La tricherie à l’ULB (http://www.telebruxelles.net/portail/info/255-info-regionale/29619-un-detecteur-contre-la-fraude-a-lulb) ? Quelle honte pour cette prestigieuse université et pour notre Région de Bruxelles-Capitale, à vite effacer ; et, quel défi à relever, absolument, en supprimant rapidement cette dérive inacceptable dans une université qui se veut du libre exam et qui de plus n’est déjà pas si mal prositionnée, entre la 100ème et la 200ème au monde (http://www.shanghairanking.com/ARWU2013.html, http://www.shanghairanking.com/World-University-Rankings-2013/Belgium.html).
La culture du libre examen n’est plus défendue de manière franche et suffisante depuis quelques décennies. Entre 1988 et 1994, nous y avons étudié et suppléé à la conduite des travaux pratiques sur le RED, réséau expérimental et didactique, travaux de simulation de défauts sur les réseaux HT et THT (Haute tension et très haute tension). Ce temps nous a permis de nous rendre compte du travail qui reste encore à faire pour que les étudiants intériorisent, le principe du libre examen, pour le bien de notre nation et de notre culture occidentale qui, nous y croyons fermément, en tireront des bénéfices appréciables.
Chez la plupart de nos enseignants, la volonté existe de transmettre la culture. Cependant, la défense de l’identité culturelle de l’ULB n’est pas toujours assurée chez tous avec l’ardeur suffisante pour faire face à la tendance globale qu’a notre société à s’acculturer sans prendre le pouls des conséquences ; parce que le tri n’est pas toujours fait rigoureusement à l’entrée, en terme d’engagement moral ! Chez les étudiants, la mixité rend un peu plus difficile le dialoguqe et la prise de décisions pour travailler, ensemble, à la préservation de l’image de notre université. La crise identitaire est forte et c’est elle qu’il faut juguler, pour facilité le travail qui consiste à mettre tout le monde au travail et ne plus tolérer des vices tels que la tricherie au sein d’une institution qui se veut modèle dans le secteur. La cause de la tolérance qui nous ravage n’en sera que mieux défendue, contrairement à ce que la gauche voudrait nous faire croire.
Dans le projet 2014, nous proposons aux congolais la séparation de la fonction enseignante de la fonction d’évaluation de la connaissance, de la compétence et de moralité tant des apprenants, des enseignants que des parents (http://users.skynet.be/bs245857/2014/contributions/graphelepalukuatokauwekomu/enseignement.htm).
L’ULB peut sérieusement et utilement se pencher sur cette stratégie dans une optique du long termne (plus de 5 ans) pour juguler une fois pour toute les tricherie en salle. Ce qui ne garantit pas encore que tous les défis que nous pose la tricherie aux examens seront relevés. Un serveur d’examen peut en effet être piraté de différente manière de même.
Une raison de plus pour que nous travaillions à soutenir le projet « Bruxelles, capitale informatique de l’Europe », projet BCIE, pour anticiper la criminalité dans ce domaine.
