1.000.000 ha : un projet inutile, sans lendemain ?


Nous y croyons

Nous recherchons des personnes qui croient en la création des couloirs agricoles de 8 km de largeur autour de toutes nos routes – 4 km à gauche et 4 km à droite – de toute route, pour créer une industrie agricole à 100% congolais et de la plus haute technologie, en commençant avec la houe, mais en visant une agriculture robotisée. Des personnes prêtes à cultiver, à financer ou à gérer les projets.

Nous proposons de commencer avec l’axe Butembo-Eringeti, Eringeti-Mahagi-Port et Ngote-Aru ; pour participer à la pacification, sans armes, de l’Est.

À l’Ouest, nous retenons Kinshasa-Bandundu Kinshasa-Matadi.

Parler du projet aux autochtones que vous connaissez ; qui désirent aller dans la direction de notre indépendance agricole et de l’enrichissement de nos paysans agriculteurs, pour faciliter la pacification véritable du pays que notre gouvernement a difficile à gérer avec ses amis étrangers.

Ceux qui quittent la communauté 1.000.000 ha : qui sont-ils, véritablement ?


Nous enregistrons soigneusement ceux qui quittent cette communauté et qui prouvent qu’ils n’ont jamais vraiment aimé le Congo. Autrement, pourquoi quitteraiennt-ils une communauté de ceux qui recherchent l’indépendance agricole du pays et l’enrichissement de nos paysans par eux-mêmes,  sans les armes ?

1.000.000 ha : sera-ce possible sans résilience ?


Qu’est-ce qu’est la résilience ? Pourquoi devons-nous la cultiver ?  Quel est le rapport à « 1.000.000 ha » ?

La résilience est la capacité d’une personne à surmonter les difficultés, les épreuves et les traumatismes de la vie, tout en retrouvant un état de bien-être. C’est un mélange de force intérieure, d’adaptabilité et de persévérance qui permet de rebondir face aux adversités. Elle ne signifie pas seulement « supporter » ou « endurer », mais plutôt de « revenir plus fort » après une période difficile.

La résilience peut être développée et renforcée à travers différentes stratégies, telles que :

  1. Maintenir des relations positives : Avoir un réseau de soutien solide peut aider à traverser des moments difficiles.
  2. Cultiver une attitude positive : Adopter une perspective optimiste peut contribuer à voir les problèmes sous un angle différent et à trouver des solutions créatives.
  3. Développer des compétences de résolution de problèmes : Être capable d’aborder les défis de manière proactive et logique.
  4. Gérer le stress : Apprendre des techniques de gestion du stress, comme la méditation, la respiration profonde, ou le sport.
  5. Fixer des objectifs réalistes : Savoir se fixer des objectifs atteignables et célébrer les petites victoires en chemin.
  6. Se débarrasser de la fausse religion : en finir avec la simplicité, la complaisance, la naïveté, la paresse physique, intellectuelle et sprituelle, la méchanceté suicidaire ; la malice l’obscurantisme, le snobisme, le mensonge béat, l’adoubement, déshumanisants et dégradants.

La résilience n’est pas une caractéristique, une qualité, innées que certaines personnes peuvent avoir et d’autres non. C’est une compétence, un avantage, que tout le monde peut cultiver et développer au fil du temps, volontairement, par l’exercice.


Dans le projet 1.000.000 ha, à billions de dollars annuels à terme, la résilience est plus qu’importante, pour remporter la bataille.

1.000.000 ha ?


C’est le projet que les congolais aiment le moins ; à se fier aux statistiques fournies.

[9/18, 11:03] Asbl Échanges Avec Extérieur: Il est très intéressant d’assister aux départs des « amis ».

Il sera plus rentable de participer à leur retour.

Vous qui croyez en ce projet : investissez-vous.

L’objectif est connu.
La stratégie à mettre en place ne  demande plus qu’un cadre.

Personnellement, je n’attends qu’un binôme pour commencer, dans ce cadre.

L’axe que je connais le mieux, c’est Butembo-Aru ou Butembo-Mahagi-Port ; ou alors, Kisangani-Aru ou Kisangani-Mahagi-Port.

Rappelons qu’il consiste à créer des couloirs de 8 km de largeur de champs et d’industrie alimentaire. 4 km de part et d’autre d’un axe routier donné. Objectif : donner du poids à l’agriculture congolaise. Nous, nous y croirons toujours.  Pourquoi ?

Maîtriser ces axes, c’est contrôler nos :

  1. Agriculture.
  2. Foresterie.
  3. Routes.
  4. Habitat.
  5. Énergie.
  6. Culture.
  7. Transport.
  8. Commerce.
  9. Minerais.
  10. Minéraux.
  11. Faune.
  12. Pharmacopée.
  13. Minorités.
  14. Chômeurs.
  15. Salaires.
  16. Sécurité alimentaire.

Etc.

Ce projet est conçu pour les amoureux du développement local, endogène, intégré et intégral. Ce sont les vrais hommes d’affaires. Ce sont aussi les chômeurs à la recherche de l’emploi ou en situation de création d’emplois. Ce sont les riches qui voudraient conserver leur avantage pécunier. Ce sont les pauvres qui refusent de rester à la traîne ou esclaves. Ce projet restera, demeurera donc incontournable en matière de développement local, national et planétaire. Il sera un divorce sans regret d’avec la manière archaïque d’entrevoir le développement. Il s’agit ici d’apprendre et de travailler tout le temps que l’on est valide, en visant l’excellence.

On peut commencer avec des collations de 100 €/mois/ménage (papa et maman). Mais, viser des salaires de 6.500 €/ménage à termes. Pour y arriver, il faut impérativement combiner le travail avec l’éducation. Nos paysans doivent travailler 4 heures par jour aux champs. Ils doivent aussi s’instruire, se former, s’éduquer et se faire coacher pendant 4 autres heures par jour. Cela garantira un développement harmonieux, sûr et durable.

Éviter de sombrer dans l’injustice sociale et l’esclavagisme, demande de prendre quelques dispositions. Tous les acteurs sociaux doivent participer effectivement à la gestion du projet. Le volet éducation du projet garantit ce résultat. La collaboration et la transparence permet également d’instaurer un climat de confiance, dès le départ, jusqu’à la clôture du projet. À la fin de chaque saison culturale, redistribuer les dividendes du projet équitablement permet de s’assurer d’une continuité paisible. De saison en saison, l’engagement ne fait alors que s’accroître et la rentabilité du projet également.

Notre expérience dans l’Ituri, permet de fournir quelques repères dans cette province. Il faut partir pratiquement d’une situation où tout le monde commence avec une collation. 10 €/mois pour chaque année d’études validée, par exemple. 60 €/mois pour un certifié du primaire. 120 €/mois pour un diplômé du secondaire ; et, 180 €/mois pour celui qui a validé 6 années d’études post-secondaire. Mais en même temps, éviter de sombrer dans les erreurs du passé. Il y a lieu de viser l’objectif d’un minimum de 3.250 €/mois dans les 24 mois d’un travail acharner. Pour ce faire, il convient de s’imposer une discipline de valorisation des salaires. Lier le salaire de chaque saison culturale à la performance des acteurs sur la saison. Ce qui veut dire, redistribuer le bénéfice net entre tous les acteurs en fin de saison. Cette manière de faire raffermira la confiance, créera de l’émulation et poussera à l’excellence.

Pour participer à ce projet, je pose ma candidature

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