En général, le régime tue quelques étudiants ; et puis, il tombe. C’est ça le règne du diable. Les étudiants doivent penser à une démarche juridique. Elle sera assez longue : une à deux ans de durée habituellement. Cependant, en fonction de sa détermination, de sa pugnacité et de son intelligence, l’intelligentsia congolaise peut très vite prendre le dessus et renverser le régime. Une préparation est souvent ce qui manque. Beaucoup pense au soulèvement populaire : une solution qui n’a jamais marché dans aucun pays. Il suffit pour s’en convaincre de consulter l’histoire. Où en sont les chinois, les angolais, les lybiens, les égyptiens, les burkinabe ou les centre-africains, etc.
Et en même temps les étudiants doivent trouver comme exclure de leur rang tous les mouchards à la 1ère occasion. Ce sont eux en effet eux qui pourrissent la vie aux patriotes. Pas seulement au niveau étudiant, mais également dans la société civile. Se compromettre avec les mouchards c’est tuer la nation. Il convient d’agir d’une manière telle que, rapidement, être mouchard ne soit plus rentable. Voyons tout simplement l’exemple des kuluna de Kinshasa ou des tueurs autochtones de l’Est qui facilite le travail de l’imposture.
Sinon : ce sera Mobutu-bis, malheureusement : des pertes de vies humaines continuées, sans dividende !
Spirituellement parlant, marcher sans mettre impliquer Dieu dans son projet, conduira bien souvent à l’échec. Parce que ne pas être avec Dieu c’est être contre lui, ultimément. C’est de ce fait, sans s’en rendre compte, se mettre d’office du côté de Satan, dont le royaume est parfaitement divisé. Voyez tout simplement ce que se font les gourous, les sorciers faux et vrais entre eux pour comprendre. Or, nous ne voulons souvent pas admettre que seul l’empire divin est un !
Apprenont donc à tirer les conséquences de ces lois spirituelles basiques…