Les relations RDC-Belgique : quel avenir à cette allure ?
Nous avons plusieurs fois et désespéremment annoncé à nos ministres belges qu’un soin tout particulier devait être accordé aux relations entre la Belgique et la République Démocratique du Congo (RDC), parce que beaucoup de potentialités restaient encore à exploitées et que l’intérêt de deux parties à améliorer ces relations n’était pas à démontrer. Nous avons toujours souligné que des rapports de colons à colonisés n’apporteraient rien de bon. Nous avons enfin toujour indiqué qu’il était insensé et suicidaire pour la Belgique de penser que les congolais ne se rendaient pas compte de la manière colonialiste dont ils sont souvent traités par quelques personnalités belges.
Du côté congolais, nous stigmatisons chaque jour les complexes de supériorité et d’infériorité dont plusieurs souffrent et qui tendent à conduire plusieurs à rejoindre les thèses d’Al Qaida. L’islamisation du congolais, son investissement dans les religions congolaises, de type bokokiste, ne sont pas non plus la solution. L’invitation au courage politique, qui permette un exament serein, une discussion franche et une résolution réelle et définitive des paumes de discorde qu’il y a entre la RDC et le Royaume de Belgique, est plus qu’indispensable pour que de part et d’autre nous ne continuions à subir des pertes et à hypothéquer l’avenir de nos progénitures.
Les choses ne s’arrangent pas comme nous le montre la séquence suivante :
