Hydraulique, développement, théocratie : quels rapports ?


« Un ancien député vient d’innogurer un puit d’eau qu’il a construit ; mais l’eau a refusé de couler. »

C’est ce que nous lisions dans notre groupe LAM, de WhatsApp, le lundi dernier, avec une vidéo de l’événement à l’appui.

Ce n’est pas sa faute : les ingénieurs et techniciens n’ont pas tout vérifié soigneusement avant sa venue, Dieu ne voulait pas de cette démonstration, un ou plusieurs saboteurs ont faussé la machine, pour décourager l’électorat du candidat !

Sachons cependant que Dieu fait tout concourir pour le bien de ceux qui le craignent.

Ce type de puits ne devrait pas être utilisé par nos population. Ces puits résovent un problème, mais en créent un autre : ils augmentent les cas de contamination à la salmonella, la fièvre thyphoïde qui est souvent mortelle !

Dans Beni, Kinshasa et bien d’autres localités, nos frères sont morts à cause de ces puits…

Pour aller vers la modernité, préférons des réseaux de distributions modernes conçus et gérés dans le respect des règles d’hygiène publique ; même si ils sont plus coüteux et plus difficile à gérer.

Choisir cette solution c’est favoriser des projets pesants, qui participent à la promotion de la santé publique et dignes de notre pays !

Concevoir de tels projets tirera la cité qui s’y invetit vers la haut. Il faut en effet include le projet dans un grand projet de voirie : furniture d’eau potable et industrielle ; et, collecte et traitement des eaux usées et des eaux de pluie. Le bénéfice est très grand pour : la santé publique, l’environnement, l’industrie hydraulique, l’emploi, l’éducation et l’enseignement, l’économie, l’agriculture, l’habitat, etc.

Étant donné que notre problème n’est pas celui de ressources financières ni matérieles, lançons-nous dans de tels projets qui contribueront aussi à écarter les hommes incompétents, incapables, de notre administration, pour le plus grand bien de nos services publics, de notre compétitivité et notre image au plan international.

Nous sommes disposer à participer à un travail collaboration qui associer l’intérieur et la diaspora au développement d’une politique énergétique plus responsable et de la plus haute technologie.

Les 21 personnes théoriquement engagées dans le Projet 2014 sont un ressource suffisante pour mettre le pays sur les rail !

Il nous faut recruter et former des animateurs du développement endogène, intégral et intégré dans un cadre théocratique pour en assurer, en garantir le succès.