Nous avions déconseillé les élections étrangères.
Nous avions proposé Georges Alula Makita pour mettre le pays sur les rails.
Nous avions annoncé le pire, la désolation si nous n’étions pas écoutés.
Notre peuple n’a pas écouté notre prédication, comptant sur un soulèvement populaire, qui tarde à venir.
Dans le pays de ma tendre enfance, jusqu’aujourd’hui, personne ne se rend compte du pourrissent ou ne s’en émeut… On boit, on mange, on danse, on prie, on offre même des sacrifices à Dieu…
Ce matin, voici ce qui nous parvient de Butembo. Le peuple résiste contre les deux têtus, néocolonisateurs, néo-esclavagistes, selon lui : le gouvernement et l’OMS.