Disqualifier nos paresseux


Pour bien mener notre lutte, notre combat, notre résistantce je propose que nous travaillions sur des documents mis en ligne ou échangés par Skype ou encore par emails.  Cela nous permettra de nous hisser dans la qualité et le volume de notre production utile et nous ne nous contenterons plus de nous informer mutuellement, mais de rédiger des projets concrets pour déboulonner l’imposture et la colonisation du Congo ; pour rédiger des pétitions ou des plaintes, des contrats ou des conventions, etc.

Par exemple, le projet nouveau de développement par parcs industriels est bon et est une copie d’une vielle proposition que nous avons formulée en sont temps.  Mais Matata y mets des sud-africains (dans le Bas-Congo) alors que 98% de congolais en état de travailler sont au chômage, dans la plupart de localités (près de 50) avec lesquelles je travaille, dans le Nord-Kivu et le Sud-Kivu notamment.

Personne ne pense à trouver comment forcer Matata à la correction.  Cette colonisation du congolais par le sud-africain, qui a commencé voici bientôt plusieurs années, par le fait de mauvais leaders que nous avons choisis pour conduire la destinée de notre pays, vas renforcer le pillage de nos ressources agricoles.

Dans les Kivu, nos bananes traversent les frontières et nous reviennent sous forme de biscuits – peut-être empoisonnés !

Peuple congolais : lève-toi et marche sur les scorpions.