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Ça ne passera plus !


Si nous le voulons, non seulement le mensonge ne passera plus ; mais les patriotes prendront le contrôle de la situation progressivement.

Qui veut mentir à soi-même et pourquoi ?

[9/17, 23:23] KAMBALE (FUT): Depuis Washington, l’Autorité de tutelle de la CNSSAP, Son Excellence Monsieur Jean-Pierre Lihau Ebua, Vice-Premier Ministre, Ministre de la Fonction publique, Modernisation de l’Administration et Innovation du Service Public, a présenté avec clarté et assurance la vision congolaise du leadership réformateur, à l’occasion du Forum des coalitions pour les réformes organisé par la Banque mondiale.

Son intervention remarquée a mis en lumière le modèle congolais de transformation de l’Administration Publique, voulue par le Président de la République, Chef de l’État, Son Excellence Monsieur Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo . Ce modèle est non seulement applaudi par les congolais mais désormais aussi cité en exemple sur la scène internationale.

Le Ministère de la Fonction publique apparaît aujourd’hui comme le miroir de l’action gouvernementale, pilotée par Madame la Première ministre, Cheffe du Gouvernement, Son Excellence Madame Judith Suminwa Tuluka, plaçant la gouvernance, la transparence et l’efficacité au service du peuple.
Le Vice Premier Ministre confirme ainsi son rôle de bâtisseur d’un nouvel ordre administratif au service des agents publics de l’État.


[9/18, 08:33] GPAU.

NE LAISSONS PLUS PASSER LE MENSONGE !

Quelles sont ces réformes salutaires ?

  • La CENI demeure.
  • L’état de siège aussi.
  • Les cartes d’électeurs continuent.
  • Le Président fait le ministre de tutelle de tout ?
  • les 40/60 des impôts continuent à quitter nos provinces.
  • La tension salariale de 21.000/60 continue.
  • Les provinces demeurent infondées par Kinshasa.
  • L’Est reste cédé aux rebelles
  • Etc.
    Où est la modernisation de l’administration ?
  • La téléphonie est étrangère.
  • Les banques sont étrangères ?
  • Nos minerais sont traités à l’étranger : encore et toujours.
  • La médecine nationale est réduite à la superstition et n’a plus d’infrastructures soutenables.
  • Nos certificats et nos diplômes ne valent plus rien du tout.
  • Nos routes sont presque toutes impraticables ou envahies par la brousse ou les forêts.
  • Nos produits agricoles sont conditionnés, transformés ou commercés par des étrangers.
  • Les banques sont des plus archaïques.
  • Nos écoles sont toutes délabrée ou abandonnées.
  • La quasi totalité de nos travailleurs sont sans qualifications.
  • Le chômage bat les records dans toutes nos localités.

Il nous faut fonder un Congo nouveau, si nous voulons subsister en tant que nation.

Balkanisation : seule voie du salut !


[9/17, 12:55] GPAU

Voici ce que je produis, mais que je n’ai pas encore terminé.
Que me conseille-tu ?
L’origine coloniale de nos états est un problème.
Ce problème est soluble.
Il faut de l’amour, du courage, de l’intelligence, de la franchise pour y parvenir.
Serrons nos coudes !

[9/17, 15:09] D. Y.

Il faut faire de la RDC un Etat fédéré comme les USA. Le problème sera résolu !

[9/17, 22:03] GPAU

C’est ce que je propose aux Congolais depuis 1999.
La majorité écrasante n’en veut pas. Elle craint que cela ne conduise à l’éclatement du pays. Or, les Congolais, ne veulent pas de la balkanisation du pays. Ils désirent vivre en des parasites, les plus forts au dépens des plus faibles.
C’est pour cela que certains nilotiques proposent la séparation des nilotiques d’avec les bantous pour éviter des querelles inutiles.

[9/18, 06:39] D. Y.

C’est la seule voie du salut pour les pays du continent africain !

Trop tard…


[9/7, 09:53] Asbl Échanges Avec Extérieur: Nous l’avions dit, dès le départ, informés d’une source autorisée que le pouvoir se souillait encore plus en collaborant avec les Wazalendo.
Mai tenant qu’ils ont tué arbitrairement, ensemble, pourquoi se séparent-ils ?
[9/7, 09:53] Asbl Échanges Avec Extérieur: Le terme « mariage » entre les FARDC (Forces armées de la République démocratique du Congo) et les Wazalendo (groupes d’autodéfense populaires) est utilisé de manière symbolique pour désigner leur collaboration militaire sur le terrain, notamment dans l’Est de la RDC face aux groupes armés comme le M23.

Ce rapprochement s’est intensifié en 2025, avec des opérations conjointes marquantes comme la reconquête de Masisi-centre et Ngungu dans le Nord-Kivu. Le député Willy Mishiki a même déclaré : « C’est un succès. Comme pour dire que lorsqu’il y a mariage entre les FARDC et les Wazalendo, on peut récupérer tous les territoires conquis ».

Donc, ce « mariage » n’est pas un événement ponctuel, mais plutôt une alliance stratégique qui s’est consolidée au fil des combats, notamment dans le courant de l’année 2025. Si tu veux qu’on explore les implications politiques ou sociales de cette alliance, je suis partant.

Bilan du Projet 2014 – 26 ans après son lancement



Constat général

Notre constat, 26 ans après le lancement du Projet 2014, est amer.

Statistiques parlantes

  1. Ministres engagés : 1/53 (1,89 %) au lieu de 50 % visés.  Réalisation : 3,78%.
  2. Rédaction du projet : 1 (0,03%) seule personne impliquée, au lieu de 3000.
  3. Effectifs du groupe : 17 membres (0,57 %), alors qu’un minimum de 3000 était visé.
  4. Terrain : moins de 7 manifestations d’intérêt (0 %) sur les 2.500.000 adhésions attendues à Kongo ya Sika.

Conclusion principale

Le projet est impopulaire ou très mal géré.

Analyse des causes

1. Facteurs structurels

  • Participation trop exigeante : 50 pages par trimestre rebutent depuis le début. Cet entêtement a conduit au rejet.  Nous n’attendons brader le projet !
  • Départ massif : 37 personnes (68,52 %) ont quitté le groupe WhatsApp, ne laissant que 17 membres. La reproche majeure : un niveau intellectuel jugé trop élevé. Sans un graduat, il est difficile d’évoluer confortablement.  Il y vas de la qualité du produit convoité.
  • Sujets inadaptés : les thèmes abordés s’éloignent des centres d’intérêt habituels des Congolais (football, commérages, faits sociaux, danse, sexe, détente).  Le développement intégral du Congo que nous proposons, ne peut avoir lieu sans éloigner les distractions.

2. Facteurs socioculturels

  • Le pays reste marqué par le communautarisme, le paternalisme et le paganisme.  Un travail reste à abattre pour, démocratiquement, obtenir un changement des mentalité.
  • Le projet est proposé comme chrétien, capitaliste et démocratique, ce qui ne correspond pas encore à l’environnement local.  La patience paiera.
  • Le poids de la tribu et du clientélisme domine encore sur la logique du développement par projets écrits.

3. Facteurs organisationnels

  • Leadership : l’intransigeance et la rigidité du géniteur et gestionnaire, perçues comme un manque de souplesse et d’ouverture, sont vues comme une dictature inacceptable.  Le respect du choix des Congolais est important ; mais il ne nous convaint pas encore de l’erreur.  Les faits, sur terrain, nous donnent plutôt raison.
  • Budget communication : seulement 200 €/mois (0,12 % du nécessaire), alors qu’il faudrait environ 170.000 € pour prouver la valeur du projet par des actions concrètes et rentables.  Nous travaillons à créer de nouvelles sources de ressources.
  • Visibilité médiatique : présence très faible sur les réseaux sociaux (6000 membres, soit 0,24 % au lieu des 2.500.000 attendus).  Tout est mis en œuvre pour renforcer notre présence dans les réseaux sociaux.

Gratuité ou précipice infernale ?


Depuis bien avant 1960, nos politiques ont multiplié les promesses creuses. La démagogie est devenue la pratique politique de l’écrasante majorité. Parmi elles, la fameuse “gratuité de l’enseignement”, qui n’existe pas dans les faits. Car dans un pays pour peu organisé, rien n’est gratuit.

L’éducation a toujours un prix

Tout service public a un coût. La question est de savoir qui le paie:

Dans un système communiste, c’est la collectivité qui assume les frais. Mais la collecte et la redistribution entraînent gaspillage, lenteurs et enrichissement d’une minorité de potentats.
Dans un système capitaliste, ce sont les parents ou les apprenants qui financent directement l’enseignement. Cela limite les détournements institutionnels, et clarifie la responsabilité des famille.

Dans les deux cas, ce sont toujours les citoyens qui paient, directement ou indirectement. La gratuité n’est qu’un mot trompeur.

La situation en RDC aujourd’hui

La République est aujourd’hui divisée de fait entre deux régimes : Kinshasa et l’AFC/M23.

Kinshasa annoncerait ne pas payer pas pour les territoires contrôlés par le M23.
L’avenir du pays dépendra de la capacité de chacun de ces régimes à convaincre le peuple. Par une meilleure organisation du financement de l’éducation ou de l’enseignement en l’occurence. Non seulement de l’éducation seulement, mais tous les projets étatiques.

Si l’AFC/M23 parvient à mettre en place une gouvernance plus efficace, elle pourrait séduire une partie des Congolais. Elle pourrait alors peser aux élections de 2028 ou dans les changements à survenir dans les prochains mois. Mais déjà, des voix du terrain évoquent déceptions, tracasseries, insécurité croissante et pillage des ressources. Avec, hélas, l’ombre du Rwanda en arrière-plan, selon les détracteurs. Nous, personnellement, avions prévenu Nangaa de son erreur. S’appuyer sur des étrangers pour résoudre un problème national !

Face à cela, les altercations entre Wazalendo et FARDC rappellent que le peuple cherche désespérément une force en qui croire.

Un choix décisif pour l’avenir

L’enjeu est clair. Qui de Kinshasa ou de Goma saura convaincre les Congolais de son amour véritable pour le pays ?

Si ni l’un ni l’autre ne le prouve, c’est toute la nation qui sera perdante. Et alors, elle regrettera de n’avoir pas rejoint le Projet 2014 que nous lui proposons depuis décembre 1999. Notre proposition est pourtant claire et simple. La République contient le germe de la dictature. Elle n’apportera ni la paix ni le développement dans notre pays qui est d’origine coloniale et fortement multiculturel. C’est une union, libre, d’États indépendants qu’il nous faut. Ici et maintenant, si nous voulons arrêter les guerres fratricides et le banditisme politique au Congo. Le peuple congolais n’a donc plus le droit de se laisser endormir par des discours vides.

Conclusion : restons vigilants et soyons proactifs !

La RDC a trop souffert des promesses non tenues, des fausses gratuités et de la corruption endémique. Le temps est venu pour les Congolais d’ouvrir les yeux, d’exiger des comptes et de se méfier des slogans.

En fin de compte, les hommes nous déçoivent, qu’ils soient de Kinshasa ou de Goma. Seule la vigilance agissante du peuple, et pour certains l’invocation de l’intervention de Dieu peuvent aider. Il peut alors être possible d’empêcher que la nation continue à sombrer dans l’abîme.

Une action communautaire capitaliste


🌍 Pour un Congo qui se prend en main : appel à l’action communautaire

Nous, Congolais, devons créer des pools de développement entièrement gérés par nous-mêmes. Cette démarche nous permettra d’identifier rapidement, complètement et démocratiquement nos besoins nationaux. Nous pourrons définir ensemble nos objectifs de développement et de mobiliser nos ressources localement, en priorité.

Ce modèle nous apprendra à financer nos propres projets. Nous travaillerons collectivement, nous sortirons du cycle des aides illusoires et du parasitisme. Il ouvrira la voie à une fierté nationale. Il est la voie vers la responsabilité citoyenne, la dignité du Congolais et le respect mutuel. C’est ainsi que nous atteindrons une véritable indépendance et un enrichissement durable du pays.


🛑 Fin des divisions, des dictatures et de l’insécurité

Ce système participatif réduira les divisions internes et les formes de dictature. Il résoudra de nombreux conflits en éliminant l’oisiveté, la paresse, le parasitisme et la jalousie. La connaissance, la compétence et la discipline progresseront, et l’insécurité reculera — sans violence, sans effusion de sang. Les bandits n’auront plus de place dans un pays qui travaille, et iront chercher refuge ailleurs.


🏘 Exemple concret : bâtir ensemble, village par village

Prenons un exemple simple. Dans un village, les jeunes peuvent s’unir pour transformer leurs maisons. Passer du bois et du chaume aux habitations durables en briques, pierres, tôles ou tuiles. La diaspora pourrait soutenir cette initiative en finançant les premières briqueteuses manuelles. Et, en même temps, le pourvoi en matériaux de base. Dans une démarche de troc de services contre des équipements ou des expertises.

Ce concept est actuellement testé dans notre terroir du Kibali-Ituri. S’il est adopté localement, nous croyons fermement que son impact deviendra rapidement national et continental.


📢 Le défi : financer la communication et la formation

Le principal obstacle reste le manque de financement pour la communication, la formation des acteurs et le suivi des projets. Les animateurs locaux font un travail admirable, mais insuffisant face à l’ampleur des besoins. Cela explique la persistance de l’insécurité, l’essoufflement de l’administration et la chute dramatique du niveau d’éducation. L’État ne peut pas remplacer un peuple qui semble avoir démissionné.


👨‍👩‍👧‍👦 Les familles : piliers du Congo nouveau

Nos populations passent trop de temps dans les fêtes, les deuils, les prières, les distractions. Trop de parents nourrissent des adultes sans emploi, pendant que des enfants désertent l’école et alimentent le banditisme et l’insécurité.

C’est pourquoi les familles doivent être les premières à s’impliquer dans la fondation d’un Congo nouveau. Dans ce Congo :

  • Les moins de 25 ans doivent être aux études, pas dans les rues.
  • Les plus de 24 ans doivent être au travail, pas à la maison.
  • Les travailleurs doivent mériter et exiger leurs salaires, et refuser toute forme d’esclavage moderne.

🚀 Vers un sursaut du Kibali-Ituri, du Congo et de l’Afrique subsaharienne

À ces conditions, nous croyons que le Kibali-Ituri, le Congo et toute l’Afrique subsaharienne feront un bond en avant. Car aujourd’hui, nous traînons, nous retardons le monde. Il est temps de changer cela — par nous, pour nous, avec nous.

Supprimons ces prisons coloniales !


Un appel à une révision de notre loi fondamentale au relent colonial.

Notre réaction à la livraison de MMK, nous donne l’occasion de revenir à notre justice.

[8/28, 20:44] MMK

Le Réseau pour les droits de l’homme tire la sonnette d’alarme sur la situation catastrophique dans les prisons de Beni, Butembo et Lubero, au Nord-Kivu. Il signale un manque criant de nourriture et de médicaments, entraînant des cas sévères de malnutrition et une augmentation des maladies au sein des détenus, causant plusieurs décès.

[9/1, 09:05] GPAU

Chers frères,

Nous plaidons pour un Congo sans prisons, pour la restauration de la justice par le travail et la rééducation

Dans le cadre du Projet 2014, nous proposons une transformation radicale du système pénal congolais : la fermeture de toutes les prisons.

Nos sociétés traditionnelles ont longtemps fonctionné sans prisons — et souvent mieux — que sous ces dispositifs barbares, importés par la colonisation. La prison, loin d’être un outil de justice, est devenue un fardeau économique et moral pour l’État, une machine à reproduire l’injustice.

Un individu qui nuit à la société ne devrait pas être entretenu aux frais de celle-ci. Il doit être rééduqué, responsabilisé, et mis au travail — non pas pour être puni, mais pour subvenir à ses propres besoins et réparer, autant que possible, les torts causés.

Cette approche exige une réforme juridique et démocratique urgente. Il est temps de cesser de dilapider les ressources publiques dans un système carcéral inefficace et inadapté à nos réalités.

Notre proposition n’a pas encore trouvé un écho favorable. Pourtant, nous restons convaincus qu’un Congo sans prisons, fondé sur la réhabilitation, le travail et les valeurs ancestrales, est non seulement possible, mais souhaitable. Ce modèle serait plus juste, plus humain, et plus en phase avec notre identité profonde — celle que les colonisateurs et néo-colonisateurs ont tenté d’effacer.

Ituri : Débout !



Ituri, débout pour sa dignité !
Nous sommes déjà le 30/08/2025 : mais nous dormons encore et toujours !

La paix ne se décrète pas. Elle se construit, elle se protège, elle se défend. Et surtout, elle se mérite.

Aujourd’hui, nous saluons l’appel courageux de Pacifique Ukok, qui nous rappelle que la paix est un choix quotidien. Mais ce choix ne peut être complet sans vérité. Car en Ituri, la vérité est que nos divisions internes ont ouvert la porte à des puissances étrangères qui ne viennent pas en amis.

Les guerres fratricides entre Bales, Alurs, Hemas et autres peuples frères ont fragilisé notre terre. Elles ont permis à des forces extérieures — Ougandaises, islamistes, et autres colonisateurs déguisés — de s’infiltrer, de piller nos ressources, de corrompre nos mœurs, et d’installer un chaos qui ne sert que leurs intérêts.

Ce n’est plus seulement le conflit Hema-Lendu. Ce sont les colonisations silencieuses des Buisha, des Luba, des Tutsi, et l’importation d’un islamisme sectaire qui menace notre identité chrétienne et notre cohésion sociale.

Et que dire de Kinshasa ? Ceux qui y trônent n’ont ni le souci ni la volonté de faire avancer l’Ituri. Ils ont prouvé, par leur silence et leur cupidité, que leur regard sur notre province est celui du prédateur, non du protecteur.

Alors oui, nous soutenons Ukok. Mais nous disons aussi : la paix ne viendra pas sans lucidité. Elle ne viendra pas sans dénonciation. Elle ne viendra pas sans rejet clair de toute manipulation, qu’elle soit tribale, religieuse ou politique.

Ituri doit se réveiller. Ituri doit s’unir. Ituri doit se défendre.

Comme le disait John Tinanzabo : « Ituri c’est mon père, Ituri c’est ma mère. »
Et nous ne laisserons plus personne profaner notre maison.

La paix commence par la vérité. Et la vérité commence ici, maintenant, avec toi et moi.

Laisse ton point de vue, mais surtout, agis avec ceux qui aiment réellement l’Ituri, qui expose leurs vies pour cette province, potentiellement riche, mais proie des méchantsinternes et externes.


Le Kibali-Ituri se fourvoie, Dieu reste Dieu !


Mon fils,

Ta culture te fait toujours voir la complexité même là où tout est simple, limpide et clair comme de l’eau de roche !

À moins que tu veuilles nous trahir encore et toujours, comme la majorité d’entre nous ici, qui accompagne Tshisekedi et sa cohorte…

Je vous ai toujours dit ici, ouvertement, preuve à l’appui, que rien de bon ne sortira de Kinshasa, moi qui suis aussi Kinois. J’ai clairement montrer que Trump, comme chrétien, venait de nous trahir gravement, nous chrétiens congolais et de vous promettre que Dieu ne soit pas distrait devant cette allégeance à notre ennemi commun : Satan ! Cela n’a ému qu’une seule personne – Kabuyaya – dans ce groupe de 88 membres, fils de notre Kibali-Ituri qui continue à être saigné jusqu’à l’agonie, trahi par ses propres fils, instruits, mais protitués, à la suite de Babylonne la Grande !

Tant que le Congo aura toujours la CENI, la MONUSCO, l’état de siège, et la République, nous sommes désormais persuadé que la paix ne sera pas possible dans notre pays qui continuera à vivre dans l’ignominie, la désolation et d’autres rebelles s’ajouteront à ceux que vous croyez être obligés d’envoyer à l’échafaud.

Si je parle de la parle de la part de Dieu, cette parole s’accomplira, avec vos acvords de Washington et de Doha.

Kibali-Ituriens, est-ce vous qui avez créé Dieu ?

Est-ce le futur président de la RDC ?


Il tanse déjà le cameraman ?