Un des chefs des éleveurs qui se déplacent dans le Kwango serait plutôt un véritable commando. De là, facile à comprendre que ces éleveurs soient armés ; mais difficile à saisir que les congolais ne veuillent pas ou ne pensent pas à s’armer. À la place, dans le Kwango, un des nôtres, parlementaire de sont statut social, mise sur nos flèches pour contrer les grenades et les kalachnikovs.