Goma : l’émotion ou la raison ?


🔥🔥ALERTE ALERTE🔥🔥

ÉVACUATION TOTALE DE PLUSIEURS QUARTIERS DE LA VILLE DE GOMA

Les données scientifiques prouvent que la ville de Goma est très en danger, une éruption à terre ou sous le lac.

Les quartiers qui doivent se vider d’urgences des habitants sont les suivants:

  • Quartier Majengo
  • Quartier Mabanga Nord
  • Quartier Mabanga Sud
  • Quartier Bujovu
  • Quartier Virunga
  • Quartier Murara
  • Quartier Mapendo
  • Quartier Mikeno
  • Quartier Kayembe
  • Quartier le Volcan.

Sur instruction obligatoire du Gouverneur dans son message lu cette nuit sur la chaîne nationale la RTNC/Goma, tous les habitants de ces quartiers doivent quitter d’urgence vers la cité de Sake.

Prenez toutes les dispositions nécessaires dans le calme.

L’Est est-il pillé par le gouvernement Matata ?


 

La livraison suivante nous conduit à nous poser la question en rubrique : l’Est-il pillé par le gouvernement Matata ?  Où vont les 7,5 milliards par an, qu’engrageraient auparavant le M23, qui ne sont plus à Bunagana ?  Ce montant vaudrait pratiquement ce que l’on prétend être le budget annuel de l’Etat !  Est-ce à dire que c’est l’Est qui nourrit la RDC de l’imposture ?  Comment cela se passerait-il exactement, le cas échéant ?  Que f’ont les pillés pour défendre leur droit ?  Qui mène le combat en faveur de l’Est et du reste du Congo qui seraient ainsi saignés sous nos regard désabusés ?  Pourquoi le congolais laisse-t-ils l’imposture vider, impunément, la RDC de ces ressources : naturelles et non-naturelles ?  La livraison suivante ne corrobore-t-elle pas notre thèse  que le gouvernement Matata vit du vol ?

Rappelons que notre thèse par du constat qu’il nous faut 1424 milliards pour gérer, minimalement notre Etat.

Un gouvernement qui prétend utiliser moins de 14,24 milliads de dollars pour gérer la RDC chaque année ; serait donc en train de trouver certainement de l’argent ailleurs, pour s’occuper de sa salle besogne : dépouiller le Congo de ses ressources, tant naturelles que non-naturelles ; la matière grise notamment, celle qui vaut plus que toutes les richesses sur lesquelles d’aucun voudrait river notre attention.

Plaise à Dieu que nous en prenions conscience et que nous rejoignions vite le Projet 2014, pour trouver, démocratiquement, comment débouter les imposteurs et leurs sbires du pouvoir en RDC.

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KongoTimes! – La Force d'Informer: RDC : Les recettes de l'Etat continuent d'échapper le trésor public RDC : Les recettes de l’Etat continuent d’échapper le trésor public

================================================================ KongoTimes! on 26/12/2013 10:54:00

A titre d’exemple, lors de la récente réouverture du trafic commercial entre la RD-Congo et l’Ouganda à la frontière de Bunagana, ancienne de M23, les autorités gouvernementales sur le lieu avaient clamé tout haut que la fermeture des frontières au Nord-Kivu constitue un manque à gagner estimé d’environ 625 millions USD par mois, soit 7,5 milliards USD par an pour la province. Où vont alors les recettes de notre pays? La vente de l’énergie à l’extérieur du pays ; les recettes douanières dans toutes nos frontières ; les contributions des sociétés minières, des sociétés pétrolières, des sociétés de communications pour ne citer que celles-là. Il est temps de faire preuve de bonne volonté politique pour que la population puisse jouir les richesses de son beau pays. Le projet de budget 2014 présenté au parlement, sans rapport d’exécution du budget 2013, ne reflète pas les potentialités de la RDC pour relever les défis de la reconstruction du pays. Partant du récent vote au Parlement congolais du projet des crédits provisoires chiffrés à 657 million des dollars américains (USD) pour un mois, on peut estimer que la nouvelle enveloppe des recettes et des dépenses publiques pour orienter l’action gouvernementale en 2014 est d’environ 7,8 milliards USD. Cette nouvelle prévision budgétaire qui est presque égale à celle de 2013 reflète-t-elle réellement la croissance macro-économique projetée à 9,1 % pour l’année 2014 ? Sans entrer dans le débat politique autour dudit recours aux crédits provisoires, parlons un peu des recettes de l’Etat qui continuent d’échapper le trésor public. A titre d’exemple, lors de la récente réouverture du trafic commercial entre la RD-Congo et l’Ouganda à la frontière de Bunagana, ancienne de M23, les autorités gouvernementales sur le lieu avaient clamé tout haut que la fermeture des frontières au Nord-Kivu constitue un manque à gagner estimé d’environ 625 millions USD par mois, soit 7,5 milliards USD par an pour la province. Où vont alors les recettes de notre pays? La vente de l’énergie à l’extérieur du pays ; les recettes douanières dans toutes nos frontières ; les contributions des sociétés minières, des sociétés pétrolières, des sociétés de communications pour ne citer que celles-là. Il est temps de faire preuve de bonne volonté politique pour que la population puisse jouir les richesses de son beau pays. Le projet de budget 2014 présenté au parlement, sans rapport d’exécution du budget 2013, ne reflète pas les potentialités de la RDC pour relever les défis de la reconstruction du pays. Comment peut-on prétendre accroitre les recettes de l’état dans notre pays sans la politique de moderniser le système de contrôle financier pour combattre la corruption, la fraude douanière, l’évasion fiscale et la persistance des invisibles dans la taxation à ciel ouvert. Force est de constater qu’en RDC les acteurs politiques impliqués dans des scandales financiers ne sont jamais traduits en justice et aucun audit financier sur les soupçons graves de détournements des deniers publics est initié. C’est paradoxal que le chef de l’Etat dans son dernier discours en réponse aux recommandations des concertations nationales, avait lui-même demandé au Parlement et aux Assemblées provinciales d’exercer leur contrôle parlementaire avec rigueur. Au regard de nombreux défis à relever, le Parti National pour la Reforme (PNR) réitère: 1) La nécessité d’améliorer le système contrôle budgétaire et revenues pour accroitre le budget national avec les mêmes recettes qui continuent d’échapper le trésor publique. 2) La volonté politique pour penser stratégiquement et différemment, de façon créative en intégrant efficacement les nouvelles technologies dans l’action gouvernementale. Thinking outside the box! La modernisation du système financier s’autofinance. Si le système marche ailleurs, pourquoi pas en RDC. Ensemble la Réforme est possible pour un budget national pour Tout Congolais. Delphin KYUBWA Président national du PNR