Police !


La police a été la cible de beaucoup de critique à Bruxelles (Belgique) depuis le week-end dernier.  Qu’en est-il de la police de Limete à Kinshasa (République Démocratique du Congo) ?  Cela étant, à qui confier les étrangers en séjour illégal ?  Peut-on raisonnablement renvoyer des illégaux vers la RDC !  Comment sauver les vies en danger ?

[20:45:22] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: BREAKING NEWS RDC : La Police Congolaise au Cœur d’u réseau de trafic d’organes humains.

C’est un véritable film d’horreur qui se déroule dans les cachots de Kinshasa, particulièrement ceux de la Police –Echangeur/Limeté. Des détenus sont abattus comme des animaux, les cœurs, foies, et autres organes emportés. Certains policiers au sein de l’unité d’intervention de la Police Echangeur/limete ont délié leurs langues : « c’est qui se passe ici est inhumain, sur ordre du général, le Major Kasonga exécuté chaque jour à partir de 23 heures, les détenus. Ils sont attachés par des cordes, c’est avec une grosse barre de fer, que ces gens là sont achevés. Ensuite leurs corps sont coupés en morceaux pour une destination inconnue ». Notre équipe a aussi recueillie des témoignages de certains détenus dans les cachots de Limete Echangeur : « la nuit, le major Kasongo ordonne à ses éléments d’augmenter le volume de sonorisation de musique. C’est sous les décibels des chansons COUPER –DECALLER que ces jeunes sont exécutés. Leurs corps sont ensuite charcutés, la suite on ignore ». Certains corps ont été découverts, mutilés et dépourvus des organes génitaux, très convoités par les trafiquants d’organes. c’est d’ailleurs l’une des raisons du renforcement de sécurité au Beach Ngobila.

L’Interpol, les organisations criminelles internationales ont repéré depuis un certain temps à Kinshasa, la montée de ce trafic. . Des humains sont vendus comme pièces détachées pour répondre à la demande de riches malades en attente de transplantations d’organes. Dans les différents cachots de Kinhsasa, Mabanga à Ndjili, Kilo Maze 300 à l’IPKIN, Commissariat Général, Limete /Echangeur, les autorités policières maintiennent en détention, en garde pendant des semaines les potentiels candidats au trafic d’organes humains.

Un rapport de 628 pages de la CPI contre le Général Kanyama.

On parle de quelques 628 pages de rapport d’enquêtes préliminaire élaboré par les agents de la CPI, présents à Kinshasa depuis plusieurs semaines. Ces enquêteurs, accompagnés des membres des organisations des droits de l’homme (ASADHO, RENADHOC, VSV, Les amis de Nelson Mandela) vont auditionner ce lundi 17 février certains officiers de la Police Nationale Congolaise-Ville de Kinshasa. L’un de ces officiers, le Major Kasongo serait déjà aux arrêts pour enlèvement, disparitions et assassinats de détenus, les nuits du 10- 11 -12 13 février dans le cachot de la Police/Échangeur –Limete.
 
Plusieurs Chefs d’accusations contre le Général KANYAMA CISHIKU, matricule 33512/A et ses coïnculpés :

– Colonel NAWEJ PALANGA Elvis, matricule 14911/A
– Majorl KASONGO MPIANA
– Colonel SAÏDI MATHE
– Colonel KILUKU Petit Jean
– Colonel NINA Mardoché
– Colonel KALENGA Thierry
– Colonel Francis LUKESO

Ces officiers de la Police Nationale sont accusés des Chefs de : Homicides volontaires et involontaires, destruction des biens publics et privés, vol et recel de vol, coups et blessures volontaires, violations des domiciles, enlèvement et séquestration des personnes, exécutions extrajudiciaires, dissimulation des corps.

Dans un communiqué conjoint publié hier mercredi 27 novembre 2013, la Monusco et l’Unicef avaient dénoncé les exécutions sommaires et extrajudiciaires contre des jeunes et enfants délinquants à Kinshasa, communément appelés  » Kuluna  » par les forces de défense et de sécurité. Ces deux agences des Nations Unies affirmaient avoir reçu des rapports préoccupants faisant état de disparations et d’assassinats de jeunes et d’enfants dans certaines communes de Kinshasa.

14, 15 et 16 février à Bruxelles


Ba ndeko congolais bo landa vidéo oyo, ezali préparatif ya ba actions du 14, 15 et 16 février 2014

Chers compatriotes

Le Congo est majoritairement chrétien càd 80%  des congolais sont chrétiens.

Le 16 février 1992, les chrétiens sont sortis dans les rues pour demander  la démocratie et leurs droits mais ils ont été  massacrés par le gouvernement dictatorial de l’époque.

Chaque année et aujourd’hui encore nous commémorions  ces morts pour que cela ne se répète plus.

Ce qui m’étonne , ce sont les autorités des églises chrétiennes actuelles et  les fidèles ne veulent plus  se souvenir de cette date et ne veulent plus en parler  et pourtant les massacres des chrétiens continuent jusqu’aujourd’hui par exemple la mort de monseigneur Kataliko, le pasteur lukusa etc… qui réveillaient les congolais pour la libération du Congo, aucune autorité chrétienne ne parle  de ces pauvres gens morts pour le Congo sauf nous casser les oreilles  pour la dîme, du paradis et de la sexualité.

Nous demandons à toute les autorités chrétiennes et leurs fidèles à venir  dans cette grande manifestation qui sera le 16 février 2014 à Bruxelles de la gare du Nord  jusqu’à la gare du Midi , à venir  prier ensemble avec nous.  Dieu n’est pas seulement dans les temples et les églises , il est aussi dans les rues.

Ba chrétiens ya mikolo oyo mitema mabé, bakanisi tango ba ko kota na ba églises na bible na mapeka  nde bango ba ko kota  Paradiso. Bolingi kolobela massacre te na ba viols oyo ezali kosalama na Congo. Bolingi kaka Nzambe atala kaka souffrance na bino personnels, apesa kaka bino bomengo, akotisa bino na paradiso.  Non, non, non ! Na banzi ezalaka boye te ! Nzambe ayokaka boleli ya mboka , boleli ya batu nionso,  nde asalisi mboka ebonga sima nde  atali cas par cas.

Yango wana ba ndeko chrétiens boya bino nionso le 16 février 2014  na Bruxelles, gare du nord  mpo to sambela biso nionso elongo na ngonga ya  13h.  Boya kotinda losambo !

Sources : Likembe, Skype

Combattants et résistants à Bruxelles


1er CONCLAVE  MONDIAL DES FORCES VIVES COMBATTANTS – RESISTANTS DE LA DIASPORA CONGOLAISE A BRUXELLES
                        DU  14 AU 15 FEVRIER 2014.

Lieu:  Auberge de la jeunesse Jacques Brel
         Rue sablonnière  N° 30 à 1000 Bruxelles
        (Non loin de la sortie du Métro Madou à côté de la poste)

Clôture le 16 février 2014 par une méga manifestation commémorative des  morts chrétiens congolais tués le 16 février 1992 et de tous les martyrs congolais tué pour le Congo.
Lieu: Porte de Namur à 13 h

Venez nombreux avec des amis, la famille etc…   INGETA !

Faîtes circuler le message ! Partagez !

(Source : likembe, Skype)

Western Union : de 10 à 5 dollars…


La seule réunion organisée par les « combattants » et « résistants » congolais de Bruxelles a suffit à baisser le coût du transfert de 100 $ de Bruxelles à Beni de 10 $ à 4,80$.  C’est une hypothèse de travail à vérifier.  Nous pouvons en conclure que beaucoup de résultats pourraient s’obtenir par une lutte démocratique de plus grande envergure.

En effet, le 5 février dernier, les combattants et résistants de Bruxelles ne sont pas descendus dans la rue.  Ils ont réunis les congolais autour d’une table, démocratiquement, dans la commune d’Ixelles.  Le but était d’examiner, ensemble, comment nous pourrions agir sur ceux qui maintiennent l’imposture de Joseph Hyppolite Kanambe au pouvoir.  Cela contre la volonté des congolais qui reclame encore timidement “la vérité des urnes”.

Or, voici bientôt 14 ans que nous sommes en train d’inviter les congolais à s’asseoir autour d’une table.  Ce concerter pour examiner quoi faire de notre Congo et comment le  comment tenir le taureau par ses cornes avant de le renverser par terre.  Personne ou presque n’a répondu jusqu’à présent.  Les récents articles de ce blog montrent clairement comment les ennemis de la RDC en profite pour tenter de nous décimer et de nous voler davantage.

Si cette hypothèse de travail s’avère correspondre à la réalité, il faudra en conclure que les résolution du forum susindiqués entreneront des grands changements très bientôt dans l’espace économique international.  Il aura suffit d’y penser ; mais cela ne suffit pas.

Nous sommes en effet le 1er mars et les consignes clairs entendus ne sont pas encore là.  Pendant ce temps, comme l’indique nos livraisons ci-dessous, des congolais et étrangers meurent sur notre territoire arbitrairement.  Nous disons que cela est inacceptable.  Notre peuple doit se lever pour prendre en main la direction de notre destinée.  Nous nous sommes proposés.  A une condition : la rédaction en ligne et le test sur terrain, d’un projet de société qui soit le plus démocratique que la RDC ait jamais connu.  Rappelons-le, deux personnes seulement ont tenté une participation…

Que voulons nous faire du Congo que Lumumba et plusieurs autres congolais ont payé du prix de leur sang ?