Le régime de Kinshasa s’est décidé de modifier la constitution en arguant que ce soit une volonté populaire de le faire.
L’anglais fera-t-elle aussi son entrée dans cette constitution congolaise, au côté du français, du lingala, du swahili, du kikongo et du tshiluba, comme s’en rejouiraient, probablement, la majorité des congolais de l’Est de la RDC et l’anglophonie ?
Celui que nous ne reconnaissons pas comme notre président, ne l’a-t-il pas annoncé autrement que par son apparent divorce d’avec le français au seuil de ce sommet ? Est-ce là aussi un autre spèctre, une autre ombre de Yoweri Museveni et de Paul Kagame ?
L’avenir nous le dira.
