katumbi1, 10:35
Cher compatriote, votre question suppose un préalable. C’est celui-ci : sommes-nous sincères et honnêtes dans cette dynamique ou opportunités ? Ensuite, cherchons-nous les compétences et les personnes ayant des valeurs ou non ? Lorsque l’on répond de façon véridique à ces questions, on a plus de chance d’avoir des profils des personnes qui seront engagées pour le redressement du pays. Mais ne nous leurrons pas des couacs, il y en aura toujours, mais ils seront considérés comme des anomalies et punis par la loi…
Graphèle, 13:36
Dans le Projet 2014, nous ne nous posons pas de telles questions que nous avions déjà dépassées avant d’initier ce projet-ci.
De 1976 à 1999, nous avons eu 23 ans pour beaucoup apprendre sur notre gente congolaise ; surtout, sur le politique congolais, eu égard au fait que nous descendons d’un membre du PNP.
Le Projet 2014, nous l’avons voulu un lieu de rencontre de congolais qui veulent pondre un projet de société en le testant sur terrain et pas un lieu de rencontre pour discuter de la valeur du patriotisme.
Nous nous posons ici la question de savoir comment nous purifier et non celui de savoir si nous sommes impurs !
En effet, nos aïeux ont tué, tenu en esclavage, trahi leus congénères, colonisé d’autres peuple, avant l’arrivée du maudit belge, cet execrable occidental.
Sous le poids de la culpabilité, ce dernier s’est caché derrière nos démons à nous, depuis 1960 ; démons qui sont réapparus, eux qui travaillaient de mèche avec nos néo-colonisateurs – en réalité.
Aujourd’hui, pour nous, la question n’est pas de choisir entre la peste et le choléra : c’est chercher le renouvellement, la régénération du congolais, partant du fait qu’Adam est-une créature de raison, d’esprit, divine…