Ebola : fausse ou vraie épidemie ?


[16/10, 20:09] ‪+243 821 366 666‬: https://journaldesnations.net/leila-zerrougui-la-problematique-de-lebola-devient-une-contrainte-pour-la-securisation-de-beni/
[17/10, 10:38] Paluku-Atoka Uwekomu: Des informations nous parviennent que la maladie n’existe pas dans Beni !
Que les morts que l’on nous montre sont des personnes empoisonnées par le régime qui organise la terreur pour faire la région par les autochtones et libérer la place pour des étrangers que l’on voudrait voir occuper les lieu.
En l’absence d’experts congolais de la maladie et de la toxicologie, face à une faiblesse chronique de l’opposition, face à une communauté étrangère qui saigne la RDC à mort et qui ment comme un arracheur de dents, pendant un temps suffisamment long, 20 à 30 ans environ, nous ne connaîtrons pas toute la vérité sur ce qui se trame dans la RDC, héritage lumumbien de malédiction.
Le Projet 2014 attends mettre à disposition des documents qui nous permettent de nous faire une opinion éclairée sur ce qui se passe réellement dans ce pays que nous avons quitté déjà moribond en 1988, mais aussi et surtout des analyses qui aident les congolais patriotes à cesser, progressivement, à être des dupes.

Auteur : Graphèle Paluku Atoka Uwekomu

I am involved in the personal and holistic development of each of my fellow citizens; and in the community, national and global development in a democratic, Christian and capitalist way. Je suis impliqué dans le développement personnel et holistique de chacun de mes concitoyens ; et, dans le développement communautaire, national et global dans une vision démocratique, chrétienne et capitaliste. Ik ben betrokken bij de persoonlijke en holistische ontwikkeling van elk van mijn medeburgers; en in de gemeenschap, de nationale en mondiale ontwikkeling in een democratische, christelijke en kapitalistische visie.

Une réflexion sur « Ebola : fausse ou vraie épidemie ? »

  1. Dans ce contexte de suspicions que pouvons nous faire ?
    1. Conjurer la malédiction qui pèse sur notre peuple, en général, et sur notre population de Beni, en particulier.
    2. Arrêter définitivement l’idolâtrie qui nous maintient dans la condition d’esclaves, d’occupation.
    Comment cela se ferait-il ? Par qui ? Et pourquoi ?
    Ne pas vouloir répondre à ces questions est à nos yeux l’irresponsabilité dont la plupart d’entre nous se rendent coupable…

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