La question énergétique question énergétique en RDC fait d’un proposition du notre proposition que la plupart négligent jusqu’ici : c’est bien dommage.
Le Projet 2014 n’est pas que rédiger un projet de société pour la RDC qui soit le plus démocratique et le plus complet possible. C’est aussi se préparer à hydoélectrifier notre pays. Pourquoi ?
Pace que la SNEL prétend que nous aurions près de 100 GW exploitable dans sur l’étendu de notre territoire et que notre peuple, dans sa majorité, vit dans un dénuement innacceptable, faute de pouvoir disposer de l’énergie dont elle besoin pour, depuis voici bientôt 53 ans dits d’indépendance.
Il s’agit donc pour nous de rapidement rendre à notre peuple son droit à :
- s’éclairer ;
- chauffer et se chauffer ;
- s’équiper en électroménagers pour simplifier les travaux de ménage et se concentrer sur d’autres travaux : l’école, le champ, le bureau, l’usine, etc. ;
- se déplacer plus rapidement dans des trains électriques et sur toute l’étendu de notre territoire, d’un bout à l’autre, à un coût raisonnable ;
- traiter ses matières premières à l’intérieur de notre territoire pour la commation intérieure et pour l’exportation de l’excédent…
Nous proposons qu’avec nous, des projets soient rapidement mis en route pour que les 120 GW soient inconditionnelement produits et consommés par les ménages de la RDC, pour pouvoir travailler à exploiter nos matières premières dans des conditions qui nous rendent concurrentielles et sans égaux dans le monde entier.
Dans la page référencée ici nous montrons que nous pouvons d’ores et déjà nous investir pour préparer la prise en charge totale du projet par nous-même, congolais. Pas un seul rho ne viendra être quémender à l’étranger ; de sorte que, dans le pire de cas, nous pouvons lancer des chantiers partout dans le pays, dès 2023 pour produire un minimum de 120 GW dans la RDC et pour la RDC d’abord ! Il existe toutefois des conditions pour que cela se face.
- nettoyer l’espace politique immédiatement et sans pitier pour ceux qui se dressent, de mauvaise foi, en obstacles à notre épannouissement ;
- nous instruire, nous éduquer et nous former pour prendre en charge ce projet et les projets connexes (accompagnants) ;
- rapidement déterminer les opportunités qui se présentent à nous et les risques qui nous guêtent pour les gérer professionnellement à notre avantage, etc.
Notons en passant que ce projet nous permettra de résoudre, grâce au soutien à l’initiative privée, d’autres projets d’envergure qui démeurent dans des tiroirs :
- l’eau potable aux portes des ménages et entreprises ;
- transport des personnes et biens sur de longues distances à coûts réduits ;
- industrie conventionnelle et de pointe ;
- santé ;
- habitat
- télécommunications et traitement de l’information…
Nous aimons à ainsister pour dire que les factures des maîtres d’oeuvres devront être payées cash, de l’argent de notre poche ou citoyens congolais ; et non pas d’une autre personne, des fruits d’une mendicité qui ne se justifie pas. Voici comment cela peut se préparer : http://eae-asbl.blogspot.be/2013/02/10-ans-pour-payer-notre-dette.html en s’engageant dans le Projet 2014, là où l’on est, sans plus tarder !
