Certains ont peur que l’Ituri devienne demain ugandais ou rwandais. Que se passe-t-il dans l’Ituri même qui nous permettrait de prédire son futur, au-delà du « phénomène CODECO » que les ituriens voudraient désormais de plus résoudre eux-mêmes ?
Ci-dessous une copie de notre échange dans le groupe Ituri de WhatsApp.
[30/9, 09:36] Patrice Iutung’ Pirwoth: Bonjour mes très chers ituriens comment ça va
[30/9, 09:40] Augustin Gyba Pimbo: Bonjour
Patrice et Augustin,
Ici, nous attendons des idées pour construire l’Ituri et notre souhait est de ne pas perdre de temps dans des « bonjour » ou « comment va la famille ». Le goupe est un bureau de travail et non pas un club d’amis.
Que faire pour continuer nous unir et bâtir un Ituri paisible et prospère efficacement et de manière efficiente ?
Apportez vos contributions originales et innovantes, qui nous fassent avancer pour bien nous positionner dans le monde complexe d’aujourd’hui.
Je pense que nous devons commencer par avoir un projet provincial de développement complet, à nous ituriens, dans lequel notre parlement provincial, notre gouvernement provincial et nos partis politiques vont à chaque fois puiser pour être en accord avec nos peuples, dans le cadre d’un gouvernement électronique, pour fluidifier et formaliser la communication.
Nous propositions à nous sont, depuis décembre 1999, ici : https://projet2014.com et depuis 2002, ici aussi : https://eaeasbl.com.
Nous devons tout mettre sur la table de travail. Et comme notre culture est celle du sérieux, je suis persuadé qu’une telle initiative propulsera l’Afrique tout entière qui nous dira merci !
Notons que les nigerians, les camerounais, les kenyans, les tanzaniens, les marocains et bien d’autres sont déjà à l’ouvrage depuis lontemps, des siècles pour certains.
Notre social
Notre politique
Notre culture
Notre industrie
Notre enseignement
Notre économie
Pour ce qui est de nos propositions, vous les avez sur nos deux sites !
Notre social
- un salaire minimal supérieur au minimum vital.
- une tension salariale inférieure à 5.
- l’obligation scolaire jusque 24 ans.
- le travail obligatoire dès 25 ans.
- un impôt de 57 % sur les revenus.
- une sécurité sociale complète totalement financée par nos impôts incluant une forte solidarité nationale.
Notre politique
- l’indépendance pour tout nos peuples.
- une diplomatie limité au rentable.
- un capitalisme franc, humaniste et jusqu’au-boutiste.
Notre culture
- la sommation, promotion et la défense de nos valeurs culturelles.
- la lutte commune, nationale, contre nos antivaleurs.
Notre industrie
- le développement d’une industrie propre, provinciale.
- la visée de la 1ère place en technologies de pointe, dont la robotisation tous azimut.
Notre enseignement
- la remise sur les rails de notre enseignement et son universalisation.
- la modernisation de l’infrastructure et de la superstructure.
- la séparation de la fonction enseignante de la fonction évaluative des acquis.
- l’obligation scolaire jusque 24 ans.
- la qualification officielle de tous les travailleurs.
- accroissement de notre productivité scientifique et technologique.
Notre économie
- l’annulation de la dette extérieure.
- 57% d’impôt pour garantir un niveau de vie croissant jusqu’à la mort.
- visée la productivité, la rentabilité et la compétitivité.
- développement des industrie de la production, du transport, du stockage, de la transformation, de la commercialisation, de la consommation, du traitement des déchets, de l’environnement, du culte.
Notre santé
- une assurance accident-maladie-invalidité-obsèques pour tous dès l’âge 0.
- développement d’une médecine de pointe, accessible à tous et de proximité.
- investissement dans la biotechnologie de pointe, eugénique, éthique et humaniste.
- renforcement des structures de prophylaxie publique.
Etc.