Nos peuples, nos populations construisent des villes, des cités, des localités, dans des esclavagismes, des colonisations, des dictatures sans non, abjectes. L’État s’en accapare, les pille pour enrichir des seigneurs, des bandits politiques ; les spolie, les abandonne à leurs tristes sorts après les avoir vampirisées.
Pour mettre fin à cet esclavagisme, ce néocolonialisme, congolais, il nous faut exiger, travailler, dans l’unité et l’humanisme pour :
- La codification, l’application et le respect des seuls droits coutumiers locaux sur toute l’étendue du pays.
- La simplification progressive de la division territoriale : pays, royaumes ou empires, ethnies, tribus, clans, patriarchies, familles.
- Le renforcement de l’armée qui devra utiliser les langues d’unité des congolais (français, anglais ou portugais) et les langues locales (vernacualaires ou tribales).