Nous devons bien lire ce qui nous parvient par la presse : nationale et internationale.
Cet article ne nous avance pas à grand chose. Nous savons qui nous avons majoritairement élu. Nous savons aussi que Kabila se bat pour sauver sa peau et qu’il est en mesure de vous vendre pour cela : même ses frères et soeurs.
Nous ne pouvons pas connaître l’information glaner par l’église catholique du Congo. Nous savons pour quelle raison est gardée cachée. Comme en 2006 et en 2011…
Quand on veut aider un peuple ami à se prendre en charge, on lui fournit toute information que cache son ennemi que l’on détiendrait. On ne le cache pas. C’est notre culture et nous pensons que ce soit là un valeur. Les catholiques tout comme les EUA, s’ils nous aiment, mettraient sur la place publique tous les résultats qu’ils posséderaient ; d’autant plus qu’ils nous sont forcément favorables, nous, peuple congolais, qui avont clairement choisi Martin Fayulu Madidi ; peu importe la valeur de notre choix aux yeux de tel ou tel autre peuple de la terre.
Au projet 2014, nous constatons que les imposteurs de l’opposition, encore une fois, n’ont pas les résultats des votes, faute de ne s’être organisés, faute de ne s’être préparés.
Comment de tels hommes nous permettront-ils d’atteindre la paix et l’enrichissement ?
Il est temps que le peuple congolais comprennent que gagnant ou pas, Fayulu ne démontrer une capacité d’organisation qui soit encourageante.
Il faut donc absolument s’attendre à ce que lui aussi, une fois au pouvoir, fasse exactement la même chose que son prédécesseur pour s’asseoir au pouvoir par la force. Tout en effet indique déjà qu’il ne sache pas organiser sa troupe. Pour nous, son choix d’aller aux élections organisées par des bandits politiques, sans ses autres compatriotes, sans mandat de la population, poussé par des étrangers à notre destin, se désolidarisant de ses propres frères du Bandundu, était la preuve par quatre qu’il n’aimait pas le Congo, qu’il ne cherchait que sa propre gloire ; sinon, qu’il ignorait complètement les vrais enjeux géopolitique de notre pays. Qu’est-ce à dire pour l’essentiel ?
1. Nous n’avons pas encore les leaders qu’il nous faut.
2. Nous devons tout à la fois veiller à ce que Kabila parte et à ce que nos leaders soient remplacés par de bons.
3. L’heure est au travail et non pas à des fêtes prématurées, distrayantes, non-réjouissantes…