Assurance obsèques


Plusieurs familles sont frappées par le deuil.  C’est le moment que certains membres de ces communautés se rappellent qu’eux aussi soient mortels.  Tout cela, devant des cercueils.

Une assurance obsèques ne vous tue pas avant le temps !  C’est la pauvreté, en revanche.  Votre famille nucléaire,  votre patriarchie,  votre clan, votre tribu, votre ethnie, votre alliance, votre peuple, votre confédération, peuvent organiser, leurs assurances obsèques,  sans le concours de l’État.

Cette forme de solidarité permet, aussi, d’apprendre à fédérer les ressources de la communauté, pour combattre la pauvreté plus facilement, pour faire face aux dépenses occasionnée par une mort, sereinement, par une assurance obsèques.

Dans une nation moderne, civilisée,  l’assurance obsèques devrait devrait être obligatoire, dans tout ménage,  dans toute famille.  Au Congo, nous proposons une assurance globale obligatoire pour tous.  Elle devrait inclure la responsabilité civile, l’accident, la maladie, l’invalidité, la perte de revenue involontaire, l’incendie, les obsèques, les véhicules.

Aujourd’hui, il ne faut pas attendre Kinshasa pour organiser son assurance.  Dans le projet EAE ASBL, nous pouvons vous aider à organiser votre propre assurance.  Ce conseil est, totalement, gratuit pour vous.

La santé et le social en un !


[01/02 à 07:34] M. John Baptist Kavunga Mbusa

L’extrait du jeune actuel Premier Ministre Français


[01/02 à 11:41] G. Paluku Atoka Uwekomu

JB,
Que propose-tu pour l’accès aux soins pour tous en RDC ?
La manière d’organiser et de financer cet accès.

Nous proposons depuis belle lurette une solution globale, chrétienne, capitaliste, démocratique et humaniste. Je parie que l’UE et le Rwanda nous suivront avant les Congolais.

  1. L’obligation de travail pour tous, dès 25 ans.
  2. Un salaire minimum égale à au moins le minimum vital et un salaire maximal au plus égale à 5 fois le minimum vital.
  3. L’impôt au taux unique estimé à 57% sur tous les revenus.
  4. Une assurance accident, maladie, invalidité de base pour tous et à vie.

Cette solution résoud la question de la santé pour tous, charge tous les travailleurs de la même manière pour le financement.

C’est aussi une réponse à la question de l’injustice sociale et à celle de la pauvreté.

Une attaque…


Le chômage bat son plein dans notre pays. Mais en même temps, ceux qui sont au travail sont, pour la plupart, sous qualifiés ou sans qualification. C’est ainsi que nos corps de métiers, nos agriculteurs, nos éleveurs et nos pêcheurs sont souvent des personnes sans instructions conventionnelles, sans qualifications reconnues, sans une éducation validée ou validable par la collectivité. Notre compétitivité en souffre, en souffrira encore longtemps, dès lors que l’UDPS rate sa coche.

Au niveau local, notre devoir est d’analyser ce fléau sérieusement, pour pouvoir apporter des solutions idoines aux problèmes que le chômage pose à notre localité, à notre pays. Le parasitisme, l’exode rurale, la fuite de cerveaux, le haut taux de mortalité, le manque de compétitivité, l’esclavagisme, la colonisation, la promiscuité environnementale et familiale, la faim, la maladie, l’insécurité et le sombre avenir que cela fait présager sont autant de conséquences directes et ineluctables du chômage ; contre lequel le Projet 2014 voudrait davantage engager le gouvernement et toute la population congolaise ; parce notre bonheur passe par notre enrichissement et que ce dernier est impossible sans un travail ardu et intelligent. Comment allons-nous y parvenir ou qu’est-ce qui changera dans notre stratégie ? Qui seront les acteurs ou à qui nous adresserons-nous désormais ? Quel est l’objectif à poursuivre ou quelle est la valeur à défendre ?

La stratégie

En 1999, en lançant le Projet 2014, nous avons compté sur le patriotisme des congolais.  Nous savons depuis que nous nous sommes trompés sur la sincérité de nos compatriotes.
Dans le cadre de l'EAE ASBL, nous avons investis dans plusieurs projets en comptant sur la bonne foi de nos associés et de nos partenaires. Aujourd'hui, nous savons que c'était là aussi méconnaître le pourrissement moral du congolais.
Nous avons pourtant appris.
Primo, il faut compter sur l'expérience et non pas sur des présomptions.
Secundo, il ne faut pas aider, mais plutôt responsabiliser.
C'est la raison pour laquelle nous nous efforcerons de conseiller, d'encourager, de proposer nos enseignements, nos formations et nos services à nos associés et à nos patenaires, en gardant à l'esprit une chose : l'enrichissement du congolais, dans son sens holistique.

La ressource humaine

Contrairement à ce que prétendent nos compatriotes, le pourvoie en ressources non-humaines, au Congo, reste et sera encore pendant longtemps le moindre des soucis.  En revanche, il nous faudra beaucoup de temps pour nous qualifier.  Les hommes capables de concevoir, d'animer et réaliser le développement manquent, faute d'instruction,  de formation et d'éducation. Les signes sont là : la superstition envahissante, l'incompétence grandissante, la traîtrise généralisée, l'esclavagisme, la colonisation et des faits comparables.
L'homme est la ressource au centre du développement : c'est pour lui et par lui que s'opère le développement. De la qualité de l'homme dépend la qualité du développement : extension, niveau, source, finalité...

La vision, la mission, l’objectif

Le bonheur du congolais : n'est-ce pas là l'objectif à poursuivre ?
Un congo développé, Dieu voulant, n'est-ce pas là notre vision du Congo de demain ?
Quelle mission implique cette vision ? Quels sont les objectifs spécifiques ? Ce bonheur, n'est-il pas l'enrichissement total du Congolais, son développement intégral ? La connaissance, la qualification et la moralité ne sont-ce pas là les richesses qui nous manquent ?
S'attaquer au chômage c'est aussi s'attaquer à toutes les formes de pauvreté : l'ignorance, l'incompétence et l'immoralité.