale de 100 euros/mois/soldat.
Ce projet ne peut pas souffrir d’arnaque que nous connaissons aux autres projet.  Les participations seront récoltées sur des comptes gérés par des tiers (ONG, ASBL, églises) qui travaillerons bénévolement.  Les soldes des comptes seront publiés sur Net en temps réel.  Les paiements ne pourront démarrer que quand nous aurons testé la fiabilité des canaux choisis pour la liquidation des primes.
Il ne nous reste plus qu’à étudier les modalités de liquidation de ces primes aux bénéficiaires.  Vos contributions sont attendues à l’une des nos coordonnées disponibles ici.
Agissez et voyons si Dieu ne sera pas avec nous.

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