Qui enlève nos commerçants et pourquoi ?


Urgent, urgent, urgent ; le nommé MUMBERE SHABANI alias Malento opérateur économique de cantine vient d’être enlevé par des inconnus en bord d’une voiture alors qu’il était dans sa boutique au centre de cantine. Ces kidnappeurs non identifiés ont emprunté la route cantine – Malese-Mabalako-Kyatsaba- Béni. Nous venons d’apprendre qu’ils viennent de dépasser Mabalako en direction de KYATSABA a 19h20.
Nous en appelons à la mobilisation générale de tous pour arrêter ces criminels de grand chemin qui sont en route et qui n’ont que deux voies de sorties soit Beni ou Mangina . Alerte général, nous demandons aux responsables des barrières routiers de rendre un service louable a la nation.
Me MUTSUNGA BIN SIKWAYA. Appuyé par la Cellule de communication NZENGE AMANI RDC

Voilà à quoi devait aboutir l’état d’urgence que nous n’arrivons pas à démonter ; comme je nous avais prévenu.
Comment allons-nous retrouver ce Mumbere Shabani ?
Qui était ses ennemis ?
Que lui reprochaient-ils ?
Où se situent-ils d’ordinaire ?
Qu’est-ce qui peut être fait pour dissuader ses ennemis à lui faire du tort ?
Nous sommes capables de voir la voiture qui le transporte (Mabalako en direction de Kyatsaba) sans être en mesure de l’arrêter, sans avoir été capable de l’empêcher de quitter (Cantine) alors que les messages on l’air de bien circuler entre nous ?
Une plainte est-elle déjà déposée contre X ?
Cette voiture ne portait aucune plaque ? Si oui, qu’elle était le numéro sur la plaque au moment de l’enlèvement ?
Comment est-il sorti de sa boutique ? De bon gré ou violenté ? Où était sa famille et ses proches ? Qu’ont-ils fait pour tenter d’empêcher cet énième enlèvement dans notre pays ?

Ce fait est-il documenté pour servir un jour en justice ?

Puritanisme congolais !


Combattre sur le terrain judiciaire nous permettra de gagner le vrai combat :  instaurer un état de droit en RDC et couper définitivement l’herbe sous les pieds des imposteurs, dictateurs, colonialistes, esclavagistes et traîtres de la nation congolaise !

C’est ce que je propose toujours depuis décembre 1999, dans le cadre du Projet 2014 : la disqualification démocratique des hommes véreux que nous avons commis à la gestion de la chose publique.  Epuisons la procédure intérieure – dont nous savons bien qu’elle se soldera par le refus des sbires du kanambisme d’accepter ou de traiter les plaintes de l’opposition – pour avoir des raisons de recourir aux instances judiciaires internationales ; qui elles aussi devront être harcelées avant de céder à nos requêtes ; comme nous pouvons déjà le déviner.

Chaque membre de l’opposition peut verser sur un compte qui sera ouvert pour payer les meilleurs avocats dans les matières concernées par nos plaintes précises.

Au Projet 2014, nous sommes prêts pour organiser la structure qui pourrait fédérer nos efforts dans le cadre d’une telle démarche, d’une telle action en justice contre tous les escrocs politiques congolais.  Qui veut se joindre à la réflexion ?

C’est la meilleure façon pour mettre l’impunité en dehors de notre pays et de rivaliser avec le « puritanisme » américain.

Washington : quelle expérience ?


Que nous preuve multiple nous apporte le malheureux l’évènement de Washington ?  Et pourquoi faut-il vite intégrer Kongo ya Sika pour résoudre proprement ces problèmes ?

  1. Contrairement à ce que plusieurs de nos compatriotes pensent, l’Occident n’est pas un espace de droit non plus.  Il est différent de l’Afrique et préférable à cette dernière sous certains rapports.  Cependant, nous avons aussi, nous, congolais et occidentaux, nos combats, dans nos pays occidentaux, nos secondes patries.  Nous l’avons vu, bon nombre de nos compatriotes ici sont encore enfermés pour longtemps dans le racisme du blanc contre le noir ou dans la xénophobie de l’autochtone contre l’alloctone ou l’immigré.
  2. Les bras tentaculaires de l’esclavagisme, de la coonisation, de la dictature et de l’imposture ont toujours été et restent partout présents ; depuis que le Congo est victime, successivement, de l’esclavage, de la colonisation, de la dictature et de l’imposture.  Ceux qui dorment, restent passifs, ne s’en prendront qu’à eux-mêmes ; si pas eux, leurs progénitures.  La survie de la gente congolaise ne dépend que de nous.  Et jusqu’ici, répétons-le, nous opérons de mauvais choix, malheureusement.
  3. Toute violence en appelle une autre.  Nous devons donc choisir, résolument, de combattre l’imposture kanambienne par les voies de droit.  Ce sera d’autant plus court et au résultat durable, si nous y investissons toute l’énergie que nous gaspillons dans des marches, des sit-in, des protestations publiques, des pétitions et d’autres démarches semblables, mais MAL CIBLES, MAL ADRESSES et fondés sur l’usage de la force physique seule et non fondé sur la la raison d’abord et les muscles, uniquement quand cela s’avère INDISPENSABLE.  Notre stratégie actuelle ne nous mettra pas au-dessus des autres nations dont la barbarie se voient au grand jour.
  4. Dans le cas précis de Washingon, étant donné que savons le faire, investissons dans une action judiciaire contre les coupables en nous déterminant d’aller jusqu’au bout du projet.  La victoire nous obligera nous-mêmes à être respectueux et exigeants par rapport au respect de l’intégrité physique et morale de tout homme, mais de désormais avoir l’assurance d’arriver à arrêter PROPREMENT et SUREMENT tous les acteurs du kanambisme, qui ont commis et continuent à commettre beaucoup de crimes dans notre pays.  Cette façon de faire sera, pour nous, autrement plus efficace que les lumbe lumbe et mwete mwete qui ne nous apportent pas la solution attendue à nos problèmes, jusqu’ici ; solution qu’est la paix et la prospérité pour tous en RDC que propose Kongo ya Sika.
  5. Nous ne pouvons pas poursuivre les criminels de Washington et laisser nos frères croupir sous le joug kanambien en RDC : il est notre devoir que de traduire tous les bandits politiques qui pullulent dans l’espace politique national en justice, jusqu’à avoir gain de cause.  Cette démarche, si elle est déterminée, nous permettra en même temps d’imposer notre marque à la CPI qui pour l’instant se montre pas moins pourrie que les institutions que nous avons malheureusement contruites de nos propres mains depuis 1960, en commettant des hommes véreux à la gestion de la chose publique, à répétion, avec l’espoir, vain et injustifiable, de tirer de la justice de l’injustice…

Nous n’aurons là que répété notre appel commencé depuis décembre 1999, dans le cadre du Projet 2014 et continué avec mes compatriotes membres du parti politique Kongo ya Sika que nous avons créé pour aider ceux qui veulent militer pour une vraie paix et une vaie propérité en RDC.