Wazalendo : un problème !


Les Wazalendo sont :

  1. des hypocrites = ils font semblant de découvrir maintenant seulement l’infiltration de notre armée, alors qu’ils la vi vent, la connaissent depuis 1960, mais ne voudraient pas reconnaître y avoir investi, eux aussi ;
  2. des paresseux = ils n’ont aucune structure de production en propre qui puisse nous permettre d’avoir les ressources nécessaires pour combattre victorieusement nos ennemis, s’il le fallait, mais sont prêts à demander que le peuple leur commande des armes d’auprès de nos ennemis ;
  3. des parasites = ils comptent sur notre population niaise et sur Kinshasa des traîtres pour financer leurs tueries ; ils rançonnent notre population de la même manière que les éléments de la FARDC, les terrorites islamistes, les rebelles et les bandits de grands chemins, qu’ils nous veulent confondre aux ADF, aux NALU, aux FDLR et autres rebelles que nous hébergeons ;
  4. des traîtres = qui voudraient se débarasser de ceux de nos patriotes qui se révoltent contre leurs injustices, leurs pillages de nos ressources, leurs incompétences managériales et militaires, leur superstitions retrogrades, leurs calomnies, leurs cruautés, leurs iniquités ;
  5. des méchants = qui n’ont que l’envie de tuer, lâchement, arbitrairement et sauvagement, ceux qui pensent autrement qu’eux, là où moult solutions humanistes, humaines, paisibles existent, mais sont laisser de côté.
  6. des distracteurs = ils ne nous aident pas à unir les Congolais autour d’une table, pour décider quoi faire des occupants illégaux de notre territoire, des pilleurs nationaux et étrangers de nos richesses ;
  7. des païens = sans respect pour Dieu

Nous devons tous nous séparer de tels hommes pour nous concentrer sur l’identification de nos patriotes capables de devenir pour nous de bons leaders : sages, intelligents, dévoués pour le Congo, adorant le Dieu créateur des cieux et de la terre, et non pas nos aïeux qui nous ont trahis et nos parents qui nous nous trahissent encore et toujours !

Son destin en main !


Allons de plus en plus à l’essentiel, à la quintessence des questions, pour produire des solutions vraies, utiles et pérennes à nos problèmes. Recherchons la vérité, la droiture, l’humanité dans nos démarches.

Pour résoudre correctement un problème, tel que celui que soulève la congolité, par exemple, il faut d’abord le bien poser, le bien analyser ensuite, et à la fin, le bien synthétiser ; dans une quête réelle de la paix, de la justice, de la fraternité, du progrès et d’humanité pour tous.

Cette question exemplative, ou cette problématique de la congolité, qui peut et qui doit les traiter en toute légitimité, pourquoi, comment, à quelle fin ?
Notre population est-elle suffisamment préparée, rendue capable de traiter une telle question, avec fruit pour la nation ? Pourquoi ? Cette population, pourquoi n’y arrive-t-elle pas depuis 1960 ?

Qui est congolais et ne l’est pas ? Qu’est-ce qu’être congolais ? Est-ce être né de père ou de mère congolais ? Est-ce aux tunisiens de nous apprendre qui nous sommes ? Pourquoi ? Est-ce être sur le territoire congolais ? Qu’est-ce qui fait que certains peuples dérangent, perturbent, violentent, déciment, angoissent d’autres peuples de notre territoire, qui, eux, subissent, souffrent, ou s’interrogent sur l’utilité de la congolité ?

Des milliers des questions sont à se poser, à traiter, avant de formuler une solution au problème lié à notre nationalité, qui soit efficace, pérenne, pertinente, humaine, originale.

Bon week-end à tous !

Préparons les nombreuses questions et trouvons leur des réponses efficaces, durables, raisonnables, intelligentes, autour d’une table démocratique ; et ne laissons pas des non congolais nous induire en erreur ou nous subjuguer à cause de notre paresse, de notre négligence, de nos turpitudes, nous qui nous disons être congolais !

Sinon, notre destin continuera à nous échapper de plus bel !