Supprimons ces prisons coloniales !


Un appel à une révision de notre loi fondamentale au relent colonial.

Notre réaction à la livraison de MMK, nous donne l’occasion de revenir à notre justice.

[8/28, 20:44] MMK

Le Réseau pour les droits de l’homme tire la sonnette d’alarme sur la situation catastrophique dans les prisons de Beni, Butembo et Lubero, au Nord-Kivu. Il signale un manque criant de nourriture et de médicaments, entraînant des cas sévères de malnutrition et une augmentation des maladies au sein des détenus, causant plusieurs décès.

[9/1, 09:05] GPAU

Chers frères,

Nous plaidons pour un Congo sans prisons, pour la restauration de la justice par le travail et la rééducation

Dans le cadre du Projet 2014, nous proposons une transformation radicale du système pénal congolais : la fermeture de toutes les prisons.

Nos sociétés traditionnelles ont longtemps fonctionné sans prisons — et souvent mieux — que sous ces dispositifs barbares, importés par la colonisation. La prison, loin d’être un outil de justice, est devenue un fardeau économique et moral pour l’État, une machine à reproduire l’injustice.

Un individu qui nuit à la société ne devrait pas être entretenu aux frais de celle-ci. Il doit être rééduqué, responsabilisé, et mis au travail — non pas pour être puni, mais pour subvenir à ses propres besoins et réparer, autant que possible, les torts causés.

Cette approche exige une réforme juridique et démocratique urgente. Il est temps de cesser de dilapider les ressources publiques dans un système carcéral inefficace et inadapté à nos réalités.

Notre proposition n’a pas encore trouvé un écho favorable. Pourtant, nous restons convaincus qu’un Congo sans prisons, fondé sur la réhabilitation, le travail et les valeurs ancestrales, est non seulement possible, mais souhaitable. Ce modèle serait plus juste, plus humain, et plus en phase avec notre identité profonde — celle que les colonisateurs et néo-colonisateurs ont tenté d’effacer.

Un patriotisme souvent mortel…


Un Officier de PNC suspendu pour avoir recruté des Rwandais au sein de la PNC Nord-Kivu

PAR SA LETTRE N° 0939/PNC/CIATGEN/0691/DRH/DEPT PERS/2022 DU 07 AVRIL 2022 QUE VOICI CI-DESSOUS, LE COMMISSAIRE GÉNÉRAL AMULI BAHIGWA DE LA PNC VIENT, MALGRÉ LUI, DE RELEVER DE SES FONCTIONS LE COLONEL VAN KASONGO NGOY JUSQUE-LÀ ADJOINT DU COMMISSAIRE PROVINCIAL DE LA PNC/NORD-KIVU EN CHARGE DE LA POLICE ADMINISTRATIVE POUR AVOIR RECRUTÉ UNE CENTAINE DES PERSONNES NON AUTREMENT IDENTIFIÉES À PARTIR DU RWANDA VOISIN QU’IL AURAIT VÊTUES EN TENUES DE LA PNC AVANT DE LES INSTALLER SANS AUCUN DOCUMENT OFFICIEL DANS LA CONCESSION DE LA SOCIÉTÉ MINIÈRE DE BISUNZU (SMB) EN TERRITOIRE DE MASISI CONTRE 12.000 $ PAR MOIS. LA VÉRITÉ EST TÊTUE.ELLE FINIT TOUJOURS PAR REMONTER À LA SURFACE. J’AI ÉTÉ TRAITÉ DE DÉTRAQUÉ MENTAL LORSQUE JE DENONÇAIS LA PARTICIPATION DES AUTORITÉS ACTUELLES DE LA PNC À LA PARTITION DE NOTRE PAYS. PEUT-ON CONSIDÉRER QUE LE DIRECTEUR DES RENSEIGNEMENTS DE LA PNC, GÉNÉRAL AWACHANGO UMIYA VITAL, N’ÉTAIT PAS AU COURANT DE CETTE SENSIBLE AFFAIRE SÉCURITAIRE À LA SOCIÉTÉ MINIÈRE DE BISUNZU EN TERRITOIRE MASISI ? POURQUOI TIENT-ON COÛTE QUE COÛTE À VENDRE LA RDC NOTRE PAYS À VIL PRIX ? J’ALERTE L’OPINION QUE CETTE TÉNÉBREUSE AFFAIRE RISQUE D’ÊTRE ÉTOUFFÉE COMME CELLE DES POLICIERS POISSONS POURRIS ALORS QU’AUCUN POLICIER N’EST PASSÉ RÉCLAMER LES 83 MILLIONS DES FRANCS CONGOLAIS (41,5 MILLE DOLLARS AMÉRICAINS) RÉCUPÉRÉS SUR LA PAIE DU SEUL MOIS DE DÉCEMBRE 2021 ET CONSIGNÉS À LA TRÉSORERIE DE LA PNC/ NORD-KIVU PAR LE TRÈS PATRIOTE GÉNÉRAL JUVENAL BIDEKO. PAR CONTRE, LES MÊMES FONDS DESTINÉS À LA PAIE DU COMMISSARIAT DE WALIKALE ONT ÉTÉ DEPUIS, RECONDUITS ET DÉLOCALISÉS DE LA SOFIBANQUE À LA RAWBANK. QUI RETIRE DÉSORMAIS CES FONDS ? QUE FAIT-IL DE CES 83 MILLIONS DES FC ? À QUI PROFITAIT CETTE BAGATELLE DEPUIS DE NOMBREUX MOIS PASSÉS ? CE QUI EST VRAI POUR LE COMMISSARIAT PNC/WALIKALE L’EST AUSSI POUR L’ENSEMBLE DES COMMISSARIATS DE TOUTES LES 26 PROVINCES DE NOTRE PAYS. ET PERSONNE POUR DEMANDER DES COMPTES AU RÉSEAU MAFFIEUX DES GÉNÉRAUX AMULI BAHIGWA, NDONDA KHINDJI, AWACHANGO UMIYA VITAL ET CONSORTS QUI SE PARTAGENT AINSI DES CENTAINES DES MILLIONS DES FRANCS CONGOLAIS CHAQUE MOIS PROVENANT DES DÉTOURNEMENTS DES SOLDES ET PRIMES DES POLICIERS QUE J’ENTENDS PUBLIER PROVINCE PAR PROVINCE DANS LES HEURES QUI SUIVENT.
LA PATRIE OU LA MORT. LA VÉRITÉ VAINCRA TOUJOURS LE MENSONGE.

LÉONARD LUKABYA MATAZI
COMMISSAIRE PRINCIPAL PERSÉCUTÉ POUR L’AMOUR DE LA PATRIE ET DU TRAVAIL BIEN FAIT.
TÉL. : 0997700094
0817117539

Ituri : l’auditorat militaire instrumentalisé par Kinshasa…


[9/6, 10:32] +243 817 638 848: Alerte alerte

Pour détournements des fonds de l’État, l’ex Ministre Provincial de l’économie et finances et le DG de la DGRPI, tous du gouvernement Jean Bamanisa, sont interpellés ce Mercredi 9 juin 2021 à l’auditorat militaire de l’Ituri. C’est sur demande de l’avocat de la République que ces précités sont interpellés. Il était difficile de comprendre comment la caisse de la province était restée vide. Il sera aussi question d’établir des responsabilités dans le décaissement des fonds dans les comptes de la province.
Pour plus des précisions, passer à l’auditorat militaire maintenant, car ils sont déjà là.
Nous demandons à la justice militaire de travailler pour l’intérêt de la République et d’appliquer la loi en cas des aveux.
Il faut noter que l’IGF aussi, promet être à Bunia la semaine prochaine.

Que vive l’État de droit.

Christian Shauri
Acteur politique et Jeune leader.
[9/6, 11:14] Paluku-Atoka Uwekomu: Alerte tardive…

Pour détournements des fonds de l’État, l’ex- ministre provincial de l’économie et des finances et le DG de la DGRPI, tous du gouvernement Jean Bamanisa, sont interpellés, ce mercredi 9 juin 2021, à l’auditorat militaire de l’Ituri.
Je suppose que ce sont des civils. Pourquoi doivent-ils répondre devant une juridiction militaire ? Que dit la loi – laquelle – à ce sujet ?

C’est sur demande de l’avocat de la République. Quelle différence y a-t-il entre ce dernier et le procureur de la République ? L’avocat de la République représente quelle institution, dans le cas d’espèce ?

Il était difficile de comprendre comment la caisse de la province était restée vide. Il sera aussi question d’établir des responsabilités dans le décaissement des fonds des comptes de la province.
Pour plus de précisions, passer à l’auditorat militaire maintenant, car ils sont déjà là. Est-ce à l’auditorat militaire qu’un citoyen pourrait avoir des précisions sur l’interpellation de deux fonctionnaires ?

Nous demandons à la justice militaire de travailler pour l’intérêt de la République et d’appliquer la loi en cas d’aveux.

La justice ne s’applique pas qu’en cas d’aveu, mais aussi dès lors que la preuve de la faute est apportée par le plaignant.

Il faut noter que l’IGF (?) aussi, promet d’être à Bunia la semaine prochaine.
Dans quel but ?

Que vive l’État de droit.

Christian Shauri
Acteur politique et Jeune leader.

Je pense que l’État siège ne doit être pour Kinshasa l’occasion de se débarrasser des têtes qui ne lui plaise pas de manière expéditive. Qu’en est-il des juridictions civiles pendant cet état de siège ?

Soyons réactifs : titillons nos parlementaires pour que les militaires rentrent vite dans leurs casernes. Sinon, l’Ituri risque de voir l’insécurité y croître drastiquement !

Washington : quelle expérience ?


Que nous preuve multiple nous apporte le malheureux l’évènement de Washington ?  Et pourquoi faut-il vite intégrer Kongo ya Sika pour résoudre proprement ces problèmes ?

  1. Contrairement à ce que plusieurs de nos compatriotes pensent, l’Occident n’est pas un espace de droit non plus.  Il est différent de l’Afrique et préférable à cette dernière sous certains rapports.  Cependant, nous avons aussi, nous, congolais et occidentaux, nos combats, dans nos pays occidentaux, nos secondes patries.  Nous l’avons vu, bon nombre de nos compatriotes ici sont encore enfermés pour longtemps dans le racisme du blanc contre le noir ou dans la xénophobie de l’autochtone contre l’alloctone ou l’immigré.
  2. Les bras tentaculaires de l’esclavagisme, de la coonisation, de la dictature et de l’imposture ont toujours été et restent partout présents ; depuis que le Congo est victime, successivement, de l’esclavage, de la colonisation, de la dictature et de l’imposture.  Ceux qui dorment, restent passifs, ne s’en prendront qu’à eux-mêmes ; si pas eux, leurs progénitures.  La survie de la gente congolaise ne dépend que de nous.  Et jusqu’ici, répétons-le, nous opérons de mauvais choix, malheureusement.
  3. Toute violence en appelle une autre.  Nous devons donc choisir, résolument, de combattre l’imposture kanambienne par les voies de droit.  Ce sera d’autant plus court et au résultat durable, si nous y investissons toute l’énergie que nous gaspillons dans des marches, des sit-in, des protestations publiques, des pétitions et d’autres démarches semblables, mais MAL CIBLES, MAL ADRESSES et fondés sur l’usage de la force physique seule et non fondé sur la la raison d’abord et les muscles, uniquement quand cela s’avère INDISPENSABLE.  Notre stratégie actuelle ne nous mettra pas au-dessus des autres nations dont la barbarie se voient au grand jour.
  4. Dans le cas précis de Washingon, étant donné que savons le faire, investissons dans une action judiciaire contre les coupables en nous déterminant d’aller jusqu’au bout du projet.  La victoire nous obligera nous-mêmes à être respectueux et exigeants par rapport au respect de l’intégrité physique et morale de tout homme, mais de désormais avoir l’assurance d’arriver à arrêter PROPREMENT et SUREMENT tous les acteurs du kanambisme, qui ont commis et continuent à commettre beaucoup de crimes dans notre pays.  Cette façon de faire sera, pour nous, autrement plus efficace que les lumbe lumbe et mwete mwete qui ne nous apportent pas la solution attendue à nos problèmes, jusqu’ici ; solution qu’est la paix et la prospérité pour tous en RDC que propose Kongo ya Sika.
  5. Nous ne pouvons pas poursuivre les criminels de Washington et laisser nos frères croupir sous le joug kanambien en RDC : il est notre devoir que de traduire tous les bandits politiques qui pullulent dans l’espace politique national en justice, jusqu’à avoir gain de cause.  Cette démarche, si elle est déterminée, nous permettra en même temps d’imposer notre marque à la CPI qui pour l’instant se montre pas moins pourrie que les institutions que nous avons malheureusement contruites de nos propres mains depuis 1960, en commettant des hommes véreux à la gestion de la chose publique, à répétion, avec l’espoir, vain et injustifiable, de tirer de la justice de l’injustice…

Nous n’aurons là que répété notre appel commencé depuis décembre 1999, dans le cadre du Projet 2014 et continué avec mes compatriotes membres du parti politique Kongo ya Sika que nous avons créé pour aider ceux qui veulent militer pour une vraie paix et une vaie propérité en RDC.