Les camps de réfugiés et de déplacés sont un danger à vite traiter. La promiscuité s’y installe très vite si des services stricts d’hygiène n’y sont pas mis en place.
Les zones où les populations déguerpissent, sont des champs potentiels de mines antipersonnelles futures. Ce sont des gaspillages de la ressource territoriale à rapidement arrêter en veillant à ce que chaque ménage rentre rapidelent chez lui, pour y vivre dans des conditions significativement améliorées. Le projet Habitat de l’EAE ASBL est susceptible d’apporter une solution responsable à un tel problème.
Nous avons sollicité plusieurs chefs coutumiers dans Mahagi et Lubero pour cela. La peur règne en maître et personne n’ose nous répondre !
Politiquement, le congolais s’occupe toujours des manifestations. Peu sont ceux qui acceptent de combat économique. Comme les hommes au pouvoir, les congolais voudraient moissonner sans semer.
La percée récente de nos projets à Mahagi donne une lueur, même fine, d’espoir !