Bangui, RSA


From: africa-t@googlegroups.com [mailto:africa-t@googlegroups.com] On Behalf Of malonga miatudila
Sent: lundi 25 mars 2013 12:59
Cc: PPRD
Subject: RE: [congocitizen] L’armée sud-africaine confirme la mort de plusieurs de ses hommes à Bangui

Chers Tous,
Au mois de janvier de cette annee, j’ai fait circuler une synthese de l’Histoire du Pays de Boganda… mais sans illusion sur les effets de cette information. Car Madame l’Histoire nous apprend sans cesse une chose: elle ne nous apprend rien.
Miatudila.
PS: Ceux qui oublient leur histoire sont condamnes a la repeter. Bozize a ete chasse comme il a chasse son predecesseur. Eteya biso? Mon oeil!


From: vitaclub1@yahoo.co.uk
Date: Mon, 25 Mar 2013 11:30:51 +0000
Subject: [congocitizen] L’armée sud-africaine confirme la mort de plusieurs de ses hommes à Bangui

L’armée sud-africaine confirme la mort de plusieurs de ses hommes à Bangui

Un blindé des troupes sud-africaines à Begoua, à 17 kilomètres de Bangui, samedi 23 mars 2013.

Un blindé des troupes sud-africaines à Begoua, à 17 kilomètres de Bangui, samedi 23 mars 2013.

REUTERS/Reuters TV

Par RFI

Un responsable de l’armée sud-africaine a confirmé, dimanche 24 mars, que plusieurs soldats sud-africains ont été tués dans les affrontements avec les rebelles de la Seleka à Bangui. Il se refuse pour l’instant à donner le nombre de soldats actuellement déployés en Centrafrique.
Suivez l’édition spéciale sur la situation en Centrafrique sur l’antenne de RFI, ce lundi 25 mars de 6 h à 7 h (TU).

Avec notre correspondante à Johannesburg,

On ne sait pour l’instant pas combien de soldats sud-africains sont morts pendant les affrontements à Bangui.

Mais le général Xolani Mabanga, directeur de la communication de l’armée sud-africaine, a confirmé que plusieurs soldats ont été tués ou blessés lors de combats entre les rebelles de la Seleka et les troupes sud-africaines. Des combats qui ont eu lieu notamment samedi dans la banlieue de Bangui. Selon le porte-parole de l’armée sud-africaine, il y a eu des victimes dans les deux camps.

En janvier, quatre cents hommes avaient été envoyés

Le général Mabanga a également précisé que la situation était calme ce dimanche après-midi à Bangui et que les troupes sud-africaines sont désormais hors de danger.
Il a refusé de préciser combien d’hommes sont déployés en Centrafrique pour des raisons de sécurité.

En janvier dernier, au moins 400 soldats sud-africains sont arrivés en Centrafrique pour encadrer et entraîner l’armée du régime de François Bozizé, dans le cadre d’un accord militaire entre les deux pays signé en 2007.

tags: Afrique du SudRépublique centrafricaine

G.Lutonadio

Melville

USA

P Save a tree…please only print this e-mail if it is genuinely required.

« We will remember not the words of our enemies, but the silence of our friends. »
« Nous ne nous souviendrons pas des paroles de nos enemis mais plutot du silence de nos amis »


« Tout militaire sans formation ideologique, c’est un criminel en puissance et malheur a ceux qui baillonnent leur peuple: Thomas Sankara »

« Je me demande pourquoi vous soutenez ces navires de la course au pouvoir appelés partis politiques mis en place pour que nous ne réalisions jamais ce qu’est reellement la politique et la démocratie et de toujours nous faire accepterer le mensonge sur la vérité. Vous ne pouvez jamais gagner un match en utilisant les règles du jeu qui peuvent etre changer par ses inventeurs en un clein d’oeil afin d’y sortir tourjours gagnant. »

Open your eyes and your  mind with www.infowars.com

La Centrafrique – Indépendance de l’Afrique


[22-03-13 13:15:16] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao : Centrafrique : les rebelles forcent la ligne rouge sur la route de Bangui

LIBREVILLE – Les rebelles centrafricains du Séléka ont forcé vendredi un barrage de la force africaine au nord de Bangui, dernier verrou menant à la capitale centrafricaine, a affirmé à l’AFP une source au sein de cette mission militaire des Etats d’Afrique centrale (Fomac).

Il y a eu des tirs sans faire de blessés. Les rebelles ont forcé le barrage (de Damara, à 75 km au nord de Bangui), et sont passés vers 12H00 (11H00 GMT) locales, a déclaré cette source. Ils sont sur la route de Bangui. Nous sommes en alerte maximum, selon cette même source.

Damara était considérée par la Communauté économique et monétaire des Etats d’Afrique centrale (Cemac, qui fournit les troupes de la Fomac). Comme la ligne rouge que les rebelles du Séléka ne devaient pas franchir.

Le barrage de la Fomac à Damara était tenu par des soldats tchadiens et gabonais, selon cette source qui n’a pas précisé leur nombre.

Plusieurs barrages des Forces armées centrafricaines (FACA) et de la gendarmerie centrafricaine se trouvent aussi sur la route entre Damara et Bangui mais ils étaient peu équipés en janvier, avait constaté un journaliste de l’AFP.

Des troupes sud-africaines, appelées par le président François Bozizé dans le cadre d’un accord de défense, sont positionnées au nord de Bangui, près du PK 12 (point kilométrique 12) qui est la véritable entrée de la capitale centrafricaine. Il reste à savoir quelle sera l’attitude de ces troupes bien équipées face aux rebelles.

Quelque 250 soldats français se trouvent actuellement à Bangui dans la zone de l’aéroport situé au nord de la ville mais, lors de la précédente offensive, le président français François Hollande avait précisé qu’ils n’étaient là que pour défendre les ressortissants et intérêts français.

Les forces de la Fomac, constituées de Tchadiens, Gabonais, Camerounais et Congolais (Brazzaville) sont au nombre de 500 environ.

En janvier, le général Jean-Félix Akaga, le commandant gabonais de la Force multinationale d’Afrique centrale (Fomac), s’était montrée ferme devant le franchissement de Damara, dernier verrou avant Bangui.

Si les rebelles attaquent Damara, c’est une déclaration de guerre, cela veut dire qu’ils ont pris la résolution d’engager les 10 Etats d’Afrique centrale. Je ne pense pas sincèrement qu’ils en arriveront là, avait-il déclaré lors d’un point de presse à Bangui.

(©AFP / 22 mars 2013 12h59)

L’indépendance de l’Afrique

Par GPAU

Pendant qu’en RDC, les rébellions vouent toutes un grand respect pour la MONUC  et ont une peur bleue de cette dernière, en RCA, les rebelles traverse éperdument la ligne rouge du FOMAC.

C’est dire que l’Afrique reste sous-développé dans le sens plein et total du terme : culturellement, économiquement, technologiquement, politiquement, militairement…

Voilà pourquoi l’intelligentia africaine devrait se lever, comme un seul homme, pour prendre sa place dans la direction des affaires de l’Etat ; une place qu’elle a laissée à un cortège de bandits politiques de tous bords ; ce qui explique la lenteur avec laquelle l’Afrique chemine vers son indépendance.

Dans le cas particulier de la RDC, nous avions déjà prédit en 1985, à la fin de nos études à l’Université de Kinshasa, que cette indépendance attendrait nos petit fils ; c’est-à-dire, la génération qui naîtra dans les années 2016.