On doit connaître le pourquoi et le comment de [la] caisse vide. (Votre réaction à un relent dictatorial et terroriste… Si nous voulons aller vers un état de droit et vers la paix, la traduction des personnes en justice ne doit pas se faire dans les conditions présentes où le peuple est divisé en trois parties fortement surchauffées : les fidèles au régime de Kinshasa, les rebelles contre ce régime et les opposants au régime. Ceux qui veulent la paix et la prospérité n’agiront pas contre la volonté du peuple et surtout pas par l’entremise des personnes dont la probité morale est déjà mise en cause par une frange importante des congolais ! Sinon, c’est déclarer un guerre contre le peuple ; et, nous savons qui finit par gagner cette guerre là.).
Un avocat de la République est différent du procureur de la République. Le premier exercice [exerce] une profession libérale (Il est donc payé par l’État, avec l’argent du contribuable congolais…) et le second est un magistrat de grande instance (Que veut dire ce terme barbare pour le citoyen qui nous lit ici ? Retenons l’essentiel : est-ce qu’on bypasse les fonctionnaires pour se servir des mercenaires, avec l’argent du contribuable congolais, en brandissant l’état d’urgence auquel nous, ituriens, nous opposons dans la grande majorité, à moins que nous investissions dans la démagogie ?). Dans l’État de siège, tout est spécial (Le pouvoir tente de museler les citoyens par ce mot creux : « spécial ». Que veut-il dire exactement ? Est-il un fait congolais ou colonial ? C’est le moment que la République s’arroge le droit de faire n’importe quoi contre n’importe qui, contre le bon vouloir du peuple ! Ituriens : ne nous laissons pas dominer, subjuguer par les bandits politiques avérés qui ont déjà arraché de force le pouvoir du peuple depuis 1960.
Nous, Ituriens en quête d’une indépendance réelle et totale du Congo, sommes en guerre contre le pouvoir en place à cause de son colonialisme ignoble ; et cette guerre va être rude, d’autant plus rude que les rebelles s’y mêlent depuis 6 décennies.). Pas d’humunité [d’imunité], les matières répressives sont traitées devant les juridictions militaires (Pour éliminer les ennemis politiques rapidement… Nous vous avons à l’oeil, vous qui soutenez de telles pratiques dictatoriales, diaboliques, satanistes !). Par une plainte, l’avocat de la République peut, muni d’une procuration spéciale (Encore une fois : tout est spécial et échappe complètement au citoyen lambda que les intellos traitent avec dédain !) émanant de l’Etat (Qui précisément ? Nous traitons d’un cas concret et pas théorique, académique. Qui se plaint de la situation de la trésorerie provinciale, de quel droit et comment ? Dans cet état de siège les Ituriens n’ont plus le droit de le savoir ? À moins que celui qui se cache derrière l’avocat de la République croie qu’avec le « Tout est spécial », il lui soit tout permis ! Le peuple d’abord deviendrait-il donc le pouvoir d’abord ? C’était connu avant que le Président n’arrive au pouvoir. Rassurez-vous. Nous avions prévenus sur ce même site…), initier une action contre toute personne (Dont on oublie qu’il a des arrières, qui ne se laisserons pas faire, qui basculeront dans la rebellion, bien souvent et qui rajouteront à l’insécurité.). Il faut peut-être vérifier si la procédure était respectée ou pas que de condamner avant (Ah, bon ! Vous me semblez être au pif de ce qui se passe et y adhérer. Dites-nous si oui ou non la procédure a été respecté et où les Ituriens peuvent prendre connaissance de cette procédure qu’on lui cache ! Que les juristes de ce groupe ait l’amabilité de nous poster la procédure que doit suivre l’avocat de la République afin de nous assurer qu’il ne soit pas un zélé de plus !). Nul n’est au dessus de la loi (Non, mon frère ! Personne n’est obligé de se plier à une loi injuste. Le devoir de tout citoyen est de défendre la patrie contre toute personne ou groupe de personnes qui voudraient s’arroger de le droit de soumettre le souverain primaire. La loi n’est pas au-dessus du peuple. Le Président de la République s’est arroger le droit de soumettre les peuples du Nord-Kivu et de l’Ituri. Nous lui dirons NON jusqu’à ce qu’il nous extermine tous. Sa mesure partisane, satanique est inacceptable par essence. Nous ne sommes pas les valents du Président. C’est lui qui est notre serviteur et non pas l’inverse. Beaucoup ont tendance à l’oublier. Et quand on est un alur qui se respecte, on ne devrait pas tomber dans ce panneau là. Nous sommes une culture de liberté, de débat et de respect mutuel. Si le Président de la République ne nous respecte pas, il montrera par son attitude qu’il a du mépris pour nous qui lui avons confié le pouvoir ou qui le tolérons à un pouvoir usurpé d’un autre citoyen congolais… Qu’on se le dise. Arrêtez-moi, si je me trompe.).
Peuples ituriens et nord-kivutiens,
Nous devons nous serrez les coudes pour débouter, légalement, le Président de la République, l’auteur de l’État d’urgence qui rajoute à la colère des rebelles plus tôt que de susciter chez eux une confiance en l’État qui les amène à rejoindre une opposition pacifique, démocratique, civilisée, pouvant nous permettre d’espérer un jour le droit à la paix !