[03-12-13 15:59:31] JS : ça fait un bail Graphèle ! Comment évoluent les évènements là chez vous ?
[17:07:06] JS : bonjour ! Comment avancent les jours ? Avez-vous rétabli votre connexion Internet ?
[17:07:47] GPAU : Oui !
[17:08:29] GPAU : Je vais au tribunal de paix contre Belgacom qui se joue de mes pieds : il n’a pas encore rétabli mes services.
[17:08:57] GPAU : J’ai donc pris une connexion provisoirement, chez Base.
[17:09:08] JS : Ah ! C’est vrai, ça ?
[17:09:55] GPAU : Je suis même en train de me demander si ce ne sont pas des ennemis politiques qui organisent ces tracasseries…
[17:10:15] GPAU : Dis-moi, JS, que faisons-nous pour notre terroir ?
[17:11:34] GPAU : Il faut que nous mettions la jeunesse aux études et ce qui sont au-delà de 21 ans, qui préfèrent travailler, aidons-les à trouver du travail : un travail qui paie bien !
[17:11:44] JS : suite à votre absence, mes collaborateurs ont commencé à désespérer
(…)
[17:13:29 | Edited 17:14:48] GPAU : Ah non ! Pourquoi ce découragement avant même d’avoir fait quoi que ce soit ?
[17:13:56] JS : non
[17:14:10] GPAU : « L’âme abattue est celle qui mourra ! » Donne-leur ce conseil précieux pour la vie privée et collective !
(…)
[17:41:21] GPAU : Comme la guerre va continuer de plus bel – à mon avis, il faut se mettre dans les conditions de quitter le pays assez facilement si l’on devait y être obligé.
[17:42:31] GPAU : Si aujourd’hui les choses bardent, tous ces expatriés que vous voyez là emporteront leurs butins (argent, femmes et enfants) et vous laisseront à votre triste sort !
[17:43:31] GPAU : Soyons donc prévenant, Joseph et n’oublions pas les expériences positives et négatives du passé qui peuvent nous servir énormément !
[17:47:08] GPAU : La guerre ne sera pas encore fini tant qu’il y aura des congolais (vrais ou faux) mécontents, parce qu’ils se considèrent ou qu’ils sont réellement brimés, pas écoutés, méprisés, persécutés, déconsidérés…
[17:47:34] GPAU : N’écoutez pas le « Président » de la République, le premier ministre et le président du parlement qui vous trompent tous.
[17:53:21 | Edited 18:19:33] GPAU : Le nombre de fautes politiques qu’ils ont – tous – commises est tel qu’ils ne peuvent plus savoir redresser le pays : il faut absolument, impérativement, d’autres gestionnaires, patriotes, pour mettre le pays sur les rails !
Kongo ya Sika est un cadre politique formel, que nous avons créé avec 4 autres amis, pour nous aider à identifier et mobiliser ces hommes, à les former, à les organiser ; à la condition que vous et moi, congolais, puissions décider une fois pour toutes de nous prendre en charge et de déterminer nous-mêmes notre destin, avec l’aide du seul Dieu juste, vrai, fidèle et fort que je connaisse !
La grande question que d’aucuns, en quête de l’indépendance véritable du Congo, se poseront est : comment Kongo ya Sika attend-il procéder et pourquoi faut-il que le congolais lui fasse confiance, ce nième parti dans l’espace politique congolais ?
[18:22:30] GPAU : Notre réponse se résume en deux points :
(1) Kongo ya Sika n’est pas un parti politique comme les 400 autres. Pour s’en convaincre : lisez tout simplement ses statuts. Vous y noterez le degré de patriotisme, d’excellence et de démocratie exigé des membres. Vous vous convaincrez alors de sa capacité à transformer RADICALEMENT le visage politique du Congo-Kinshasa.
(2) Les membres de Kongo ya Sika ne sont pas des acteurs politiques comme les autres. Ils sont liés par un engagement politique écrit (le projet de participation) à servir la nation congolaise de la meilleure façon dont ils sont capables ; en toute liberté, indépendance d’esprit et avec un sens de responsabilité rare ailleurs. La lecture de notre règlement d’ordre intérieur permet de vite s’en rendre compte. Tous ces membres ne battent pas l’aile en vain : ils sont guidés par un plan précis qui les oblige (1) au résultat, (2) à la démocratie et (3) à l’humanisme. La lecture de notre projet de société permet de s’en persuader. Bien plus, tous les membres passent par une formation politique et administrative dans les six premiers mois de leur adhésion, au risque même de se faire éjecter du parti s’ils ne démontrent pas dans les faits de leur engagement à divorcer d’avec la médiocrité. Enfin, les traitres ne peuvent survivre dans la barque Kongo ya Sika.
Voilà, pourquoi et comment, cher JS, je m’y prends pour construire ma première cellule de travail dans Kongo ya Sika, en sollicitant des congolais comme toi.
