- 24 élèves maximum par salle.
- Des tables et non pas de bancs.
- Des concours inter-écoles pour démasquer les enseignants médiocres.
- 7,50€/h nets pour l’enseignant.
- Prise en charge de tous les frais scolaires par la collectivité via les impôts, les taxes…
- Enseignement disponible à 1,5 km maximum du domicile de l’apprenant du primaire et du secondaire. [Se reporter au point 11 ci-après.]
- Obligation scolaire jusqu’au graduat (21 ans).
- Quadrimestrialisation de l’enseignement : 3 mois de cours, 1 mois de vacances sans session à préparer.
- Séparation de la fonction enseignante de celle d’évaluation.
- Une qualification au moins au sortir de l’enseignement obligatoire.
Etc.
Voilà notre proposition dans le projet 2014 !
Qui prend le temps de nous écouter ?
C’est ce que nous écrivions en 2019.
Deux ans plus tard, ce 25 août 2021, force est de nous rendre compte que le Congo a du potentiel énorme, mais manque cruellement de patriotes, du leadership. Dans le domaine de l’enseignement, l’intelligentsia congolaise démissionne gravement. Il faut donc revoir nos exigences à la hausse pour aider notre chère patrie à aller de l’avant.
- 24 ans d’obligation scolaire sur toute l’étendue du pays et obligation de travail dès 25 ans, même pour les apprenants – à horaire décalé, en modification au point 7.
- Un moratoire de 3 ans pour la qualification de tous les travailleurs et chômeurs actuels qui ne le sont pas encore, par une formation qualifiante à horaire décalé.
- Deux cycles de 3 ans dans chacun des niveaux primaires, secondaires et universitaires.
- 2ème cycle du secondaire nécessairement qualifiante : les sections mathématiques, physique et chimie (séparées) offrant des formations d’assistant de laboratoires de mathématiques, de physique et de chimie, par exemple ; les sections biologie, zoologie, botanique, agronomie, vétérinaire (séparées), formant dans l’aide soignante aux humains, animaux et plantes, par exemple.
- Test d’un parcours rapide pour apprenants dits motivés ou surdoués : 5 ans par niveau, du primaire, jusqu’à l’université.
- Création de nouveaux ingénieurs dans les savoirs généralement réputés non-« technologisables ». Tels que la linguistique, la psychologie, le droit, la sociologie, etc.