Tel que reçu du groupe du projet 2014 sur WhatsApp.
Certains ce sont compromis lourdement en RDC. Ils commencent à craindre tout. Nous pensons que ce soit trop tard pour bon nombre d’entre eux ; pour ne pas dire tous.
La diaspora, une certaine diaspora, peut aider. Elle doit mettre un projet de de société transitoire en route, pour un travail structurer.
Jeune Afrique
Le tribunal de l’Union européenne a rejeté le premier recours introduit par huit officiels congolais et proches de l’ancien président Joseph Kabila, sanctionnés pour « graves violations des droits de l’homme » et « entraves à l’organisation des élections ». Deux autres recours sont en cours d’examen.
Les huit officiels congolais proches de Joseph Kabila resteront sous sanctions européennes. Le tribunal de l’Union européenne (UE) a rejeté le 26 mars le premier recours introduit par ces personnalités. Il s’agit d’Emmanuel Ramazani Shadary, ancien vice-Premier ministre et ex-ministre en charge de l’Intérieur, de Lambert Mende, ancien porte-parole du gouvernement, Évariste Boshab, ancien ministre de l’Intérieur, Kalev Mutond, ancien administrateur général de l’Agence nationale de renseignements (ANR), Jean-Claude Kazembe, ancien gouverneur du Haut-Katanga, Alex Kande, ancien gouverneur du Kasaï-Central, et des généraux Akili Muhindo Mundos et Éric Ruhorimbere.
Sanctionnés pour « graves violations des droits de l’homme » et « entraves à l’organisation des élections », ces officiels avaient contesté la légalité des sanctions décidées en mai 2017. Quatorze officiels congolais sont aujourd’hui concernés par ces sanctions de l’Union européenne, qui incluent notamment le gel des avoirs et l’interdiction de voyager dans un pays membres de l’UE. Elles ont été renouvelées en décembre 2018 malgré les fortes pressions du gouvernement de l’époque, qui avait dénoncé une « décision injuste ».
Deux autres recours en examen
Selon la défense des officiels congolais, deux nouveaux recours ont été introduits dont l’un, depuis décembre, au moment du renouvellement des sanctions. Dans celui-ci, c’est le fond du dossier qui est attaqué et non la procédure.