RDC, AVONS-NOUS ENCORE UN PRÉSIDENT ?
Je suis obligé de me transformer pour ne pas assister bras croisés à ce spectacle déshumanisant et dégradant des faux leaders tous des vautours obsédés de l’enrichissement et le pouvoir.
Né dans un tableau étourdissant de la joie, la mélancolie, la haine, la mégalomanie dans un pays qui venait de soi-disant se libérer de la colonisation holocauste de roi Léopold II.
Né dans pays où les journalistes ne sont pas des messages mais des agents de la promotion des hommes sadiquement arrogants dans le quel la jeunesse et la femme croupissent sans dignités.
Quel genre des peuple sommes-nous sans la résistance d’honneur pour nos descendant ?
Tandis que nous vivons dans l’incertitude, la solitude, la mort, la violence et le pouvoir sont omniprésents.
Cette nation pleine de la mélancolie dans l’envie de vivre dans le stresse et l’incompréhension a fait de nous, un peuple sans rêve soumit à la fatalité dans l’indignation aux jeux d’un monde indifférant de la souffrance de mon peuple.
Les années de la souffrance d’un peuple finissent par être banaliser par nous même et les voisins qui en ajoutent l’humiliation comme si notre grandeur était effacée.
Cette décadence de mon pays où quelques familles se sont octroyé les droits de décider à la place d’une population aux abois qui ignore tout.
Mais à quand les illustres pionniers aux prises avec l’histoire cruelle et dérisoire qui nous ont presque aveuglé par les billes (dollars) maudites de banques dans cette république tellement invraisemblables qu’elle nous paraisse encore en marge de l’Histoire.
Le Congo est ce théâtre géant où les mythes engendrent les hommes qui à leur tour engendrent les mythes sans réalité qui devient l’héro avec sans fabuleuse genèse.
Un soi-disant leader besogneux est chargé par des individus louches de réécrire la biographie et l’histoire d’un Congo meurtrie.
La tâche s’annonce d’autant plus ardue que ce dernier autoproclamé de l’existentialisme sartrien dans un Congo en sanglant.
Préférant exercer dans le tourisme et les cabarets d’un mausolée ainsi que des petits travaux d’embellissements sans se concentre sur l’insécurité grandissante et l’inflation galopante.
À mesure que les jours passent et progresse dans sa mission, on retrace le parcours tortueux de cet épigone Congolais, des nombreuses questions ne font pas le jour quant aux motivations profondes de ses commanditaires et aux circonstances de sa désignation…
L’histoire de nos dynasties oubliées au profit des aventuriers de tous bords, nos fléaux et nos guerres, nos destructions ainsi que l’apocalypse invisible par nous Congolais.
Nous devons être les derniers de notre lignée de personnages apparaissent indissolublement complices, à cause de faits réels auxquels personne ne croit plus mais qui affecte notre vie à la dérive d’un monde révolu dont ne subsiste que la nostalgie.
Signé :
Sa Majesté Dieudonné AGOUMOUSSE DEMANDHE W.K.Z.S.T.NTAMBWA.N.
L’homme de la providence pour un Congo nouveau.