La présence d’opérateurs étrangers dans le pays, tout comme celle de militaires étrangers n’arrange rien. Le pays est saigné à mort.
Avec le Président Tshisekedi, certains avaient de l’espoir. Il fallait lui accorder 100 jours pour vour le début du changement.
Bientôt, nous auront totalisé les 100 jours. Tout indique déjà comment les 5 ans seront si les congolais ne corrigent pas eux-mêmes leur faute : accepter le 4ème coup d’état dans RDC.
Mais comme Tsisekedi ne peut être comme Kabila, le temps passant, l’amitié entre les deux hommes ira s’amenuisant, Tshisekedi étant obligé de suivre deux maîtres à la fois : Kabila d’une part et les membres de l’UDPS et alliés d’autre part.
Tshisekedi est déjà, pour cette raison, le commissaire de police en face d’un assassin armé.
Le premier qui tire, abattra l’autre : politiquement ou physiquement, dans le Far West congolais.
[4/4, 14:24] Inconnu 31 :
Bonjour Professeur. Il me sied de vous signaler que je suis de nouveau en ligne.
[5/4, 10:00] Paluku-Atoka Uwekomu:
Un instant.
À qui j’ai l’honneur ?
[5/4, 10:23] Paluku-Atoka Uwekomu :
Il vaut mieux écrire. Je vous attends difficilement ; vous ne m’entendez pas !
Les ingénieurs congolais n’ont pas encore décidé de mettre de l’ordre dans leurs circuits.