-
Cette histoire n’est pas la première qui nous parvient sur la complicité de la MONUC d’abord et aujourd’hui de la MONUSCO dans la crise de l’Est. C’est aussi une autre histoire de plus de notre trahison.
-
Comme nous ne sommes pas véritablement unis ni suffisamment organisés pour savoir ce qu’il en retourne au juste, l’ennemi, qui n’est peut être pas une autre personne que nous mêmes d’abord, continuera à nous asservir.
-
La guerre psychologique, qui n’est pas la moins importante, est rude. Cette affaire de l’Est finira un jour par diviser totalement l’Est d’avec l’Ouest du Congo, si elle ne l’a pas encore fait ; et enfin, définitivement, elle divisera aussi les congolais de la diaspora d’avec ceux de l’intérieur du pays.
-
En effet, tout en rendant notre vibrant hommage à tous nos héros, de l’intérieur comme de l’extérieur, qui n’épargnent pas jusqu’à leurs propres vies pour que la RDC connaisse un jour l’indépendance, nous devons déplorer et combattre les trahisons qui nous viennent du pays et de la diaspora. Pour nous, dans le cadre de notre participation au Projet 2014, nous avons accusons nos frères du pays de laisser libre court à beaucoup de pratiques qui nous avilissent et font déjà de nous ce que nous n’étions pas : des empoisonneurs, des violeurs, des voleurs, des dictateurs, des pilleurs, des infidèles, des traitres profesionnels ! Nous devons aussi déplorer que certains d’entre nous, depuis qu’ils sont en Occident se convainquent si facilement que la RDC n’aurait rien fait pour eux et que de ce fait ils n’auraient rien à devoir à cette dernière.
-
La critique est facile, mais l’art est difficile ! Que proposons-nous ?
-
se mettre autour d’une table, même virtuelle, pour un travail de fond sur la question de la trahison, ce fléau qui continue à ronger notre pays, parce que nous ne la travaillons pas dans nos officines politiques et stratégiques ;
-
publier à l’attention de tous les congolais et du monde les trouvailles qui permettent de découvrir et d’arrêter, de juger et de condamner les traîtres, démocratiquement et efficacement.
Cet appel, nous le lançons depuis 1999, sans que personne n’y prête vraiment attention et s’engage à réagir positivement. C’est bien dommage !
-
le non dit sur la guerre de l’Est.
notre source sur terrain rapporte ce qui suit :
« Bjr mzee,voici une autre reson poussa la sociville de BENI VILLE et TERRITOIRE à part la passivité de la brigade d intervention de la monusco enfin de traquer et neutraliser les forces negative armée à l est de la rdc,maintenant la goute d eau qui a fait debordé la vase et que la population du territoire avait vu un heloco de monusco en brousse ravitailla à vivre le defecteur lt col BISAMAZA avant que cet dernier rejoigne KAHASHA et HILAIRE. »

