Auteur : Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu
Les pasteurs…
Makolo Kotambola,
De l’opposition :
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=gH8r0DPopGA
à la collaboration :
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=RIhTBkXRQl8
2015 ne sera pas une bonne année !
2015, ne sera pas une bonne année. Nimba Mpele de Mansele pense comme nous. Pourquoi ? Ecoutez les raisons qu’il évoque !
Théâtre ou réalité ?
Lubumbashi: le déploiement massif de la Garde républicaine inquiète les habitants de Kimbembe
janvier 3, 2015, | Denière mise à jour le 3 janvier, 2015 à 1:30 | sous En bref, Katanga, Sécurité. Mots clés: Garde républicaine, Radio Okapi
Les habitants du quartier Kimbembe dans la commune Annexe à Lubumbashi s’inquiètent de la présence de plus en plus renforcée depuis deux jours des militaire de la Garde républicaine (GR) lourdement armés sur l’axe Lubumbashi –Likasi.
Selon l’un des officiels de cette entité qui a requis l’anonymat , ces militaires sont positionnés à côté de la route séparant le poste de péage de Kimbembe du camp de la GR situé à 15 km sur le tronçon Lubumbashi- Likasi.
Contacté par Radio Okapi, le colonel Alain Ilunga, commandant du 13eme régiment de la Garde Républicaine au Katanga, fait état de «certaines dispositions prises pour sécuriser le camp militaire Kimbembe.»
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Quels seraient les éléments objectifs qui nous permettraient d’établir que les événements de ces derniers jours, qui impliquent Katumbi, Kyungu et Kanambe au principal, ne soient pas qu’un théâtre ?
Tout celui qui peut nous éclairer, rendrait un très grand service à la lutte que nous menons contre l’imposture qui trône à Kinshasa.
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Pour savoir ce qu’est un régiment, merci de lire ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Régiment
Occupations de nos terres
Beaucoup s’est dit sur l’occupation de nos terres par des étrangers.
Certains villages à l’Est sont vidés parce que les habitants doivent fuirent des envahisseurs qu’ils n’arrivent pas à contrer. Des nouvelles nous parviennent que ces villages sont occupés par d’autres personnes inconnues, généralement transportées par la MONUSCO. Si cette information peut paraître étrange à plusieurs d’entre nous comme à nous-mêmes, il n’en reste pas moins vrai qu’elle se confirme de plus en plus. Dans nos villages où les gens ont été massacrés, les FARDC et la MONUC interdisent aux nôtres d’aller enterrer leurs morts. Que cache ces opérations ? A qui profitent-elles et comment ? Comment pouvons-nous arrêter les bandits qui opèrent avec la complicité de nos FARDC ?
Tout le monde sait déjà que les zones de guerres profitent aux ennemis du Congo. Les exemples sont nombreux. Pillage de ressources naturelles, ventes de restes humains, pillages des biens de la populations, trafic d’armes, etc. Cependant, peu de congolais se rendent compte du danger que court notre pays, bien que tout le monde ou presque apprend que les villages se vident au Nord-Kivu, au Sud-Kivu et en Ituri.
Un secours de nos compatriotes en danger de disparition doit donc impérativement être organisé. De la bonne manière. Aucune rébellion ne nous a permis d’arrêter les affres des guerres. Aucun sit-in n’a empêché nos ennemis de nous envahir. Les assassinats politiques, les arrestations arbitraires, les prisons violatrices des droits humains n’arrêtent pas leurs ravages dans notre camp. Quelques soient nos cris de guerre dans les rues ou nos dénonciations des meurtriers dans les places publiques occidentales, ces ravages continuent de plus bel et en toute impunité. L’UDPS est épuisée, saignée à mort, suite aux nombreuses pertes de vies humaines qu’elle a subies, avec tout le peuple débout derrière lui. Les mai-mai sont aujourd’hui ridiculisés. Leurs fétiches ne fonctionnent plus ou presque, même si leur courage reste entier. Faut-il jeter les bras, redoubler d’effort ou changer de stratégie ?
Pendant ce temps, l’occupation de nos terres par des peuples voisins, par des armées des nations voisines continuent. Et nous, qui reprochons au système kinois de pas être en mesure de nous aider à faire la paix dans le pays ni d’offrir la prospérité à nos villages, nous nous refusons encore de nous mettre autour d’une table pour concevoir un plan de défense de notre territoire. Territoire que nous disons aimer : des lèvres !
Les peuples de l’Est se disent se disent aujourd’hui être des chèvres ayant la corde au coup et destinées à la boucherie. Tout tend à indiquer que l’heure est au désespoir. Le projet ennemi est donc près d’aboutir. Recréer l’espoir du salut pour l’Est est le génie dont nous devront donc faire montre cette année 2015. Sans quoi, le pays s’envolera en éclat.
Lemera Club…
L’information qui nous parvient ne peut plus émouvoir un seul observateur avisé de la politique congolaise. Nous la diffusons parce qu’il n’y a pas de fumée sans feu et qu’il vaille mieux prévenir que guérir… La source n’est pas nôtre, mais d’une tierce personne : nous ne pouvons vous en garantir la fiabilité ; mais vous inviter à nous faire part de ce que vous en connaissez en laissant un commentaire à l’attention de nos lecteurs.
Les récents événements du Katanga nous laissent tous nous poser des questions sur ce qui se trame entre Moïse Katumbi, Kyungu wa Kumwanza et Joseph Hypolithe Kanambe, l’imposteur issu des tripatouillages de 2011.
Selon l’information qui nous parvient ce soir, les trois seraient tous impliqués et dans la signature des accords de Lemera et liés par ceux-ci. Ces accords qui ont, en partie, conduit notre pays dans le chaos que nous connaissons aujourd’hui. Ils se seraient convenus de lancer Katumbi à la présidence de la République Démocratique du Congo, vu que Kanambe n’arrive pas à calmer la grogne populaire avec ses empoisonnements, ses emprisonnements et ses tortures meurtrières. Appartenant à un même club, Katumbi pourrait aider à sauver leur confrère Kanambe.
Si cette information devait être vraie, le jeu ne fonctionnera pas. Du moins sur le moyen (Plus de 5 ans) et long terme (Plus de 10 ans). En effet, les patriotes congolais savent désormais que quelque soit la conspiration contre la République, il faut se méfier des accrochages vrais ou factices entre ces trois hommes, auxquelles il faut ajouter quelques autres. L’épreuve, le test sont pourtant simples :
- un membre du club présumé (Katumbi, Kyungu, Kanambe ou autre) se propose président de la République : ce sera le premier indice qui ne trompera plus aucun congolais patriote et intelligent ;
- le candidat président ne manifeste pas la volonté de traduire les traîtres et imposteurs en justice : ce sera la deuxième preuve par quatre que Lemera fonctionne encore bien en RDC ;
- le candidat président affiche une méfiance à l’égard des congolais patriotes et une confiance étrange aux ennemis avérés de la nation congolaise : ce sera le verdict sans appel !
C’est dire que très vite, les patriotes congolais connaîtrons la valeur de l’information qui nous parvient. Du moins ceux qui, perspicaces et alertes, garderons à l’œil tous ceux qui prétendent vouloir en finir avec l’imposture, sans donner la preuve de leur crédibilité au peuple devant de plus instruits par les tristes expériences qu’il fait des conséquences de ses négligences du passé.
Le bon arbre, tout comme le mauvais, se reconnaîtront à leurs fruits.
Quelques articles utiles se trouvent ici :
Jaynet Kabila ou Jaynet Kabila Mbuyi ?
Tout congolais patriote sait que même si nous prouvions à nos compatriotes, cartes sur table, que Joseph Hypolithe Kanambe est un menteur, nous ne l’aurions pas nécessairement politiquement assommé et qu’il pourra malgré tout briguer un mandat politique au Congo, quelque soit sa nationalité, ses motivations, ses compétences. En effet, nous congolais continuons à nous accommoder de responsables publics menteurs ou irresponsables, de discours erronés ou faux, de stratégies inefficaces ou inopérantes, depuis 1960 jusque ce jour. Tous les congolais savent que JHK soit arrivé au pouvoir par une voie illégale. Ils voient comment ce dernier refuse le test d’ADN. Tout le monde voit comment il tripatouille aux élections et peuple notre armée d’agents extérieurs à notre nation. Nous sommes tous spectateurs de son infidélité dans ses engagements et son mépris de la vie du congolais. Cependant, par peur, par égoïsme, nous le tolérons, nous lui sommes indifférents, nous le soutenons mêmes dans ces cinq chantiers. Tout ceci, n’est pas nouveau…
Le MNC de Lumumba nous a promis l’instruction, le transport public et les soins médicaux gratuits : nous ne les avons jamais eu. Le MPR nous a promis l’unité et la prospérité de notre nation : nous ne l’avons pas encore. Kabila nous a promis la démocratie et l’indépendance vis-à-vis de l’Occident : nous sommes plus que jamais dépendants de cette région du monde, et qui plus est, de plus en plus de l’Orient aussi. Le PPRD nous a promis la révolution de la modernité ; mais, tous nos villages ou presque demeurent non électrifiés et ne le seront pas dans les 20 prochaines années si nous continuons avec lui. Ce n’est pas tout ! Le PNP s’est opposé au MNC, sans succès et est disparu. L’UDPS s’est levé et fléchit les genoux au jour le jour. Le Projet 2014, lancé en 1999, 15 ans après, n’est pas très avancé. Kongo ya Sika s’est levé, mais a difficile à percer.
Une analyse sérieuse de nos échecs du passés peut nous aider à comprendre pourquoi nous en sommes à la situation que nous connaissons aujourd’hui et comment faire pour nous en sortir proprement et durablement.
L’ignorance de nos chefs, la négligence ou l’irresponsabilité dans nos choix de ces chefs nous causent beaucoup de tort aujourd’hui.
En 2001, quelques compatriotes, ont choisi, à notre place, leur ami pour en faire un président, en remplacement du défunt Laurent Désiré Kabila (LDK). Ils savaient bien qu’ils violaient la constitution et qu’ils abusaient de la naïveté et de la faiblesse militaire et politique de notre peuple, pour nous imposer leur Joseph Hypolithe Kanambe. Quelques voix congolaises dénoncèrent la supercherie, mais elles n’étaient pas en nombre suffisant pour arrêter cette nouvelle illégalité – le président défunt était lui-même un illégal. Aujourd’hui, nous ne pensons pas à les traduire en justice pour qu’ils répondent de leur fourberie, de leur négligence ou de leur complicité. Nous pensons à dénoncer et souvent en mêlant mensonge et vérité, en espérant qu’ainsi le mensonge renforce la vérité et touche les cœurs de nos concitoyens : grave erreur ! Le mensonge se combat avec la vérité et non avec des demi-vérités. C’est dans le cadre de ce faux combat, perdu à l’avance, que plusieurs, dans l’opposition, nous embarque sur la voie du mensonge, des supputations, de conjectures et parfois de calomnie.
La famille de Laurent Désiré Kabila intrigue. Tout est flou. Sa mort, comme celle de Lumumba, demeure un mystère. Celui qu’il nous a présenté comme étant son fils semble être son assassin. Plusieurs personnes tentent d’éclairer l’opinion, mais mal, dans la plupart de cas ! Elles apportent des éléments, souvent – mais pas toujours – insignifiants ! Plutôt que de se consacrer à réunir des pièces à conviction, ils s’investissent dans des mensonges, conscients ou involontaires, pour tenter d’émouvoir les congolais et les pousser à un soulèvement populaire qui fasse partir, arrêter ou tuer l’ennemi commun du peuple congolais : Joseph Hypolithe Kanambe.
Le tir étant mal ciblé, l’objectif n’est pas atteint. Tout le monde est pris dans le coup. Le pouvoir nous trompe pour nous asservir. L’opposition aussi nous trompe pour nous asservir également. En effet, qu’est-ce que tromper son peuple pour tenter d’obtenir son soulèvement contre la médiocrité, la trahison, la dictature ou contre l’imposture ? La livraison ci-dessus nous en apporte, encore une fois la preuve que nous nous y prenons mal. Partant d’une question bien posée, l’auteur se perd dans des considérations qui jettent le discrédit sur sa démarche pourtant louable et ses sans doute bonnes intentions.
Connaître qui Jaynet Kabila est peut en effet nous aider à comprendre un peu plus la famille de LDK, son règne et le règne de JHK. La question posée ici est : Jaynet Kabila est-elle la sœur de JHK ? Et, comment le savoir ? Que son nom soit Kabila et non pas Kabila Mbuyi ni Kabila Mbuyu, contrairement à ce que cela aurait du être chez les balubakat, selon Muntumosi le Résistant, cela suffit-il à nous convaincre de la fausseté des identités des prétendus descendants de Laurent Désiré Kabila ? Et si nous admettons que JHK soit Joseph Kabila Kabange, devons-nous encore douter de sa descendance de LDK ? Quel intérêt-il d’ergoter sur le nom de Jaynet Kabila si son nom véritable, originel, n’est pas celui-là ?
La livraison ci-dessous, de notre compatriote caché derrière le pseudonyme de Muntumosi le Résistant – sans doute par crainte du terrorisme d’Etat qui règne au Congo, risque d’être sans intérêt, si JHK n’est pas – biologiquement – un Kabila, mais un Kanambe.
QUI EST RÉELLEMENT JAYNET KABILA ?

QUI EST REELLEMENT « JAYNET KABILA »
QUI EST REELLEMENT « JAYNET KABILA », LA PRETENDUE SOEUR JUMELLE DE « JOSEPH KABILA » ?
La prétendue sœur jumelle de « Joseph KABILA » n’est pas sa sœur, mais sa concubine. Elle est sa tante maternelle, son rôle au près de « Joseph KABILA », c’est de s’occuper de lui, en préparant la nourriture et faisant toutes les autres taches du ménage. Chez certaines ethnies Bantous, on appelle cela « Kitsudi ».
Les analystes ou biographes de la famille KABILA ne se sont jamais, un seul instant demandé pourquoi « Joseph KABILA » porte le nom coutumier des jumeaux «KABANGE », un nom de jumeaux au Katanga, alors que sa prétendue sœur n’en porte pas.
Ne s’est-on jamais demandé quel était le nom tribal de Jaynet, si elle est réellement jumelle Katangaise? Elle n’en a pas.
Preuve que « Joseph.KABILA » n’est pas jumeaux, moins encore un fils du défunt KABILA. Au Katanga, si Jaynet ou Jeannette était réellement jumelle, on l’appellerait MBUYI (comme chez les Baluba du Kasai) et MBUYU, chez les Baluba Shankadi ou les Baluba Kat). Ce qui n’est pas le cas avec les prétendus jumeaux KABILA. Néanmoins, tous nous savons que L.D.K. était Muluba Kat de Manono!
Alors « Joseph KABILA » et « sa sœur », s‘ils sont de Baluba Kat, quel est leur village ? Qui dira mieux ?
Les originaires de Manono se reconnaissent à partir des noms claniques comme nombreuses tribus au Congo.
Par exemple, les gens de la région de Haut-Lomami appartiennent à la sous-région de Kanyama-Kasese. De là, ils se reconnaissent sous les noms de leurs clans : Bene Matamba(Pondu), Bene-Mutumbo-Mukulu(=les descendants de Mutombo Le Grand). Chez les BaLega du Sud-Kivu, il ya des clans tels que : Banya Ntandu, Banya Kyelu, Bana Kasila, Baliga, Bana Banga, Bana Milambwe, Basongo, BeiGala, etc.
Les Ba, Bi, Bene, Bei, Bana, Banya ou Bi sont des racines morphiniques qui veulent dire « les enfants de…, les descendants de…. »). Ce qui est contraire à la culture hamitique des Tutsi… Même si la racine « Ba » ou « Banya » sont présents au Rwanda, c’est parce que les Rwandais d’origine (Hutu et Twa) sont des Bantu. Ainsi parle-t-on de Banyarwanda, Batutsi mais pas Bahutu.
Au Congo, comme dans beaucoup de tribus au monde, le mysticisme lié aux jumeaux fait que les génies ancestraux aient prévu des noms spéciaux de jumeaux et à l’enfant qui vient juste après eux, qu’il soit fille ou garçon.
Hélas, dans la famille « KABILA », les traditions demeurent monophasées. Seulement KABANGE, mais pas de MBUYI ou MBUYU !
Quel est le rôle de « Jaynet KABILA » aux cotés de son « petit frère KABANGE »?
Son rôle au près de « Joseph KABILA », c’est de s’occuper de lui, en préparant la nourriture et faisant toutes les autres taches du ménage. Olive LEMBE, elle, ne joue qu’un rôle sexuel de sexual-punching Ball. Elle n’est pas l’épouse de « Joseph KABILA » au vrai sens légal et sociologique du mot. On craint que les opposants passent par son agence pour empoisonner l’intriguant Hypolithe KAJAMBERE.
Pour votre enseigne, observez d’abord le visage de Jaynet. Elle a l’air vieilli et ratatiné
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Srg Okitembo aime ça.
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Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu Une question pertinente posée ici est celle de savoir pourquoi Jaynet ne s’appelle pas Mbuyi ou Mbuyu comme elle devrait l’être, selon la culture lubakat, ainsi que le prétend Muntumosi le Résistant (Qui est-ce ?) et que nous concédons de croire au premier abord, à titre provisoire, en attendant les connaisseur de la culture lubakat confirment ou infirment.
En revanche, ce qui gène dans cette livraison ce sont les nombreux contre-vérités – probablement involontaires – qui s’y trouvent.
On n’y voit pas la démonstration que Jaynet soit d’abord la tante de JHK ni ensuite la grande sa sœur.
Plutôt que de nous aider dans la lutte que nous menons contre le régime qui nous subjugue, un tel article dessert notre cause, nous disqualifie ; et, définitivement, sert la cause de JHK qui dira : « Voyez ceux que vous appelez opposants. Que feront-ils quand ils prendront ma place ? ». Et à ses sponsors de se dire : « Il n’y a pas encore mieux pour garantir les contrats : continuons avec celui-là, tant qu’il contrôle la bande »…
Policiers et brûlés vifs
Skype Home
Cela se passe dans mon pays natal : l’Ituri. Deux policiers sont brûlés vifs. http://radiookapi.net/actualite/2014/12/29/bunia-la-population-en-colere-brule-vif-deux-policiers/
Nationalisme électif de Mbakama
Pour ou contre le nationalisme sélectif de Mbakama ? Et pourquoi ? Ces questions fâcheront certainement plus d’un combattant, plus d’un résistant et plus d’un analyste politique, congolais, ordinaires, de l’opposition.
Aujourd’hui, en effet, tous les congolais ou presque sont devenus allergiques à ce qui sent ou sonne « l’étranger ». Ils sont déçus par les traîtres qui se comptent désormais par milliers. Ils sont fâchés contre les comportements des pays tels que le Rwanda et l’Uganda, accusés d’occupés des terres congolaises, d’en piller les ressources naturelles, d’en éliminer les premiers occupants pour faire place aux populations tutsi et leurs alliés. Ils sont en guerre larvées contre les pays de l’Occident, à cause de leur soutien aux régimes dictatoriaux qui se succèdent à Kinshasa. Les combattants et résistants, ces congolais actifs dans la lutte contre le régime, le gouvernement et le parlement actuels de la RDC, ne veulent plus entendre parler ni de l’Occident ni des nos voisins rwandais, burundais et ugandais et tout ceux qui descendent d’eux. La prise de position de l’honarable Mbakama, de son exil, va donc à l’opposé de ce que propose la majorité des résistants et combattants : en finir, par tous les moyens disponibles, avec tous ceux qui occupent, pillent et subjuguent les congolais. Et avec eux tous ceux qui n’ont pas droit à la nationalité congolaise, parce que issus d’aïeux originaires des pays considérés aujourd’hui comme pays ennemis de la RDC.
Quels seront l’impact des propos de l’honorable Mbakama et pourquoi ? C’est ce que nous tenterons de débattre dans la suite, la question étant visiblement importante. Tout aussi bien pour Mbakama que pour le reste de l’opposition. Surtout, à un moment où une frange importante de notre peuple n’en veut plus de tout ce qui est « étranger », mais que Mbakama conseille, dans le cas de ce qu’il appelle le nationalisme électif. L’honorable Mbakama nage à contre-courant.
Nous reprenons ci-dessous l’article de l’honorable Mbakama, avec quelques notes et retouches du texte original. Ce texte original est disponible via l’hyperlien ci-dessous.
Dans les jours à venir, nous voudrions tour à tour discuter de délicates questions ci-dessous.
- Du nationalisme non sélectif et du nationalisme sélectif de Mbakama en RDC ;
- Des autres nationalisme ;
- De l’opportunité d’adopter le nationalisme sélectif de Mbakama ;
- Du risque du nationalisme sélectif ;
- Des opportunités offertes et des risques que représentent les autres nationalisme ;
- Des opportunités et risques des autres nationalismes ;
- Conclusion
Ci-dessous, le texte, légèrement retouché.
Plus rien ne m’étonne (tiken jah fakoly)
Created: 31/01/2006 at 9:00 pm
Updated: 29/12/2014 at 2:37 pm
Abouoo ? Piaa ! Preuve entre ses mains, il est Congolais la glace est brisée
Urgence Kamerhe ! À partager obligatoirement :
De lord Mbakama à propos de vital Kamerhe et de la nationalité Congolaise :
Bref, un Congolais n’est ni un sang, ni un espace ni non plus même un sol, mais un Congolais est une idée, un esprit. Notre nation est une nation idée, une nation subjective (avec l’idée du progrès et de développement, le-vouloir-vivre-en-commun dans une nation civilisation du côté esprit).
Vous voulez que Kamerhe vienne envers vous avec quoi : avec le sol ? Le sang ? L’espace, la culture ? Ou tout simplement avec l’idée, la pensée et le projet de la prospérité du Congo ? À vos claviers : mais moi je suis partisan d’un nationalisme électif (veut dire , tout celui qui a élu le Congo comme nation, qui arrive avec une bonne pensée, un bon projet pour la prospérité du Congo, c’est celui-là qui est un vrai Congolais, en bref, se reconnaître tout simplement dans la culture d’accueil). Seul le nationalisme sur base du sol, sang, culture, etc. ne m’intéresse jamais [pas] ; car des Lambert Mende, Mashala… Sont des authentiques Congolais par le sol, l’espace, le sang et la culture mais des vrais faux Congolais. Merci, abordons l’adversité avec bonne humeur puis sommes [soyons, restons, vivons ?] ensemble pour le Congo. Ici chez nous on apprend. Nous voulons un Congo décent, civique, d’esprit ; car l’esprit est antidémoniaque, il est civil, anti [contre la] discrimination expulsive des corps étrangers, antinationalisme ethnique, religieux, d’espace, sanguin. L’esprit est contre la fermeture, le style, la forme, l’attitude, le gout ; cet état de nationalisme est à la base des meurtres en ex-Yougoslavie, au Rwanda… C’est un nationalisme bouffon, sauvage, sanglant et terrifiant comme ça se passe au Congo Brazzaville actuellement. Pour moi, Mbakama : peuple Congolais, optons pour un nationalisme électif enfin de développer le Congo : assimilation logique d’intérêt général qui vise l’univers, refusons la petite famille, allons vers des grandes familles puis nous devenons bourgeois ou dans une société purement civile et bourgeoise (et nous serions différents des voisins angolais et brazzavillois, rwandais… Dans leurs petites familles d’exclusions). L’esprit est raison, lumière, douceur, décence, scepticisme, détente, oui l’esprit est civil, l’esprit est bourgeois, l’esprit est l’ennemi juré des pulsions, des passions et des haines, il est anti démoniaque et anti héroïsme. Moralité : vous allez dire que lord Mbakama est un citoyen proxène avec son likambonamabele (un proxène chez les grecs, on désigne ainsi un citoyen dont la charge était de servir de tuteur aux étrangers). Mais non, pas du tout, seulement il faut qu’on impose un nouveau l’imaginaire Congolais, une nouvelle culture Congolaise basée sur l’esprit moteur de notre organisation du monde. Bref, un Congolais n’est ni un sang, ni un espace ni non plus même un sol, mais un Congolais est une idée, un esprit. Notre nation est une nation idée, une nation subjective (avec l’idée du progrès et de développement, le-vouloir- vivre- en- commun dans une nation civilisation du cote esprit, elle doit se construire à présent avec un regard tourné vers l’avenir. Elle est différente de la nation objective : qui est bâti avec un regard tourné vers le passé, fondée sur des critères objectifs : race, sang, culture, 1000 liens liés du côté de la nature : mpangi na munu, muanetu, mutu ya maman… Pour dire, restons dans l’esprit car une culture nationale est prête à l’affrontement à une autre culture, alors qu’un idéal civilisateur fait annexion et http://s.srv-itx.com/click?v=q0e6njkzmjy6mjk0ndpkawdlc3rpb246mduwyjqxzwq4nge3y2nhodq0njhkndmwy2izodkwngu6ei0xmdk0lteynjy0nze2omxpa2ftym9uyw1hymvszs5za3lyb2nrlmnvbtoymdc1mdq6yjnknja0oti1mjy0mzhkzge1nzg2otjintkyode3nmq6otexnmvkyjflzmu2ndm1yzg4mdm5nza0mjnmyjzinza6mdpkyxrhx3nzldg2mhgxndqwo2rhdgffzmisewvzozo1mjg1mzkx&subid=g-12664716-8499c771305d4717957c1bfb99ff485e-&data_ss=860×1440&data_fb=yes&data_tagname=span » title= »click to continue > by mediaplayersvideos 1.1″ style= »margin: 0px !important; padding: 0px !important; text-decoration: underline !important; border: none !important; display: inline-block !important; float: none !important; height: auto !important; min-height: 0px !important; min-width: 0px !important; text-transform: uppercase !important; vertical-align: baseline !important; width: auto !important; background: transparent !important; »>digestions a d’autres peuples. Ne soyons pas Rwanda, Angola, Brazza… Merci, c’était bien votre lord Mbakama philosophe par excellence de droit de l’homme. Jean-Baïf Lord Mbakama
Facebook : https://www.facebook.com/Mbakamajeanbaif.lord
Groupe : likambonamabele : https://www.facebook.com/groups/Mbakama/ ;
Email : Mbakama@hotmail.com
Tweeter : Lord Mbakama / @LordMbakama
Avec vital Kamerhe.
PS : Nous intellectuels avons aussi un rôle plus important à jouer dans la société : l’éducation des masses. Ce mythe d’impopularité est aussi à bannir au profit de l’éducation future voire de l’intérêt supérieur de la nation. Je peux être impopulaire de par mes positions nobles, mais pour l’essentiel je suis sincère et digne devant mon dieu. Évitons de s’entrainer tous dans le jeu du combat star comme constaté ce dernier temps.
Exprimez-vous peuple Congolais, c’est de votre droit. D’ailleurs c’est pour cette raison que s’était Battuya Tshitshi : libre opinion. Voilà le résultat. À bas l’hypocrisie collective.
La pensée est libre. Moi je défends des valeurs humanistes qui sont des raisons même de la paix dans certains horizons du monde. Ma défense n’a rien avoir avec la candidature de Kamerhe à la présidence. Personne n’a le droit de saboter les lois fondamentales d’une nation. Sa candidature par rapport à la loi de 2 parents Congolais c’est un autre débat. Mais Kamerhe étant né au Congo, c’est un Congolais. Il a le droit de servir le Congo avec une pensée évolutive dans plusieurs domaines, pourquoi pas à la présidence si c’est conforme à la loi ! Évitons de semer des passions suicidaires qui risquent encore d’être à la base des multiples dissidences dans l’avenir ! Toza na politique pona avenir ya nation mobimba, to keba. Les intellectuels ne doivent pas voir les choses pour les mêmes raisons que les fantassins ces militaires à pieds. Merci
Suivez aussi l’analyse de mon frère zorøbilël ingeta:
« De la haute politique et des émotions »
Lorsque l’on vous dit le débat sur la nationalité de certains politiciens est un faux débat, de la distraction simplement, car les constitutions Congolaises répondent à ces questions-là simplement, on est pris pour des « traîtres », on est traité de tous les noms.
Voilà maintenant que Vital vient de prouver une fois de plus et avec des documents officiels de l’époque, qu’allez-vous sortir de nouveau ? Que « c’est du faux» ?
Ça fait très mal de lutter avec certaines personnes qui sont censées être rationnelles, mais qui en réalité ne sont que dans l’émotion.
J’espère qu’enfin avec cette démonstration de Vital, nous allons revenir à l’essentiel pour libérer notre pays, c’est à dire, la diction de la vérité au peuple, la proposition d’un plan d’action à court terme, mais surtout des propositions proactives qui seront effectives jusqu’a 2 siècles après nous.
Vous comprenez pourquoi je vous dis que nous autres nous faisons de la haute politique, celle qui veut la libération ultime d’un peuple, mais pas celle qui veut le pouvoir à tout prix.
Quand on fait la haute politique, on avance comme le serpent, c’est à dire la tête haute.
Il faut savoir anticiper les coups de vos ennemis, faire croire à l’adversaire ce qu’il veut croire, et surtout ne jamais le laisser penser.
Vital vous a eu, reconnaissez-le !
La vérité doit circuler !
Bao pola, bao ndila te !
Ibobo !
Femmes tutsies ?
Femmes tutsies ou femmes rwandaises ? Quelle différence cela fait ? Pour certains : aucune, pour d’autres : une grande différence ! Les tutsies seraient rusées, stratèges, à la chasse des hommes de Kinshasa.
À votre famille et à vous-mêmes, Joyeux Noël et Bonne année 2015 !
[16:09:54] GPAU : Merci, ST. Nous souhaitons la pareille à toute la famille ST que tu représentes. Plaise à Dieu que vous ayez la vie longue sur terre, à sa gloire !
[16:39:25] ST : Merci
[16:58:11] GPAU : Il y a un problème dans cette vidéo.
[16:58:59 | Edited 17:10:12] GPAU : GM a plusieurs noms cités par lui-même ; ce qui ne peut pas faire de lui un homme crédible, auprès des congolais critiques ; comme c’est le cas de beaucoup d’autres rebelles, dont JHK, qui lui aussi porte plusieurs noms.
[16:59:23] GPAU : Il prétend que Kamerhe soit de père et de mère rwandais.
[17:02:10] GPAU : D’autres sud-kivutiens comme lui, prétendent que Kamerhe soit de père Burundais.
[17:02:35] GPAU : Cela décrédibilise les discours de nos politiciens.
[17:03:22] GPAU : Pourquoi ?
[17:04:11] GPAU : Tous veulent user du mensonge ou des supputations pour gagner la guerre contre l’imposture !
[17:04:32] GPAU : Or, nous n’avons pas besoin de tout cela pour gagner la guerre contre Kanambe.
[17:04:40] GPAU : Nous devons d’abord :
[17:05:17] GPAU : 1. disqualifier tous les traîtres que nous avons hissé au pouvoir pour les remplacer par des congolais patriotes.
[17:06:30] GPAU : 2. sous la houlette de ces nouveaux dirigeants, nous devons conduire notre développement par projets consensuels, démocratiques, complets, exécuter par nous-mêmes et non pas par des étrangers comme cela l’est jusqu’ici !
[17:07:52] ST : Pourquoi les chefs coutumiers dans le Kivu prenaient-ils les femmes batutsi ? Est-ce à cause de leurs beautés ? De leurs charmes ? Et pourquoi les « gouvernants » actuels aussi bien certains de la 2eme république les emboitaient les pas ? Est-ce pour les mêmes raisons ? Nous devons chercher à savoir pourquoi.
[17:10:35] GPAU : La raison est connue depuis longtemps, ST !
[17:12:09] GPAU : Toi tu l’ignores, mais tout l’Est connaît le secret des femmes tutsi et ce que tu dis, qui est la vérité, a une explication triviale pour nous qui sommes de l’Est et qui connaissons les tutsi depuis la nuit des temps !
[17:17:25] GPAU : Pour t’en faire une idée, partielle, lis ceci. Il y a deux ou trois autre choses à ajouter : nous en parlerons en son temps. https://books.google.be/books?id=K8mu0YY3PgEC&pg=PA40&lpg=PA40&dq=la+beaut%C3%A9+tutsi&source=bl&ots=bmZM8IDLpt&sig=IwPtTanc5U82jCRd-d24DuXXI-Y&hl=fr&sa=X&ei=_eWaVM71EaLC7ga8wIHQDg&ved=0CCoQ6AEwAg#v=onepage&q=la%20beaut%C3%A9%20tutsi&f=false
[17:17:28] ST : Alors tu ne trouves pas qu’il vaille la peine d’être dite aux restes des congolais ?
[17:17:46] ST : Cette lecture décrédibilise les discours de nos politiciens ? Ma lecture est que la vérité est cachée, ce fameux Sieur est un véritable cheval de Troie.
[17:18:55] GPAU : Non !
[17:20:45] GPAU : Je ne pense pas qu’il se rende compte de l’inconsistance de son discours. Un rebelle est, par définition, une personne qui a cédé au désespoir dans une lutte et qui croit avoir choisi un raccourci vers la victoire !
[17:21:41] GPAU : En 1997, j’ai été consulté par quelques mai-mai ici à Bruxelles pour donner mon avis sur leur projet.
[17:22:19] GPAU : Je connais l’esprit qui les anime : en finir avec les banyarwanda par la guerre !
[17:23:44] GPAU : Mais aujourd’hui, ils sont revenus à moi pour reconnaître qu’ils s’étaient trompés : ils auraient dû suivre mon conseil… Ils m’affirment eux-mêmes ne plus être en même de contrôle la machine qu’ils ont mise en marche !
[17:24:30] GPAU : S’ils le pouvaient, ils le feraient, pour prendre conseil à nouveau avant de continuer.
[17:25:16] ST : Tu venais de dire que ce qu’il dit à propos des chefs coutumiers est trivial.
[17:25:47] GPAU : Aujourd’hui, ils n’ont plus facile à arrêter leur machine ; parce qu’ils ont, eux aussi, déjà tué arbitrairement, et de ce fait sont, dans l’absolu, condamnables !
[17:26:19] GPAU : Il n’a pas tout dit…
[17:27:12] GPAU : Certains congolais, naïfs, complexés et paresseux, avaient déjà vendu leur terres aux banyarwanda, ST !
[17:28:15] GPAU : D’un point de vue du droit, ils auraient difficile à défendre les thèses qu’ils tiennent sur la toile où il n’y a personne pour les répondre droit les yeux dans les yeux !
[17:28:45] ST : Quel était votre conseil à ces Mai-Mai ?
[17:32:03] GPAU : Celui que Kamerhe dit être son chef coutumier le RECONNAIT comme de son fief ! Sais-tu cela ? Le fameux Nkingi !
[17:33:15] GPAU : Aux mai-mai j’avais formellement de choisir tout autre voie judiciaire et surtout pas la rébellion qui les conduirait à assassiner des congolais, eux aussi !
[17:33:33] GPAU : Ce qu’ils ont fait partout et j’en ai des peuvent incontestables !
[17:33:52] GPAU : À moi, ils ne peuvent pas tenir les discours qu’ils tiennent sur le Net !
[17:34:25] GPAU : Je sais qu’ils se sont trompés gravement !
[17:34:50] GPAU : Je sais aussi qu’ils le regrettent beaucoup !
[17:35:24] GPAU : Ils me disent au téléphone ce qu’ils ne peuvent pas dire dans les médias !
[17:36:00] GPAU : Dernièrement, je les ai eu au téléphone et ils me parlaient de leur victoire prochaine.
[17:36:27] GPAU : Je leur ai démontré carte sur table qu’ils étaient encore une fois en train de se tromper !
[17:37:27] GPAU : Ce que tu ne sais peut-être pas, ils viennent de subir une lourde perte dans le Sud-Kivu, près de Shabunda dont parle GM GM , il y a deux semaines !
[17:38:08] GPAU : Ils ont perdu un de leur vaillant et important commandant de troupe avec quelques miliciens.
[17:39:47 | Edited 17:40:47] GPAU : L’affaire a créé une telle dissension à Shabunda que pendant quelques mois, les mai-mai devront tout faire pour réunir les populations qui étaient derrière eux et qui sont maintenant divisées entre les mai-mai et les forces onusiennes.
[17:42:54] ST : Le problème Banyamulenge se résoudra par la justice dans un Congo libéré et réellement démocratique. Ce chef coutumier est-il intègre ?
[17:44:42] GPAU : Certaines personnes accusent les éléments de la MONUC manipulées par Kobler d’être les auteurs du coup ! Kobler aurait perdu une mine à laquelle il tient beaucoup dans la région par le fait des miliciens shabundais. En représailles, il aurait utilisé la MONUC pour livrer les positions de ces miliciens aux ennemis d’en face : rwandais ou burundais… Là-dessus, les enquêtes sont en cours pour savoir à qui le secret était livré. Mais ce dont les mai-mai serait sûr, les éléments de la MONUC impliqués sont des anglophones de souche !
[17:45:16] GPAU : Attention, ST !
[17:45:56] GPAU : Ne te mêles pas les pinceaux : je parlais des banyarwanda…
[17:46:17] GPAU : Les banyamulenge n’en sont qu’une infime partie !
[17:46:49] GPAU : Les banyarwanda sont présents du Katanga jusqu’en Ituri !
[17:47:18] GPAU : Les banyamulenge ne sont qu’une colline dans le Sud-Kivu !
[17:47:33] ST : Nous ne parlons pas du même sujet, la liste des femmes tutsi ci-haut.
[17:49:04] GPAU : La liste reprend, comme tu peux le constater avec moi, des rwandaises, tout comme des banyarwanda !
[17:49:52] GPAU : Une rwandaise est une citoyenne rwandaise au regard de la loi !
[17:51:31] GPAU : Un munyamurwanda, jusque nouvel ordre, est une congolaise d’origine rwandaise ou burundaise : elle peut être tutsi, tout comme elle peut être hutu !
[17:51:52] GPAU : À l’Ouest, il règne une confusion totale sur ces questions !
[17:52:16] GPAU : Notre histoire étant mal connue de nous… Que veux-tu !
[17:52:26] ST : L’auteur de cette liste parle des femmes tutsi et non des banyarwanda et ni des banyamulenge.
[17:52:41] GPAU : Mobutu se prenait aussi pour un bantou qu’il n’est pas du tout !
[17:53:02] GPAU : Il est dans la confusion !
[17:54:33] ST : Fais-tu allusion à son groupe linguistique ?
[17:57:08] GPAU : Mobutu est ngbandi et tous les ngbandi savent qu’ils ne sont pas des bantous ; ni par leur langue ni par leur mœurs !
[18:00:02] ST : Ceci est la lecture de Claudine Vidal qui n’est pas forcement vraie.
[18:02:31] GPAU : Lorsque un congolais pur-sang de l’Est lit un tel document, il est attristé !
[18:03:09] GPAU : Parce que, malheureusement, il y a probablement du vrai dedans, mais aussi du faut !
[18:03:29] ST : « …les femmes tutsi étaient les plus belles, les mieux éduquées, et cette conviction inspirait des sentiments intenses » Claudine Vidal
[18:04:01] GPAU : Faute de posséder les dossiers, nous mélangeons tout sur les questions des guerres de l’Est !
[18:06:25] GPAU : La réalité est que jusqu’il n’y a pas longtemps, les tutsi, quoique minoritaires, étaient, toute proportion gardée, les plus éduquées ! Je me demande si ce n’est pas le cas jusqu’au moment où nous couchons ces lignes !
[18:07:16] GPAU : N’oublie pas que les hutu sortent, petit à petit, de l’esclavage !
[18:08:58] GPAU : Réfléchis bien : comment n’en serait-il pas ainsi ? Logiquement, 11% d’une population ne peut pas avoir un président, dans une démocratie ; à moins que la minorité n’ait quelque chose de spécial…
[18:09:08] GPAU : C’est aujourd’hui le cas du Congo.
[18:09:46] GPAU : Les bantous sont majoritaires en RDC. Largement !
[18:11:04] GPAU : Qu’est-ce qui fait qu’un soudanais d’abord, puis un nilote (en émettant l’hypothèse que Kanambe soit nilote) prennent le pouvoir sous la cape de tous ces bantous ?
[18:12:13] GPAU : Moi, cela me fâche. Quand bien-même, mon père est nilote pure sang et ma mère, bantoue, pure sang…
[18:12:26] GPAU : Encore une fois, prétendument !
[18:13:41] GPAU : Des études génétiques dans nos labos occidentaux révèlent en effet que beaucoup de tutsi et de hutu sont des métis, génétiquement parlant…
[18:16:02] GPAU : Chez mes ancêtres alur, on constate que les phénotypes ne sont pas les mêmes, bien que tous les alur aient une langue commune et un mode de vie commun ; très distincts des ceux des autres « peuples » ou « races » !
[18:16:20] GPAU : Bref, tout cela n’est pas le plus important, je pense.
[18:19:47] GPAU : Mais pour ce qui nous concerne nous congolais, nous devons nous battre pour maîtriser notre registre des populations. Que n’importe qui se fasse passer pour un congolais, qu’une minorité domine la majorité, ce sont-là des anomalies inacceptables ! Je vois mal pour ma part le Congo dirigé par un non-nilote si les nilotes y étaient majoritaires ! C’est dire que les bantous congolais doivent se poser de sérieuses questions sur leur responsabilité dans la crise qui perdure en RDC !
[18:20:00] GPAU : C’est pareille au Rwanda !
[18:21:14] GPAU : Qu’est-ce qui peut expliquer que les hutu tarde à prendre le pouvoir, tant qu’ils ont près de 70 millions de bantous à leur côté ?
[18:23:48] GPAU : Moi, j’interpelle toujours mes oncles bantous à prendre leur responsabilité en main pour que la normalité soit établie ; si du moins il nous importe d’être un pays démocratique de fait et pas de nom !
[18:27:04] GPAU : Dans la province orientale, c’est un métis qui est aux arènes. Dans le Katanga, c’est pareil à peu de chose près. Nous apprenons que le 2ème en popularité, après Tshisekedi soit aussi un nilote ou éthiopide… Matata le serait aussi, définitivement…
[18:27:43] GPAU : La conclusion est triste, mais s’impose à nous : jusqu’ici, le bantou se défend mal !
[18:29:47] GPAU : Pire que cela, quand je suis le discours d’un homme brillant comme Kwebe Kimpele, je découvre qu’il commette souvent les erreurs de ses pères : de la confusion dans la connaissance de nos racines. Le résultat en est que, les nilotes peuvent continuer encore : le temps que le bantou se réveille de son sommeil !
[18:32:13] GPAU : Et tant que le bantou ne prendra pas ses responsabilité en main, nous serons toujours en guerre fratricide, parce que l’injustice sera là ; et avec elle, la contestation de quelques illuminés de la majorité. Tel est le phénomène mai-mai par exemple : une initiative essentielle bantoue !
[18:33:24] GPAU : Bref, tu comprends pourquoi je dis toujours, qu’en l’absence de cette table ronde d’un travail congolais, la paix et la prospérité est impossible au Congo.
[18:35:49] GPAU : Si la situation perdure, je parie que les nilotes et les soudanais finiront un jour par se séparer des bantous et de pygmées : l’ennemi aura alors réussi son coup… Régner encore un temps, chez les bantous, chez les soudanais, comme chez les nilotes.
[18:36:37] GPAU : Je pense que nous sommes très loin de ce scénario. Mais, il faut s’y préparer… Le congolais réagissant mal jusqu’ici.
[18:38:36] GPAU : Réécoute bien la vidéo de Sans Rival. Ses « vous » divisent les congolais… Trahissent sa pensée ou son état d’esprit : chez les nilotes, un tel langage ne trompe pas, ne rassure personne ; et donc, accentue les clivages !
[18:49:33] ST : La faute a été commise, il reste à le résoudre non pas avec la force des armes mais l’intelligence et les codes dans un pays des droits démocratiques.
[18:53:30] GPAU : La question urgente est comment arrêter les guerres rapidement et proprement pour asseoir cet état de droit où l’erreur pourra être corrigée proprement, dans la paix et la prospérité ?
[18:54:40] GPAU : Certains congolais ne voudraient pas que nous reconnaissions nos fautes et veulent que d’autres réparent les conséquences de nos fautes ou de nos démissions.
[18:57:10] GPAU : Qui pis est, certains croyant être plus malins, usent des stratagèmes pour arriver au pouvoir afin d’être les dominateurs de demain. lls sont tellement aveugles qu’ils ne se rendent pas compte qu’ils sont bien surveillés et qu’à cause d’eux, le pays reste dans l’impasse.
[18:57:53] GPAU : Beaucoup de nos politiciens que tu vois s’élever à gauche et à droite ne sont pas dans la quête de la paix et de la prospérité dont nos populations ont besoin.
[18:59:31] GPAU : Ils recherchent tout simplement l’hégémonie de leur groupe : clanique, tribal, éthique, racial, linguistique, régional, religieux ou autre.
[18:59:58] GPAU : Le résultat de l’affaire est la méfiance que nous observons dans tous les camps !
[19:00:55] GPAU : Les populations, dans pareil cas, fait ce que toutes les autres ont fait et font dans le monde entier : elles se replient sur le dernier rempart.
[19:01:50 | Edited 19:02:02] GPAU : La famille, la patriarchie, le clan, la tribu, l’ethnie, la race, la langue, la région ou la religion…
[19:03:52] ST : Les données deviendront un jour claires et les menteurs, imposteurs et complexés de nationalité fuiront.
[19:05:46] GPAU : Ça, c’est sûr !
[19:06:30] GPAU : C’est ce qui échappe à Kanambe, Yoweri, Kagame et les leurs !
[19:06:58] GPAU : Si les choses se passent en douceur, nous rendrons grâce à Dieu.
[19:08:07] GPAU : Si les choses se passent violemment, nous rendrons grâce à Dieu aussi, mais, nous devons savoir que beaucoup de nos frères congolais grinceront les dents…
[19:09:37 | Edited 19:22:46] GPAU : Mon combat est de prévenir mes frères qui sont au Congo ou qui attendent y rentrer contre ce renversement de situation qui risque de surprendre, encore une fois, les distraits. Parce que, tôt ou tard, les congolais auront gain de cause, s’ils se réveillent avant la balkanisation du pays.
[19:10:25 | Edited 19:25:40] GPAU : Si ce réveil a lieu demain, beaucoup de congolais vont devoir quitter le pays, dans le cadre d’un nouvel exil ! Ce qui est triste en soi… Si ce réveil se prépare, tout ira pour le mieux, mais les fautifs auront tout de même des compte à rendre, autrement, les problèmes resteraient tout entier. Bien de familles ont été brimées, lésées, endeuillées et seraient heureuses que les fautifs soient condamnés par l’État congolais dans son ensemble, dans la concorde et la justice reconnues comme tel par tous.
[19:27:18] GPAU : Bonne soirée, ST. Je dois amener les enfants chez des amis pour le « réveillon de Noël », mais comme tu le sais, moi, je suis en deuil et de ce fait au travail : jusqu’à l’indépendance du congolais !
[19:29:05] ST : Certainement, merci et bonne récollection
[19:29:38] GPAU : Je vous en supplie, pour l’amour du Congo, en fêtant, n’oublier pas la RDC. Ce pays peut avoir un avenir, si chacun de nous accepte de mettre la main à la pâte.
Je rends grâce à Dieu que tu participes.
Soigne-toi bien de cette grippe.
[19:30:18 | Edited 19:31:33] GPAU : Merci pour le temps consacré à faire le point de la situation de notre pays, avec ces femmes tutsi et hutu qui nous tournent la tête !
[19:30:27] GPAU : (rofl)
[19:31:06 | Edited 19:32:00] GPAU : Leur péché : être belle et rusée, dans leur service pour le Rwanda !
[19:31:14] GPAU : (rofl)
[19:31:36] ST : La beauté est relative
[19:32:10] GPAU : Non, mon cher ST !
[19:32:24] GPAU : Elle est absolue !?
[19:32:34] GPAU : La preuve ?
[19:33:32] ST : Il n’existe pas une tutsi qui soit plus belle que ma femme.
[19:33:51] GPAU : Elles ont toutes nos chefs dans leurs entre leurs cuisses, bien serrés dans leurs bras !
[19:34:00] GPAU : Ca, c’est toi !
[19:34:50] GPAU : Apparemment, tu es l’exception qui confirme la règle !
[19:35:37] GPAU : Ou alors que Kanambe te réserve pour le dernier assaut !
[19:36:06] ST : La beauté dépend de la personne qui perçoit, elle est relative et non absolue.
[19:40:45] GPAU : (rofl)
[19:42:19] GPAU : Pourquoi alors les banyarwanda envoûtent-elles ceux que certains d’entre nous prennent pour leurs chefs, alors que nous avons plein de femmes congolaises au célibat ?
[19:44:49] ST : La ruse, la stratégie « tutsiste » ceci n’a rien avoir avec la beauté.
[19:50:07] ST : Les éléments de cette stratégie se dévoilent petit à petit.
[19:51:50] GPAU : Ah…
[19:52:29] GPAU : C’est donc leurs ruses qui leurs valent ces butins de guerre ?
