Fonds pour les Elèves et Étudiants du Congo


Le projet FEEC offre à plusieurs élèves et étudiants congolais performants aux études, mais en difficulté matérielle ou financière majeure, la possibilité de finaliser leur études moyenant des aides ponctuelles ou étalées dans le temps. L’aide est accordée quelque soit la localisation de l’élève ou étudiant. La sélection est stricte. Un dossier très complet est exigé pour la sélection, étant donné l’insuffisance des moyens. Cela déçoit certains.

Pour combattre la médiocrité en RDC, nous nous devons d’investir dans la jeunesse en l’incitant à travailler plus pour se qualifier et être compétitifs à l’intérieur comme à l’extérieur du pays. Nous lançons donc un appel en direction de tous ceux qui veulent soutenir ce projet en offrant matériel ou argent pouvant nous aider à nous engager vis-à-vis des demandeurs d’aide les plus méritants et les plus nécessiteux.

Pour la gestion du projet FEEC :

Graphèle Paluku Atoka Uwekomu

Avenue Mutsaard 75 boîte 1

1020 Bruxelles

Mobile : +32486741704

Téléphone : +3224868041 704

Télécopie : +3224761972

Email : palukuatoka@msn.com

Nous avons confié la gestion des fonds à l’association Échanges Afrique-Europe, EAE ASBL.

Les fonds sont conservés sur le compte de l’Association des Amis de
l’Aumônerie Universitaire Protestante du Congo, AUPC ASBL.

Rue d’Amercœur 43
4020 LIÈGE

IBAN : BE24 7795 9821 8838
BIC : GKCCBEBB

VOS TRANSFERTS DOIVENT
CONTENIR LA MENTION “PROJET FEEC” DANS LES COMMUNICATIONS

SE Matata: incompétent et doublement traître…


Son Excellence Matata Mpoyo est inhumain, incompétent et trahi non seulement la gente universitaire congolaise, mais aussi toute notre nation et soutenant l’imposture.

La RDC est un vaste chantier. En tant que chef de gouvernement dans une période de crise et de pauvreté comme celle-ci, il devrait facilement obtenir de ses ministres des propositions concrètes pour mettre à l’emploi les travailleurs de la fonction publique qui sont en chômage déguisé, à commencer par les ministres qui forment son gouvernement qui sont eux aussi pléthorique et budgétivore.

Nous l’avions annoncé dès le début de sa collaboration avec le régime de Kinshasa.

—–Message d’origine—–
De : africa-t@googlegroups.com [mailto:africa-t@googlegroups.com] De la part de Jean Kadima-Schipa
Envoyé : mercredi 15 août 2012 0:51
À : africa-t; congo-kin-alternative@yahoogroups.com; kasaiwetu-list@yahoogroups.com; congocitizen@yahoogroups.ca; cccmontreal@yahoo.fr; front_compatriot@yahoo.fr; banacongo@yahoogroupes.fr; paxnow@yahoogroups.com; congokdp@gmail.com; Kivu Avenir
Objet : —Arrêtés annulés dans la Fonction Publique : Matata s’arrête à mi-chemin-Le Phare du 15 aout 2012

Rubrique :

Arrêtés annulés dans la Fonction Publique : Matata s’arrête à mi-chemin

Le Premier ministre Matata Ponyo vient de décider l’annulation d’une

série d’arrêtés d’un ancien ministre de la Fonction Publique pris en

2010 et portant sur le recrutement de plusieurs dizaines d’agents au

sein de l’administration publique congolaise. Parmi les raisons

invoquées par le chef du gouvernement, il y a le non respect de la

procédure en la matière et de la ligne budgétaire réservée à la

rémunération des employés de l’Etat.

Bref, l’Etat employeur s’est retrouvé avec un trop-plein de

main-d’œuvre dont il n’a pas besoin pour l’instant et qui grève

terriblement le Trésor public.

En dépit des arguments pertinents brandis par le Premier ministre,

l’affaire n’en continue pas moins de soulever des vagues dans les

rangs des « assainis » et des syndicats de l’administration publique.

Ici, on évoque d’emblée le principe de la continuité de l’Etat et des

droits acquis. Les concitoyens ayant déjà acquis le statut d’employés

de l’Etat, avec les avantages matériels, financiers et moraux y

afférents, pensent que le gouvernement congolais devrait supporter les

conséquences de sa propre turpitude.

Dans leur entendement, si Matata Ponyo trouve que les intéressés

seraient bénéficiaires d’actes politiques et administratifs illégaux,

il devrait s’en prendre à ses prédécesseurs au niveau de l’Exécutif

national. S’appuyant sur les dispositions du Code du Travail, les «

assainis » considèrent que leur contrat avec l’Etat congolais, qui a

largement dépassé les délais probatoires de trois ou six mois selon

les cas, est réputé à durée indéterminée. Par conséquent, il ne peut

être cassé selon la procédure initiée par le Premier ministre. D’où,

ils se croient victimes d’une mesure arbitraire et sélective.

Nouvelle opération « mains propres » ?

Il y a tant d’opérations « mains propres » sur fond de règlements de

comptes en République Démocratique du Congo qu’il est difficile de

savoir si l’administration publique congolaise est soumise à une

nouvelle cure d’assainissement. Si tel est le cas, il faudrait saluer

le courage de Matata Ponyo de faire la chasse aux engagements

anarchiques d’agents et cadres de l’Etat. La pléthore d’effectifs dont

on se plaint tant dans le secteur étatique est liée au phénomène du

clientélisme politique dans les formalités d’embauche.

Toutefois, l’on cherche à savoir pourquoi l’attention du Premier

ministre s’est particulièrement focalisée sur le ministère de la

Fonction Publique, donnant du coup l’impression de s’être arrêté à

mi-chemin. Comme on le sait en effet, les décisions politiques ou

administratives illégales touchent tous les secteurs de la vie

nationale. Combien de terrains ne sont-ils pas lotis dans l’illégalité

la plus parfaite dans ce pays ? Combien d’immeubles de l’Etat et des

particuliers sont-ils spoliés sur pied des décisions politiques,

administratives et judiciaires non-conformes à la Loi ? Combien de

concitoyens sont interpellés, arrêtés, jugés, condamnés ou gardés en

détention dans des prisons en violation de toutes les normes de forme

et de procédure ? Combien de criminels économiques et « Kuluna » en

cravate, forts de leurs immunités et parapluies protecteurs, se la

coulent douce tranquillement dans leurs jardins familiaux alors que

les caisses de l’Etat attendent d’être approvisionnées en espèces

sonnantes et trébuchantes ?

Pour convaincre les Congolais de sa volonté de combattre les

antivaleurs, notamment la saignée du Trésor public, Matata devrait

étendre son opération « mains propres » à tous les secteurs de la vie

nationale, avec effets rétroactifs s’il le faut, mais dans le respect

des textes qui régissent la République. Cette rétroactivité devrait

frapper tout le monde, et non se limiter aux seuls pauvres

fonctionnaires mal payés. Pour l’instant, le signal donné à partir de

la Fonction Publique laisse plus d’un sceptique, tout simplement à

cause de son caractère jusque-là sélectif.

Kimp