Cette livraison part d’une discussion lancée par un ami Facebook : https://www.facebook.com/gerlo.bwanandeke?sk=wall. Nous la reprenons ci-dessous avec quelques corrections orthographiques et syntaxiques.
Aidez-moi sur [dans] cette réflexion : selon vous, où vont les morts ?
Commentaires
- Nulle part. Les morts ne sont plus. Ils redeviennent poussière, une matière inerte. Il n’y a pas de souvenir pour eux…
- Au sein de Dieu : comme dit d’Abraham dans les Évangiles.
- Au purgatoire : en attente du passage au royaume de Dieu, après expiation de leurs péchés. Un univers nouveau où règne le Créateur des cieux et de la terre ; ou bien, en enfer, un monde réservé aux incrédules.
- Dans une autre vie terrestre : en fonction de leur perfectionnement pendant leur vie antérieur. Être supérieur, angélique, après une vie de bonne moralité ; ou bien, être animal, après une vie négligée ou méchante.
- Dans le monde invisible (les esprits, les revenants) : tout en gardant une relation permanente avec les humains du visible, humains qu’ils châtient ou protègent en fonction de leurs humeurs.
- Etc.
La question la plus intéressante serait de dresser un tableau des points forts et faibles des croyances des uns et des autres. Dans le but d’aider les vivants à ne pas se faire des illusions, dans l’hypothèse généralement admise que la Vérité soit unique et pas plurielle !
Ce tableau, les philosophes, les scientifiques l’alimentent d’arguments plus ou moins connus. Cependant, presque tous présentant des faiblesses que les niais se refusent d’admettre et les paresseux de criquer, de confronter. Parlons-en systématiquement pour aider nos lecteurs à s’élever spirituellement, scientifiquement, moralement ! En effet, nos croyances sur la vie ou la non-vie après la mort influence beaucoup notre comportement.
Une personne qui a la crainte de l’enfer et l’espérance du ciel, nous voyons bien que sa vie devrait bien avoir un autre sens que celui qui croit à la finitude et à l’unicité de la vie. De même, celui qui croit à la réincarnation, ne vivra pas de la même manière que celui qui croit à l’au-delà des esprits (monde invisible) en contact, en interaction majeure avec notre monde des visibles.
Ceci ne fait que jeter le décor du travail à ne par refaire, mais à améliorer, parce que tout cela se trouve dans des livres que nous n’aimons pas lire ; par paresse ou par défaut d’instruction sur ce que sont nos intérêts humains.