Nous avons dit que le pire soit encore à venir. Les bruits de bottes commencent à se faire menaçants. Mais, nous ne sommes pas encore le 1er janvier 2019. Suivez une correspondance documentée qui nous parvient du Katanga de Moïse Tshombe, par ricochet.
Merci donc de tout vérifier.
Débandade à Kolwezi sur le site de la Gécamine Luilu. Un trouble créé par des creuseurs qui réclament leurs carrières artisanales situées dans la concession de la société KCC, vendue aux chinois. 2 jeeps, l’une de la police et l’autre des chinois ; et, 4 camions qui transportaient les minerais sont brûlés. Et aussi 2 chinois sont tués sur place par des creuseurs et la population.
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Auteur : Graphèle Paluku Atoka Uwekomu
I am involved in the personal and holistic development of each of my fellow citizens; and in the community, national and global development in a democratic, Christian and capitalist way.
Je suis impliqué dans le développement personnel et holistique de chacun de mes concitoyens ; et, dans le développement communautaire, national et global dans une vision démocratique, chrétienne et capitaliste.
Ik ben betrokken bij de persoonlijke en holistische ontwikkeling van elk van mijn medeburgers; en in de gemeenschap, de nationale en mondiale ontwikkeling in een democratische, christelijke en kapitalistische visie.
Voir tous les articles par Graphèle Paluku Atoka Uwekomu
Nous l’avons toujours dit, avec Kwebe Kimpele : tant que la souveraineté nationale ne sera pas reconnue à nos peuples du Congo ; nos royaumes, empires, ethnies, tribus, clans, patriarchies, familles et autres ; ne parlons pas d’indépendance du congolais, encore moins, de la paix et de la prospérité dans le pays.
Aujourd’hui, si les événements de Kolwezi se confirment, nous devrons nous souvenir d’une chose : les terres de nos ancêtres qui ont été usurpées et qui ne nous sont pas encore rendues entièrement, mais qui sont jour pour jour spoliées, nous poseront de grands conflits inter-congolais et avec les colonisateurs étrangers dans les années à venir.
Ces conflits seront d’autant difficile à résoudre que les dettes contractées par les bandits politiques qui ne nous écoutent pas aujourd’hui ne font que s’accroître.
Le sol du congolais doit appartenir au congolais et non pas à un État qui n’est pas notre création, mais une création coloniale et dont nous ne nous sommes pas encore appropriée et qui nous pose d’énormes problèmes. Cet État peut changer à tout moment, suivant les caprices des politiciens. Mais ceux qui tentent de déloger les peuples établis sur le sol dit congolais, finiront un jour par avoir de graves problèmes avec les peuples du Congo structurés, organisés.
C’est alors, et alors seulement, que les nageurs en eau trouble nous rendrons des comptes. En attendant, commencer par rendre aux peuples de Kolwezi leurs terres et ne faîtes pas semblants de ne les avoir pas écoutés. Ils reviendrons un jour partout sur le territoire.
Prenez or, pétrole et tout ce que vous voulez de ce pays. Un jour, vous devrez le rendre… Comment ? Réfléchissez-y dès maintenant…
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