ÉNERGÉTIQUE


[1/12, 18:04] +41 79 832 68 71:

Le désenclavement de la Cité de Nkamba et ses extensions: un projet ambitieux de l’ingénieur Rémy Luvumbu mis sur orbite

https://lebarometre.cd/2025/01/10/le-desenclavement-de-la-cite-de-nkamba-et-ses-extensions-un-projet-ambitieux-de-lingenieur-remy-luvumbu-mis-sur-orbite/
Rédaction :+243844318377,+243998204619


[1/15, 10:10] +32486741704

Nous avons un problème d’hommes qui reste irrésolu en RDC.

Nkamba n’est qu’une cité parmis des milliers de hamaux, de cités, de villes et d’agglomérations non desservies ou mal desservies en eau et en électricité.

Les niveaux spirituels, moraux, intellectuels, techniques, politiques, de notre population, reste encore très bas. Les conditions minimales d’un développement endogène, intégré et intégral sont loin d’être réunies.

Si nous prenons qu’il nous faille un expert congolais de chaque spécialité, pour chaque pool de 10.000 habitants, il nous faudra 10.000 dans le pays de près de 100.000.000 d’habitants que nous sommes.

Depuis 1960 à 2025, nos institutions d’enseignement devraient en pondre 155 chaque année, en moyenne. Personne ne veut travailler cette question de la sorte, dans nos ministères en charge de l’instruction, de la formation, de l’éducation, de la professionnalisation.

En électricité, pour avoir 16 kW/habitant installés, il nous faut un total de 1.600 GW. Notre réserve hydroélectrique, déclarée par la SNEL, n’atteint pas le trentième de nos besoins. Le disponible, n’atteindrait pas le centième (500ème, https://zoom-eco.net/nation/rdc-energie-electrique-le-pays-utilise-2-100-mw-sur-les-2-800-mw-de-capacite-installee-officiel/).

Parlons de l’eau. Il nous faut pomper de l’eau. Plus de 0,800 m³/jour/habitant pour les ménages et les industries. Soient 80 millions de m³/jour. Nous n’en serions qu’à 1,33 millions (https://deskeco.com/2024/09/05/rdc-1-330-000-m3-deau-exploites-par-jour-en-deca-des-3-700-000-m3jour-de-la-demande-actuelle-teddy) !

Nous avons demandé d’intégrer l’ACIC pour participer. Nous avons été débouté, parce que nous ne sommes pas congolais.

Chers frères, le pays se meurt : levons-nous pour travailler.