UDPS et UNC


Frères,
C’est très urgent !
J’apprends à l’instant même que l’UDPS et l’UNC se sont coalisées pour prendre le pouvoir et nous imposer une union des peuples du grands lacs ou plutôt une communauté des Etats des Grands Lacs qui comprendrait le Burundi, le Rwanda, la RDC et l’Ouganda.  Ce serait le prix à payer pour avoir le départ de Kanambe et Kamerhe comme président au Congo, proprement.
Je ne crois pas en la valeur de cette coalition et je propose que nous fassions tout ce qui est de notre possible pour :
1° avertir les congolais de cette superchérie, si l’information que je viens d’avoir devait se confirmer
En effet, par le temps qui court, une telle communauté nous envera dans une autre insécurité de taille.  Pensez à tous les règlements de compte qui vont s’en suivre, avec Kamerhe comme président, lui, dont la congolité suscite pas mal de polémique dans le chef de nombreux congolais, avec raison, plusieurs points demeurant sombre dans son dossier !
2° proposer aux congolais une porte de sortie de cette prison dans laquelle la prétendue coalition UDPS-UNC voudrait nous maintenir, sciemment ou inconsciemment !
C’est urgent !  Nous devons faire la course contre la montre, avec Dieu à nos côtés, la victoire sera totale.
De 22 à 23 heures de Bruxelles, je vous convient nombreux (appeler « uwekomu » sous Skype) à une conférence-débat sur le thème :
« Et si c’était vrai que l’UNC et l’UDPS se coalisent contre le peuple congolais ? »
L’information vient de me tomber sur la table et je commence une campagne ce soir contre ce qui pourrait être, pour la RDC, un autre recul, une autre colonisation en plus.  Dès ce soir, Dieu voulant !

Tshisekedi ou Ngbanda (2)


Réagissant à un article posté ici précédemment (https://projet2014.com/2013/02/09/ngbanda-ou-tshisekedi-1/), Léon Tuken nous a fait parvenir sa discussion de la question.

Nous la publions telle quelle, sans délai.

Un article complémentaire nous est également parvenu que nous vous prions de parcourir à votre aise (https://projet2014.com/2013/02/17/tshisekedi-ou-ngbanda-3/).  Il se fera certainement le plaisir de répondre à toutes vos questions, dans un esprit constructif, pour notre victoire commune contre l’imposture.

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LA CRISE DE LEGITIMITE DU POUVOIR EN RDC

A. PREAMBULE

Dans la plupart des cas, les crises politiques liées à l´exercice du pouvoir se montrent plus virtuellement définies dans les contextes où, elles traduisent des visions de chaque acteur engagé d´une part, et leurs contradictions d´autre part. En d´autres termes, L´exercice du pouvoir politi-que devient une crise dénommée du genre dans la mesure où, la classe politique chevauche eperdument avec ses contradictions, qui se résument par l´expression de«  l´exercice du pouvoir pour le pouvoir et non celle de l´exercice du pouvoir pour la société´´: dans plusieurs pays du monde, cette motivation demeure le plus illustre élément de conviction dans la crise de légitimité du pouvoir.

En Afrique par contre, en marge de l´exrcice du pouvoir qui crée souvent la crise de légitimité, la mauvaise accession même au pouvoir en demeure le plus précieux produit politique, qui se vend à bas prix dans les intentions commerciales des acteurs,qui s´engagent à l´arraché vers la prise du pouvoir politique public. Et, c´est justement cette dernière donnée, qui empeste l´atmosphère politique en Republique Démocratique du Congo dans cette crise de légitimité du pouvoir. Et à cet effet, il appert certes, d´indiquer par ailleurs que, dans ce dernier pays précité, la problématique inhérente à l´accession au pouvoir soulève fievreusement aussi celle de l´identification des acteurs politiques en présence. Cela revient à à dire, pour plusieurs congolais; non seulement le pouvoir dirigé par Joseph Kabila Kabange re-ste littéralement critiqué à cause de sa dérive totalitaire et de son incapacite à relever le niveau social au bon port, mais aussi ce même pouvoir est honteusement décrié par le fait que Joseph Kabila Kabange soit mal élu ( frauduleusement ) et de surcroît, son origine sociale soit catastrophiquement mise en cause car étant d´origine étrangère; précisément de souche rwandaise au solde de laquelle il a été placé au pouvoir. Partant en somme de ce qui précède, le pouvoir dirigé par monsieur Joseph Kabila Kabange demeure en souffrance atroce des légitimités politique interne et populaire. Ceci résume à suffisance la crise de légitimité du pouvoir dans ce vaste pays au coeur de l´Afrique.

B. TENTATIVES DE RESOLUTION A LA CRISE

Si nous venons ci-haut d´utiliser le concept tentatives, c´est parce qu´au re-grad des réalités politiques africaines en matière des résolutions des conflits ou des crises politiques, des solutions envisagées sombrent souvent dans l´incertitude dans leurs vies futures. Cela voudrait tout simp-lement dire que l´Afrique traverse continuellement une crise politique récurrente. Ainsi, pour ce qui con-cerne la résolution de cette crise de légitimité du pouvoir en République Démocratique du Congo le cas échéant, deux pistes se montrent selon la forme, diamétralement opposées par les visions de leurs auteurs, qui se penchent sur la question: Il s´agit des approches intégrée et désintégrée.

1º) L´approche Intégrée

Selon cette approche, certains de nos compatriotes congolais estiment que, la crise de légitimité du pouvoir que traverse notre pays ne pourrait se résoudre que par des moyens de-mocratiques pacifiques tels que la cohabitation avec le pouvoir en place par le biais des négociations poli-tiques au bénéfice du Gouvernement d´union nationale, des élections libres et transparentes et les mani-

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festations publiques populaires en cas de rénonciation du pouvoir aux revendications du peuple, souverain primaire, etc.

2º) L´approche Désintégrée

Selon cette approche, la crise de légitimité du pouvoir n´est que le fruit de la confiscation du pouvoir du peuple par un groupe mal intentionné de gens dans les institutions politi-ques du pays. Pour ce, la seule résolution adaptée en vue reste un affrontement armé direct et permanent contre le pouvoir en place.

C. NOTRE VISION DE RESOLUTION A LA CRISE

1º) Rétrospective

Avant de donner notre approche que nous qualifions de palliative à la crise congolaise parce qu´issue de l´intersection entre les deux précédentes précitées, nous voudrions singulièrement ouvrir une petite parenthèse sur les dites approches intégrée et désintégrée.

Les approches intégrée et désintégrée congolaises divergent du point de vue forme parce que l´une prône la méthode pacifique et l´autre préconise par contre la méthode violente. Elles convergent du point de vue fond parce que toutes les deux, sans entrave, s´engagent décidement à balayer d´un revers de main cette crise de légitimité du pouvoir. En d´autres termes, le pouvoir en place doit inévitablement tomber et par conséquent Joseph Kabila Kabange son incarnateur et ses acolytes doivent partir. Dans la foulée, à travers leurs divergences, l´approche intégrée présente certains avantages et inconvénients.

Concernant ses avantages, elle offrira un climat economico-socio-politique viable tant au niveau inter-ne de la République Démocratique du Congo qu´au niveau externe car cette fameuse crise susmention-née se caractérise formellement par son aspect pluridimentionnel ou multifactoriel des acteurs. A titre e-xemplatif, la République Démocratique du Congo, riche gisément minéral scandaleux du monde reste de part en part en proie de l´exploitation contre «  Tout le Monde´´ . Pour dire que, Tout le Monde joue le maître de la crise de légitimité du pouvoir dans ce pays.

Concernant ses inconvénients, l´approche intégrée congolaise reste trop tendancieuse et incertaine co-mme dans d´autres pays africains. Cela revient à dire, en cohabitation politique dans la résolution d´une crise de légitimité du pouvoir, généralement, par les mécanismes de la réconvertibilité politique paradoxa-le des tendances, le pouvoir mis en cause et qui est contraint à cohabiter avec ses opposants, a toujours naturellement détenu certains pouvoirs de s´imposer et de se faire même réélire en cas d´élections. A titre d´exemples, la conclusion de la fameuse formule congolaise«  UN PLUS QUATRE ´´, les récentes atti-tudes politico-électorales bélliqueuses de monsieur Andry Rajoelina Nirina dit ( Andrajoel), la Haute Au-torité de Transition en Madagascar et bien d´autres, illustrent une exemplarité eloquente à ce sujet. Si en Côte d´Ivoire, monsieur Koudou Laurent Gbagbo avait manqué son voyage électoral dans cette crise de légitimité du pouvoir pourtant Président de la République en poste, c´est parce que son passe-port politique lui avait été préalablement confisqué par certaines « puissances étrangères´´, qui l´ont confié à ses opposants politiques à travers la Commission électorale passée sous leur direction…

Quand à l´approche désintégrée, cette dernière présente ses avantages et ses inconvénients.

Concernant ses avantages, elle permet en cas de crise persistance de légitimité du pouvoir de réduire les excès des ailes des autorités en place. Généralement en Afrique,on parle d´un langage fort (armé) con-tre un autre langage fort. En République Démocratique du Congo, les trente-deux ans de règne fort de Mobutu ont été déchus le 17 Mai 1997 par l´arrivée forte de LD Kabila au pouvoir. Ce dernier ayant à son tour institué un régime à confusion des pouvoirs pendants trois ans et sept mois, sera écarté par un autre régime à confusion des pouvoirs… Bref, c´est justement par la symétrie des rapports de force que l´on apprécie l´approche désintégrée dans la résolution de la crise de légitimité du pouvoir.

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Concernant ses inconvénients, en République Démocratique du Congo, outre les querelles fractrici-des connues sous la première République dans cette crise de légitimité du pouvoir caractérisée par le fé-déralisme sauvage manifesté par certains acteurs politiques séparatistes vérreux et l´ingouvernabilité poli-tique de tout bord, la résolution de la crise de légitimité du pouvoir par le langage fort n´a jamais payé bon marche dans notre pays. La raison ce que, de L.D. Kabila, passant par Jean Pierre Bemba jusqu´au RCD/ , Goma et compagnie, la République Démocratique du Congo en réssort ultérieuerement victime comme ceci pourrait être aussi l´avis de certains compatriotes. Bref, pour dire que, le langage fort contre un autre langage fort donnent un nouveau langage fort. Les politologues disent : une légitimité acquise au prix des armes ne répond aussi qu´à la logique des armes. M´zée Laurent Désiré Kabila disait: «  moi je suis rebelle et je resterai rebelle…´´. Ce langage a même justifié ses trois ans de règne fort sans partage du pouvoir et sans exercice réel des partis politiques…

2º) L´approche Palliative

A en croire de ce qui ressort de nos lunettes de cheurcheur, une réso-lution réaliste de la crise de légitimité du pouvoir en République Démocratique du Congo reviendrait à éviter de prendre exclusivement pour seule solution l´une de deux approches précitées. Sans cela, le con-traire marquera une démarche suicidaire en rapport avec les réalités sócio-politques telles que susmen-tionnées dans la rubrique relative aux inconvénients de ces deux approches dans notre pays. En d´autres termes, notre approche dite Palliative, qui est l´hybridation issue de ces deux approches ci-haut, quelle que soit sa fréquence à l´une d´entre-elles, se montre comme une solution prudente à allouer à cette crise de légitimité du pouvoir qui sévit actuellement dans notre pays.

De manière concrète, notre approche Palliative propose deux pistes en l´occurrence, un rapprochement politique sectoriel non armé et un rapprochement politique bipolaire armé pacifique.

A) Le rapprochement politique sectoriel non armé

Selon notre entendement, le rapprochement politique sectoriel non armé est un mé-canisme d´intégration par lequel, l´unité dans la diversité d´opinions passe pour valeur absolue engagée pacifiquement par les populations opposées contre une crise de légitimité du pouvoir dans leur lutte de libération. En d´autres termes, ceux qui dénoncent une crise de légitimité au pouvoir, mènent leur lutte de manière pacifique ou démocratique en mettant de côté leurs divergences et certaines prétentions inhéren-tes aux intérêts égoïstes au sein de leur groupe d´appartenance. Et dans ce cas, l´ union du groupe devient la pièce maîtresse. L´avantage de cette méthode revient au fait que, comme il s´agit d´une lutte propre-ment dite populaire, cela veut dire, menée par les seuls fils du pays ( le peuple et ses leaders ) dans un esprit d´intégration et de libération, elle rend conscient, responsable, disponible et victorieux le peuple qui la mène. D´où, cette lutte nécessite une sensibilisation ininterrompue du peuple et l´esprit de tolérance.

C´est cette même lutte, qui a fait partir Ben Ali et Moubarack en Tunisie et en Egypte. Elle s´appelle l´union fait la force et la division nous affaiblit. Son plus célèbre avantage comme dans le cas de notre pays revient au fait que, cette lutte nous permettra de résoudre une fois pour toute le fameux problème des armées et des commandements étrangèrs pilotés au sein des intitutions dans notre pays comme la triste histoire après la chute de Mobutu. Et aussi, elle limitera les égarements politico-commerciaux de certai-nes puissances étrangères dans notre pays.

B) Le rapprochement politique bipolaire armé pacifique

Il est le fait par lequel ceux qui luttent contre une crise de légitimité au pouvoir engagent une lutte armée pour le seul but de remettre un pouvoir têtu à l´ordre. Pour eux, l´arme n´est

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qu´un instrument de persuasion. Cette lutte a été récemment menée par les rebelles du Séléka en Répu-blique centrafricaine et les touaregs ainsi que les islamistes dans le nord Mali nonobstant certains débor-dements décriés ci et là et l´intervention française dans ce conflit. Cette lutte est mieux adaptée en Afri-que car il existe encore dans ce continent des régimes forts ou des hommes forts. Cette lutte ne pourrait intervenir qu´en cas de l´échec total de la première lutte susévoquée. Nous soutenons ce point de vue en RDC car, ce pays se montre à la face du monde comme étant une forêt dense qui cache des fauves: cer-tains n´attendent que son éclatement pour mieux poser leurs jalons commerciaux…

Conclusion

La présente crise de légitimité du pouvoir en République Démocratique du Congo ne pourrait être en réalité merveilleusement et victorieusement combattue que par le seul peuple congolais à travers sa prise de conscience. A défaut de cela, le peuple pourrait accepter de se faire violence de subir la loi des armes et ses effets collatéraux pourvu qu´il soit tout simplement tire du trou s´il ne voudrait pas rénoncer à sa peur…Et dans ce cas, il accepterait le principe de «  deshabiller saint Paul pour habiller saint Pierre. C´est possible.

Léon Tuken

Tshisekedi ou Ngbanda ? (3)


Mukubwa Graph, 

Bonjour, 

Comme complément à ma réflexion sur la crise de légitimité du pouvoir en RDC déjà en votre possesion, je vous renvoie aussi ce document déjà antérieurement expédié dans votre seule boîte palukuatoka@skynet.be sans code du tri automatique des messages importants. Mais cette fois-ci, je le renvoie sous l´étiquette du tri automatique.    

Je venais de lire votre publication relative au débat de l´APARECO et de l´udps au sujet du Traité de Nice et la réponse de monsieur Ndala wa Ndala, secrétaire général ai de l´APARECO, réservée à monsieur Mpuila de l´Udps, et reste profonde-ment étourdi et  désharçonné. Votre question est la suivante: qui a raison de ngbanda et de tshisekedi? 

Mukubwa Graph, allons-nous en au fait avant de réagir à la question susmentionnée. S´il faudrait politiquement juger les parcours politiques de Ngbanda et celui de Tshisekedi, tous deux s´appellent le même nom : premièrement, ils sont tous deux détestables par leur mariage avec le régime odieux de monsieur Mobutu, le Mouvement Populaire de la Révoultion (MPR). Deuxièmement, ils sont tous deux sanctifiables par le fait de leurs conversions à la logique de «  sauvons notre peuple ´´ à travers leurs luttes de libération dans l´Udps pour l´un et dans l´APARECO pour l´autre. En d´autres termes, à leurs pires, correspondents leurs apports nuisibles aux intérêts du peuple par leurs soutiens directs ou indirects au régime précité comme qui dirait; «  autant pèche celui qui tient ou qui remplit le sac, tout le monde est voleur´´. Partant de cette constatation, personne d´entre-eux ne peut être jugée de juste parce que tous deux ayant chacun participé de sa manière et à son heure au festin du diable. Et il   n´y a pour cela de petit ou de grand peché commis par l´un et non par l´autre.  Par ailleurs, quant à leurs actifs, ils sont tous deux à applaudir par le fait qu´ils sont en train de corriger leurs égarements politiques antérieurs en apparaissant de nos jours et conformément à l´environnement politique actuel comme étant deux grands leaders politiques d´opinions congolaises dans la lutte de libération nonobstant la fameuse problématique de la signature de leurs contrats avec leurs différentes légitimités (Forces) politiques internationales. Fort de ce qui précède et par honêteté intellectuel, personne, à moins d´une erreur d´estimation ou d´un fanatisme irrationnel, ne peut nier la synonymie nominale de ces deux personnalités politiques (tshisekedi et ngbanda) tel que nous venons d´en faire singulièrement la démonstration. Et eu égard à cette synonymie susévoquée, ces deux leaders devraient inévitablement travailler de concert dans cette noble lutte de libération pour la simple raison qu´ils se sont d´arrache pieds engagés eperdument dans la voie  de la prise de conscience nationale. Mais, paradoxalement à cela, avec regret, le monde politique constaterait que ce sont encore ces deux, qui commencent à amorcer la bombe de l´imposture au pouvoir pour exterminer tout un peuple. 

Mukubwa, donc, il y a réellement un problème de fond entre ces deux. Lequel alors ? C´est justement un problème de leadership. Diable, parbleu!!! voici encore ce qui est pire!!!! A ce problème précité, s´ajoute un autre. Il s´agit de celui de la nature même de la lutte. Pour l´instant la population congolaise n´a guère besoin de la lutte de leadership, mais préfère par contre celle de libération laquelle est aussi par ricochet celle de leadership. Cela revient à dire, celui qui va faire sortir le peuple congolais de l´esclavage, c´est automatiquement même celui-là qui sera son leader incontestable. Ils ont tous deux compris. 

Ainsi donc, Mukubwa, la fameuse question posée en objet ci-haut n´a pas présentement sa raison d´être à ce niveau et dans les contextes politiques actuels s´il faudrait se référer aux querelles partisanes…

Pour clore notre analyse, il appert de noter que, l´heure n´est plus favorable à la distraction et aux calculs politiques mesquins pour accéder au pouvoir et prétendre libérer le peuple congolais. Tous les accords ou traités signés par ceux qui estiment être engagés dans la lutte de libération contre l´imposture par le fait du caractère extravertie de leurs légitimités politiques, doivent éviter de porter atteinte à la quiétude du peuple dès lors qu´ils seraient investits au pouvoir. Nous estimons insensée la manière dont ce fameux traité de Nice doit prendre à défaut un caractère tribal comme il en est le cas aujourd´hui. 

Pour cela, nous proposons ceci dans le cadre du Projet 2014 :

1. -Au regard de l´antagonisme politique lié au leadership manifesté par les deux parties (tshisekedi et ngbanda), que le Projet 2014, par monsieur Graphèle Paluku Atoka Uwekomu, puisse organiser une mini conférence avec toute la diaspora congolaise avec comme thème ; «  Lutte de libération : A qui profiterait notre division ?´´  

2. -Qu´un Comité restreint issu du Projet 2014 et dénommé «  reconcilions-nous´´ soit mis sur pied en vue de prendre contact avec les différentes hiérarchies de deux parties pour une véritable réconciliation par l´échange des vues par rapport à leurs différrents.   

N.B.   Au cas où ces propsitions n´aboutissent pas, par votre canal, je vous transmettrerais d´autres propositions inhérentes à cette crise de manière à ce que la solution pour la RDC soit de mise cette année dans le cadre du projet 2014…

Léon Tuken